N’oubliez pas les paroles : casting à Tours le 25 mars

L’émission de France 2 présentée par Nagui organise un nouveau casting à Tours pour sélectionner ses candidats.

Que les chanteurs en herbe se réjouissent : l’émission « N’oubliez pas les paroles », présentée par Nagui sur France 2, organise un nouveau casting à Tours pour sélectionner ses prochains candidats.

La date ? Mercredi 25 mars. Le lieu ? Pas d’info encore puisque, comme le dit le directeur du casting Anthony Pinto dans La Nouvelle République, « les curieux croient toujours qu’ils peuvent voir Nagui pendant les sélections ».

Une pré-sélection aura d’abord lieu en amont, par téléphone (oui, on essaye quand même de savoir si vous pouvez aligner deux notes). Ensuite, rendez-vous le 25 mars dès 13 h donc, pour la vraie sélection.

A noter que les candidat(e)s devront forcément chanter devant tout le monde… a cappella. Bonne chance !


> Inscriptions : 01 49 17 84 20 ! 🎤

 

> Suivez également l’événement Facebook juste ici !

 

 

Théâtre tentaculaire avec le collectif Le Poulpe

Les huit artistes du Poulpe inventent, à Tours, un théâtre dans lequel ils écrivent et mettent en scène collectivement.

Les huit têtes pensantes du collectif Le Poulpe (photo collectifpoulpe.com)

Le Poulpe ? Comme les huit tentacules de l’animal et les huit mémoires qui s’y logent. « Cela a commencé comme une blague lorsqu’on ne savait pas comment s’appeler et puis c’est resté ! », sourit Maud Terrier, une des huit membres de ce collectif d’acteurs et de compagnies.

Des artistes âgés de 26 à 33 ans qui se sont découverts « des affinités » au Conservatoire de Tours. « Nous avons tous une formation de comédiens, mais nous avons envie d’être un peu partout à la fois », reprend-elle.

Après AD LIB (jusqu’à ce que nous soyons pleinement satisfaits), le collectif peaufine sa deuxième création Good Girl (là-dessus, on est tous d’accord), dont la première aura lieu en mai.(1) Un spectacle dans lequel les artistes s’approprient un fait-divers américain : le meurtre irrésolu de JonBenét Ramsey, mini-miss de 6 ans retrouvée morte dans le sous-sol de sa maison en décembre 1996. Et qui interroge l’appétit pour le sensationnel, les notions de mythe et de vérité.

Créé à huit cerveaux

Un spectacle conçu, une nouvelle fois, à huit cerveaux et âmes, bouleversant les modèles créatifs traditionnels. Ici, pas de metteur en scène qui dirige l’ensemble de la troupe. « Nous faisons tout, tous, et cette envie de coopération et de générosité crée un objet théâtral » rappelle Louise Maurice.

© Marie Pétry

« Mais il est difficile de se diriger quand tout le monde est sur le plateau ! ». Le Poulpe a donc fait appel au comédien Alexandre Le Nours, à la façon d’un « featuring » sur un album, pour apporter un regard extérieur au moment du filage. « Lorsqu’il s’agit de répéter, la collab’ permet de ne travailler que le jeu », analyse Jules Jacquet.

Parallèlement, « il y a aussi des envies artistiques individuelles ou par binômes », ajoute l’artiste. Du Poulpe est donc né, en tout, cinq ensembles artistiques. Trois pièces sont en cours de création, et six autres ont déjà été montées. Dont Love and Money, en résidence à Rouziers-de-Touraine fin février, qui sera jouée du 29 avril au 3 mai au Théâtre de l’Opprimé, à Paris.

Flore Mabilleau

(1) À 20 h 30, le 15 mai, au Centre Culturel de Saint-Pierre-des-Corps. Tarifs : de 9 à 12 €.

Alexandra Dupont, éleveuse de chèvres engagée

#VisMaVille À quelques jours du Salon de l’agriculture, rencontre avec une femme engagée, Alexandra Dupont, qui élève depuis 2011 des chèvres à la ferme des Croq’épines à Nouans-les-Fontaines, dans le sud-est du département.

Lorsqu’Alexandra Dupont nous accueille ce jeudi-là dans sa chèvrerie de Nouans-les-Fontaines, tout ne se déroule pas comme prévu. « S’adapter aux imprévus, c’est ça le métier d’éleveur ! », lance-t-elle tout en remplissant les mangeoires.

Les 43 chèvres se ruent sur la nourriture tandis que la machine à traire collecte leur lait. 11,5 litres ce matin-là, la période creuse… La traite a lieu chaque jour vers 9 h, puis 19 h, pas moins de trois heures de travail pour l’éleveuse, qui enfile ensuite sa blouse de fromagère.

Dans une pièce attenante à la salle de traite, elle filtre le lait cru pour ôter d’éventuels brins de paille, puis ajoute le petit lait et la présure nécessaires à la coagulation. Le lait doit ensuite reposer 36 à 48 heures avant la fabrication des fromages. Mais pour Alexandra Dupont, point de repos : elle sale les tommes, retourne les crottins, démoule les pyramides… « Je gère les urgences les unes après les autres », assure-t-elle en gardant le sourire. Après le fromage, l’administratif. Après l’administratif, les livraisons…

Dans sa campagne tourangelle, la quadragénaire trace son chemin loin des allées du Salon de l’agriculture. Dans son troupeau métissé, les chèvres ont gardé leurs cornes et portent toutes un collier à leur nom : Litchi, Fiesta, Fable…

Dans sa ferme, aucun animal ne partira à l’abattoir

L’éleveuse connaît le parcours de chacune : « À 11 ans, Douchka est la doyenne des laitières. Je l’ai ramenée d’un stage dans une ferme cévenole. » C’était en 2008. Après une formation en agronomie tropicale, une expérience dans une ONG de développement au Mozambique puis divers contrats aidés en France, elle décide de devenir éleveuse : « Je voulais être mon propre patron, avec mes animaux, à la campagne. »

En stage de reconversion, elle n’a pas supporté d’amener les chevreaux chez l’engraisseur. Dans sa ferme, aucun animal ne partira ni chez l’engraisseur, ni à l’abattoir, se dit-elle alors. Pari tenu grâce à la création en 2014 d’un refuge attenant à sa ferme. La relation de l’éleveuse avec ses chèvres se renforce : « des êtres sensibles, curieux et affectueux, avec lesquels je vis au quotidien ». À ceux qui militent pour l’abolition de l’élevage, elle répond que soutenir des fermes familiales et respectueuses des bêtes, ce serait déjà bien : « Les humains et les animaux domestiques évoluent ensemble depuis des millénaires. Nous sommes interdépendants. »

Nathalie Picard


> EN SAVOIR PLUS

Aux petits soins Bienvenue aux boucs castrés, aux chèvres à la retraite et aux éclopés. Depuis 2014, le refuge associatif des Croq’épines accueille tous les animaux de la ferme devenus non productifs. Pour limiter leur nombre, Alexandra Dupont laisse au moins deux à trois ans entre deux gestations (ce qui réduit les naissances de chevreaux mâles) et mise sur une lactation de longue durée. Reste malgré tout 75 bouches à nourrir, ce qui nécessite du temps et de l’argent. Le refuge lance un appel au bénévolat et aux dons. Il est même possible de parrainer une chèvre.

>>> lafermedescroqepines.com

Athlétisme : Agathe Bougouin, un bond en avant

Agathe Bougouin (A3 Tours) a enfin franchi la ligne des 6 mètres au saut en longueur !

L’athlète de l’A3 Tours affichait un grand sourire, dimanche soir, à l’issue des championnats de France espoirs d’athlétisme indoor disputés à Saint-Brieuc. Non seulement, Agathe Bougouin venait d’ajouter une nouvelle médaille nationale à son palmarès en prenant la troisième place mais, de surcroît, en franchissant pour la première fois les 6 m au saut en longueur, elle venait de signer son entrée dans la cour des grandes.

À 20 ans, la native d’Angers qui a grandi à Saint-Nicolas de Bourgueil, pour vivre aujourd’hui à Nantes où elle est étudiante en sociologie, continue de gravir les échelons dans la hiérarchie nationale. Alors qu’elle se présentait en outsider à l’entame du concours, l’athlète licenciée à Tours, nous a sorti un de ses concours dont elle a le secret.

Un record personnel

Comme aux championnats de France juniors, il y a trois ans, ou déjà en espoirs en 2018, elle a signé sa meilleure perf de la saison en grande compétition. Prenant la tête de l’épreuve au 2e essai (5,98 m) en battant de six centimètres son record personnel, elle faisait encore mieux lors de son avant-dernière tentative avec 6,01 m venant se classer derrière Léonie Cambours (6,16 m) et Angelica Berriot (6,05 m).

Désormais 13e performeuse française de la saison, juste derrière Heather Arneton, grand espoir de la discipline en France, Agathe Bougouin vise les championnats de France élite à la fin du mois à Liévin où l’occasion lui sera donnée de briller encore et de démontrer que l’allongement de sa course d’élan (14 à 16 foulées) pourrait l’emmener encore plus loin.

Thierry Mathiot

Bruissements d’Elles : la création féminine se sent pousser des « elles »

Bruissements d’Elles, le festival dédié à la création au féminin, revient ! Au menu ? Événements, expos, rencontres et films dans une dizaine de lieux culturels de Touraine. Rendez-vous du 4 au 25 mars.

POUR LA PETITE HISTOIRE

Et si on remontait le temps ? Retour en 1998. Outre-Atlantique, Les Monologues du Vagin, la pièce écrite par Eve Ensler, s’apprête à conquérir le monde. Pilier du féminisme, cette création impertinente, maline, drôle et sérieuse, donne enfin la parole aux femmes. Et à leur vagin, mot ridiculement tabou depuis des lustres. Le succès est fulgurant. La France succombera également au charme.

Et alors que la pièce secoue la planète, la Touraine bruisse d’un vent de liberté : la création au féminin, elle se retrouvera incarnée dans la foulée par Bruissements d’elles, un festival « né du désir d’affirmation et d’émancipation des femmes œuvrant en tous secteurs de la création ». Plusieurs villes se réunissent autour d’une programmation qui veut mettre en valeur l’histoire des femmes, à travers la musique, la danse, l’humour ou encore le théâtre.
Deux mots d’ordre : qualité et variété. Au service d’un festival féministe (aussi) et féminin (beaucoup).

Vingt-et-une bougies

Cette année, Bruissements d’elles célèbre donc sa 21e édition. Côté organisation, on espère de nouveau un succès : « C’était quasi-complet l’an dernier. Là, nous attendons plus de 4 000 personnes, voire un peu plus, se réjouit Cécile Dujardin, du Point Cédille pour la coordination de la communication. Bruissements d’Elles est devenu un label. Nous n’avons que de très bons retours. Et maintenant, les gens n’hésitent pas à assister à plusieurs spectacles. »

On ne change pas une équipe qui gagne, on continue sur le même principe : chaque structure choisit sa programmation, avec en ligne de mire, faire entendre les femmes artistes. Le tout dans 15 lieux culturels tourangeaux, à travers 10 spectacles, 6 concerts, 4 expositions et 3 séances de cinéma.

Spectacles et théâtre : doublé gagnant

Le choix est cornélien parmi tous les spectacles prévus !

-Le cœur de la rédac’ penche d’abord pour « Nous sommes les petites filles des sorcières que vous n’avez pas pu brûler ! ». Derrière ce titre aux allures de poing levé, l’auteure Christine Delmotte retrace 4 moments-clés de l’Histoire des femmes, des Suffragettes au droit à l’avortement, en passant par la jeune pakistanaise Malala et les Femen ukrainiennes (6 mars à Oésia).

Nous sommes les petites filles des sorcières… (Photo Lara Bongaerts)

-Impossible également de résister à « Un coeur simple » : acclamée par la critique, la pièce de théâtre emmenée par Isabelle Andréani investira les planches de l’Escale, à Saint-Cyr (13 mars). Tirée de Trois Contes, cette nouvelle de Flaubert redessine les relations sociales codées du XIXe siècle, via la figure de la servante Félicité.

Concerts : notre top 3

Dur, dur de choisir parmi les 10 concerts prévus à Bruissements d’elles.
-Mais difficile toutefois de ne pas mettre en lumière Pauline Dupuy qui sera sur la scène de la Grange de Luynes pour Contrebrassens, revisitant avec sa contrebasse les chansons autour des femmes écrites par l’immense Brassens (6 mars).

-En second, plaçons la venue de Suzane à La Parenthèse de Ballan-Miré (14 mars). Nominée aux Victoires de la musique 2020, la « conteuse d’histoires vraies sur fond d’électro », ainsi qu’elle se définit, devrait faire salle comble.

Mayra Andrade (Photo © Ojoz)

-Enfin, coup de cœur pour Mayra Andrade : c’est l’Espace Malraux qui accueillera la chanteuse capverdienne et son énergie solaire, le temps d’un concert à Joué-lès-Tours (24 mars).

Expos : la preuve par 4

Bruissements d’elles accueillera quatre artistes qui exposeront durant le mois : la peintre Cathy Belle avec ses « Fragments d’elle » à Azay (du 29 février au 21 mars) ; Olivia Rolde et ses peintures tantôt verdoyantes, tantôt brûlantes à La Riche (du 6 au 28 mars) ; la Tourangelle Gil KD et ses superbes oeuvres baignant dans la culture urbaine (du 14 mars au 12 avril à Langeais – voir photo) et la plasticienne et scénographe Danielle Marchal à Luynes (du 11 au 28 mars). Toutes les expos sont gratuites !

Gil KD

Cinéma : Gloire à Agnès Varda

Quoi de mieux, côté cinéma, de rendre hommage à la grande Agnès Varda ? Un an après sa mort, Bruissements d’elles tournera ses thématiques autour des films de cette documentariste accomplie punkette dans l’âme (et dans la coupe de cheveux!). L’ombre de Varda la militante féministe planera au-dessus de La Pléiade avec Visages, Villages (10 mars), de La Grande avec Jacquot de Nantes (12 mars) et à Langeais avec Les Plages d’Agnès (17 mars).

Aurélien Germain

> Du 4 au 25 mars, dans 15 lieux culturels de Tours et son agglo.
> Programme complet, tarifs et billetterie en ligne sur bruissementsdelles.fr > À suivre également : « Festival Bruissements d’elles » sur Facebook

Au Maître Carré : le croque-monsieur revisité

Croqueurs, croqueuses, la rédac de tmv est allée tester pour vous Au Maître Carré, un établissement spécialisé… dans le croque-monsieur.

Un restaurant spécialisé dans le… croque-monsieur ? Tiens donc ! À première vue, c’est l’étonnement qui prime. Pas que le concept nous laisse sceptique, non. Mais la rédac se demandait bien ce qu’il était possible d’en faire.

Très vite, les doutes s’effacent quand on passe le pas de la porte du Maître Carré, à quelques mètres de la place Plum’. Car évidemment, ici, la fine équipe – jeune et dynamique – a fait le choix de retravailler ce plat.

On retrouve ainsi une petite carte qui customise les croques à coup de tomates confites, poulet, parmesan pour le « fermier » par exemple. Ou en y rajoutant thon, béchamel et comté (pour le « pêcheur »), voire de la sauce barbecue avec oignons caramélisés, bacon et cheddar. À noter que le Maître Carré n’a pas oublié les végétarien(ne)s : trois croques différents leur étant consacrés (aubergines, miel, pommes, etc.)

Les présentations faites, on se rue sur le « Savoyard ». Le croque-monsieur arrive sur un plateau de bois. Il est plutôt épais en main. Côté garniture, on est sur de la viande des grisons, tartinée de béchamel qui supporte des pommes de terre et du morbier coulant comme il faut. Bref, bien loin du croque industriel et famélique.

Ketchup à la carotte et légumes des Halles

Le menu permet de l’accompagner avec soupe du moment (à l’heure où vous lirez ces lignes, ce sera normalement butternut), salade ou frites-maison… accompagnées d’un ketchup de carottes (!) qu’on a adoré. Et là encore, du fait-maison.

C’est d’ailleurs un des credo de la maison qui insiste sur cet aspect et sur la provenance des produits. « Tous les légumes viennent du marché des Halles », précise Mathieu, à la tête de l’établissement. Idem du côté du pain, pris à deux pas d’ici, et les bières, locales.

Ajoutez un rapport qualité-prix plus que raisonnable (moins de 10 € le tout) et une plage horaire d’ouverture très large, le Maître Carré nous apparaît comme une chouette adresse. La carte étant appelée à se renouveler régulièrement, la rédac’ se fera un plaisir d’y retourner avant d’aller boire un petit verre à Plum’ !

Aurélien Germain

> 23 rue de la Monnaie. Contact 02 47 61 43 45 ou sur les réseaux sociaux : sur Facebook ou sur instagram

> Ouvert dès 11 h 30 puis jusque tard le soir. Fermeture le lundi et le mardi.

> L’addition Les menus (croque + boisson + accompagnement) oscillent entre 9,50 € pour la taille M et 10, 50 € pour le L. Menu enfant à 6,50 €. Croque-monsieur seul à 6,50 €, dessert à 2,50 € et verre de vin à 3,80 €. Les bières locales sont à 4,50 € la bouteille.

Horoscope WTF du 12 au 18 février 2020

Avant la petite pause des vacances de février de tmv, l’astrologue a tenu à vous faire un dernier cadeau. Un bon petit horoscope, gentil comme il faut. Ou pas.

Bélier

Amour

Le proverbe dit : « mieux vaut séduire que sévir ». Ce qui n’est pas votre cas, sadomaso que vous êtes.

Gloire

Conseil : lisez un autre horoscope. On est bien trop chacal avec vous.

Beauté

Bon sang, cette odeur…

Taureau

Amour

Les 2es décans passeront une sale semaine. Les autres, on s’en fout totalement.

Gloire

Dites-vous bien que, souvent, vous êtes aussi utile que la croûte sur le pain de mie.

Beauté

Vos cheveux brillent, waouw ! Des nouveaux soins ? Non, juste les cheveux gras.

Gémeaux

Amour

Pas de chance, votre libido fait face à l’obsolescence programmée.

Gloire

Le lundi, ça pue. Voilà, de rien pour le super conseil ! Bisou.

Beauté

L’alignement de Vénus et de l’étoile polaire vous offrira une pilosité monstre.

Cancer

Amour

Comme on dit : « on est jamais mieux servis que par soi-même » ! (clin d’oeil coquin, krrkrr)

Gloire

C’est donc ça, la perfection ? Regarder un(e) Cancer dans les yeux. MOOOH !

Beauté

La constellation du Rocco Siffredi vous voit tout(e) nu(e). Et c’est pas joli-joli.

Lion

Amour

Ça fait un peu long pour l’abstinence, non ? ‘Serait p’tet temps d’aller faire un tour au couvent.

Gloire

Vous le saviez, vous, que in meinem Hals steckt ein Schlauch ?

Beauté

Même les pandas sont jaloux de vos cernes.

Vierge

Amour

Vous êtes une vraie bête de sexe !… Ah non, mince, on s’est plantés, c’était pour les Balances.

Gloire

Faut dire, Balance ou Vierge, c’est la même chose, les deux signes sont nazes.

Beauté

MAIS vous sentez bon des trous de nez.

Balance

Amour

Prière de lire l’horoscope des Vierges please.

Gloire

« On apprend de ses erreurs ». Autant dire que vous n’êtes pas sorti(e) de l’auberge…

Beauté

Regardez dans le ciel ! Est-ce un oiseau ? Un avion ? Superman ? Non, c’est l’ego des Balances !

Scorpion

Amour

Arrêtez de courir plusieurs lièvres à la fois. On sait que vous êtes chaud lapin, mais tout de même…

Gloire

Votre avenir est comme vos plans : foireux.

Beauté

Une crise de gaz intempestive vous causera préjudice dans les transports en commun.

Sagittaire

Amour

Tel le ver solitaire, vous êtes bien seul(e).

Gloire

« L’art de la réussite consiste à savoir s’entourer des meilleurs », disait Kennedy. Ce qui tombe bien, vu que ce n’est absolument pas votre cas, vous qui êtes juste entouré(e) de boulets.

Beauté

C’est bon, on a pigé que vous étiez claustro’ des sous-vêtements.

Capricorne

Amour

Votre slip est comme un concert des Rolling Stones, il affiche toujours complet.

Gloire

D’ailleurs, vous êtes tellement génial(e) qu’avec vous, c’est toujours « saaatisssfaaactioooon » (moh trop choupi, on vous aime un peu)

Beauté

Bon sinon, vous êtes aussi frippé(e) que Keith Richards. (On pouvait pas être sympa jusqu’au bout, mes p’tits gnous.)

Verseau

Amour

Le papillon que vous êtes aimerait bien butiner un peu autre chose que son plaisir solo.

Gloire

Uranus vous prédit un sacré samedi soir. Dommage que vous ne vous en souviendrez pas.

Beauté

Vous avez le charisme d’un ragoût de boeuf.

Poissons

Amour

P’tet. Mais p’tet que pas.

Gloire

Cette semaine, on n’a pas trop envie de se fouler, vous avez vu ? Tidadidadaaa…

Beauté

… Sinon, ça va comment, vous ? Oh bah crotte, l’horoscope est fini. A+ !

Amour : quand le big love est un big business

Les sites de rencontres ? Un vrai labyrinthe, où l’on s’en prend au porte-monnaie et à l’amour-propre des célibataires. Car sur le web ou dans la « vraie » vie, le coeur à prendre est un client. Embarquement immédiat dans le monde des pros de l’amour.

Les portions individuelles concurrencent allègrement les plats familiaux dans les rayons du supermarché, signe que le célibat est désormais un vrai marché. Célibataires, veufs et divorcés représentent en effet plus de 50 % de la population adulte de plus de 15 ans selon l’INSEE.

Or, quoi de mieux pour attirer les célibataires dans les filets de son commerce, que de leur proposer de rencontrer l’âme sœur ? Le site français de rencontres en ligne Meetic a ouvert la voie en 2001, dans un secteur aujourd’hui concurrentiel et segmenté. En 2019, on comptait ainsi plus d’une centaine de sites et applications en France.

Des généralistes Tinder ou Adopteunmec jusqu’aux plus spécialisés (religion, âge, secteur professionnel, extraconjugal…), le refrain est le même : dis-moi qui tu es, et je te dirais qui aimer… à condition d’ouvrir ton porte-monnaie ! Car si on s’inscrit gratuitement, l’accès à toutes les options est souvent payant.

Un beau pactole

Appâté par la possibilité d’une rencontre (d’un soir ou d’une vie), un quart des français a déjà tenté l’expérience. La seule garantie, c’est un beau pactole pour les entrepreneurs concernés. Au premier trimestre 2019, Tinder devenait ainsi l’application la plus rentable de l’histoire, avec 230 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Thierry, Tourangeau de 31 ans, fait partie des déçus d’internet : « Je payais 29 euros par mois sur le site, mais être devant mon écran ne m’aidait pas à sortir de ma réserve. Et j’avais peur de tomber sur des faux profils. » Il a donc opté pour une soirée pour célibataires, « plus conviviale que le virtuel ».

Aux commandes des soirées Air Célibat créées fin 2019 à Tours et Nantes, on retrouve William Nicolas, 32 ans. Pour le jeune entrepreneur, le succès est au rendez-vous, mais ce n’est pas un hasard : « J’ai mené une étude de marché, évalué le nombre de célibataires sur Tours-agglo, le nombre d’inscrits sur les sites de rencontres, testé autour de moi le concept, et j’adapte ma communication en fonction des profils déjà inscrits à la soirée ».

« Remettre au goût du jour le bal d’autrefois »

Lieu insolite, accueil personnalisé, jeux variés, apéro dînatoire et musique jusqu’au bout de la nuit : pour trente euros, William cherche à offrir une soirée qui sort de l’ordinaire à sa soixantaine de convives. Avec un objectif : « remettre au goût du jour le bal d’autrefois, pour aider les gens à se rencontrer. »

La rencontre « à l’ancienne », c’est aussi la spécialité de Patrice Huby, directeur de l’agence matrimoniale Fidelio Tours depuis vingt-deux ans. « Avant l’apparition des sites, notre travail était simple : les clients nous contactaient, et nous organisions les rencontres. Aujourd’hui, nous devons proposer plus, pour des personnes de tous âges qui sont déçues (voire abîmées) par leur expérience sur le web, ou qui ne souhaitent pas y avoir recours. »

On s’abonne donc pour un suivi au long cours. Patrice Huby aide son client à se poser les bonnes questions, en fonction de son passé amoureux et de son caractère, avant de l’aiguiller vers la bonne personne. Dernier couple marquant en date ? Une femme de 84 ans et son nouvel amoureux de 92 printemps, car il n’y a pas d’âge pour s’aimer… ni pour se marier.

Cahier des charges et marché

Et là aussi, des professionnels s’invitent à la noce. Depuis une quinzaine d’années, les wedding planners se chargent d’organiser ce grand jour. En Touraine, Noémie s’est lancée en 2016 avec son agence Mona Lisa. Son but : « trouver l’équilibre entre les envies des clients et leur budget, et après avoir établi avec eux un cahier des charges, je m’occupe de tout pour qu’ils profitent à fond de leur journée ! ».

Pour Pauline, mariée en 2019, le recours à une pro a permis de simplifier la logistique et de soulager tout le monde : « Nous ne voulions pas mettre à contribution nos proches, pour que tous vivent l’événement sans stress. » Rendons-nous à l’évidence : des mots comme « cahier des charges » ou « marché » ne sont pas romantiques, car l’amour est un enjeu commercial, n’en déplaise aux fleurs bleues. Mais cultivez cette petite étincelle en vous, qui déjoue toujours les lois du marché ! (cœur avec les doigts).

Maud Martinez

TMV du 12 au 18 février 2020

https://tmv.tmvtours.fr/wp-content/uploads/2020/02/TMV_A_20200211_TMV_001_T_Q_0-BD.pdf

La Saint-Valentin approche ? Tant mieux ou tant pis. En tout cas, tmv s’est intéressé au business (lucratif) de l’amour, entre wedding planners, applis et autres bons plans des pros du big love. Retrouvez aussi la fin de notre série « tmv vous coache » pour découvrir les progrès de nos lectrices. Sans oublier, bien sûr, l’horoscope WTF, la chronique resto (avec un resto 100 % croque-monsieur !), un zoom sur Bruissements d’Elles et la création au féminin, ainsi que l’appel aux dons de Blouses Notes.

Attention, tmv reviendra ensuite le 4 mars !

La France à la carte

Moi, quand j’étais minot, à l’école où j’allais, il y avait des grandes cartes en couleur posées sur des rails accrochés aux murs. Elles tenaient par de gros œillets dorés et le maître ou la maîtresse pouvait faire coulisser les cartes pour afficher celle sur laquelle la classe devait plancher.

Elles étaient fabriquées pas loin d’ici, d’ailleurs, ces cartes, du côté de Montmorillon. Un geste et paf, on avait un topo sur la production nationale de charbon. Un mouvement de bras et zoup, les fleuves et rivières de France s’affichaient sous nos regards inquiets.

Elles sont un peu passées de mode ces jolies cartes illustrées. On les trouve encore parfois en brocante et on les achète pour la déco de nos maisons. Mais, quelque chose me dit qu’il va bientôt falloir penser à les ressortir, histoire de se rappeler comment c’était la France, avant.

Quand il y avait une ville qui s’appelait Le Havre, quand on pouvait partir en vacances sur l’île d’Oléron, quand les vignes de Saint-Emilion ne poussaient pas sur la plage. Allez, vous révisez cette semaine, et mercredi prochain : interro !

Blouses Notes lance un appel aux dons pour aider plus d’enfants malades

Intervenant auprès des enfants malades à l’hôpital, l’association Blouses Notes recherche des donateurs pour étendre son action. Et apporter encore plus de bonheur en musique.

Blouses Notes intervient dans les hôpitaux (Photo archives NR)

Les faits

C’est grâce à eux que, depuis 1998, les petits hospitalisés à Clocheville peuvent un peu sourire, à travers des couloirs où résonne de la musique. Les membres de Blouses Notes interviennent effectivement depuis bien longtemps au CHU, en section pédiatrique, pour apporter un peu de réconfort aux enfants. En animant de tels moments, elle promeut également la pratique musicale auprès du personnel.

L’association vient de lancer un appel : elle recherche actuellement des financements privés de particuliers ou d’entreprises, pour l’aider à développer (et bien sûr continuer) ses actions. Blouses Notes cherche notamment à intervenir une journée supplémentaire auprès des enfants malades de l’hôpital Clocheville, à Tours. Ce qui porterait à cinq, le nombre de venues mensuelles.

Le contexte

Blouses Notes intervient actuellement quatre jours par mois dans les salles de jeux du CHU et dans huit services différents. Mais depuis des années, la situation financière de l’asso est particulièrement fragile. On se souvient, en mai 2018, à quel point son action était menacée (lire notre ancien article).

Mais malgré ce coup de blues, Blouses Notes a tenu bon. En 2020, elle a d’ailleurs accueilli un quatrième musicien, Rémi Bénard, pour compléter l’équipe.

Les enjeux

Il faut financer les 400 heures de présence par an dans les services de l’association. C’est un défi de taille, mais Blouses Notes a souhaité lancer un appel aux dons pour rappeler qu’elle agit directement auprès de 2 000 enfants et familles.

Avec un jour supplémentaire d’intervention, les musiciens pourraient alors passer dans des services encore non-visités jusqu’à présent. Et continuer à distiller leur bonne humeur un peu partout auprès des enfants malades et hospitalisés. Car c’est bien connu : la musique adoucit les mœurs… et les cœurs.

Aurélien Germain

> Pour aider Blouses Notes, les donateurs peuvent se rendre à cette adresse : helloasso.com/associations/blouses-notes

 

Orientation et formation : ils nous racontent leurs études

Retrouvez notre dossier spécial orientation et formation dans le dernier numéro de tmv.

C’est le grand paradoxe de l’orientation : on vous demande de faire des choix qui, potentiellement, peuvent engager toute votre vie, alors que vous êtes dans la période de votre vie où vous avez le moins de certitudes. Alors, bien sûr, pour vous aider, vous demandez des avis aux uns et aux autres.

C’est exactement ce que nous avons fait dans ce bonus que nous avons conçu pour les jeunes en orientation et aussi pour leurs parents qui ne sont pas, en général, les derniers à s’inquiéter pour l’avenir. Et, comme on vous connaît un peu, on s’est dit qu’il valait mieux demander à des jeunes, encore étudiants, de vous raconter, de l’intérieur, les études qu’ils sont en train de suivre.

Médecine, langue, Staps, Droit, Marketing, Clément, Charlotte, Noémie et les autres vous racontent leurs études. En espérant qu’ils vous aideront à faire votre choix.

⇒ DOSSIER SPÉCIAL A TÉLÉCHARGER JUSTE ICI

 

L’artiste Pio croque la vie comme ses dessins

Les galeries d’art tourangelles exposent souvent des noms bien connus dans le milieu mais parfois, aussi, lancent des petits nouveaux, aux parcours singuliers. Pio en fait partie. Autodidacte, le dessin n’est pas son métier mais sa passion. Le jour, elle travaille dans un club de rugby. La nuit, elle dessine. Son trait est frais et réjouissant tout comme sa personne. Rencontre.

Elle est de la nouvelle génération d’artistes, celle qui se lance sur les réseaux sociaux. Instagram et Facebook l’ont fait connaître auprès du public et du monde de l’art tourangeau. Qu’elle s’en souvienne, elle a toujours dessiné. « J’ai fait des arts plastiques au lycée mais je n’ai pas poursuivi car ce n’était pas un métier pour ma mère. »

Aucune frustration pour autant, Pio est du genre positif et si elle s’occupe de comptabilité et de secrétariat au sein de l’US Tours rugby, elle s’épanouit totalement dans ce milieu sportif. « J’ai besoin de voir du monde ».

Une artiste pas seule dans son monde et la tête sur les épaules. La nuit, elle développe son univers créatif et poétique, lorsque sa fille de 7 ans dort enfin. En fait, Pio s’est vraiment remise au dessin il y a deux ans, avec sa fille, qui tente parfois de l’aider sur ses œuvres mais « se voit opposer un refus à son grand désespoir », s’amuse-t-elle, la voix douce. « C’était comme s’il me manquait un truc avant dans ma vie et que j’avais enfin réussi à exploiter mon grain de folie. »

Un stage à l’atelier Célavie et ses premières œuvres se retrouvent sur les murs d’un magasin de tapisserie, SOFA. Puis son frère, musicien, mixait au Citizen, dans le vieux Tours et voilà ses œuvres affichées dans ses lieux d’expos alternatifs.

Prise de risque gagnante

« Et de fil en aiguille, c’est le mélange des rencontres. Pour moi, la Boîte noire est la référence artistique à Tours du point de vue de l’originalité des œuvres et de son large éventail. C’était là que je voulais exposer. J’y traînais souvent pour voir ce qu’il s’y passait et puis, un jour, j’ai osé demander à Agathe comment on faisait pour exposer chez elle. J’y suis allée au coup de poker. »

Une prise de risque gagnante. Elle vient d’y être exposée pour les Petits formats de janvier. Des œuvres « qui tournent toujours autour d’un personnage, avec la thématique de l’enfant, de la femme et de l’oiseau. Je suis dans l’expression intuitive. » Un mélange d’encre de Chine et d’aquarelles « aux textures aériennes ».

Le côté élitiste de l’art ne lui parle pas. « Je suis ouverte et je veux partager mon plaisir. Il y a plein de fois où je me suis baladée dans les galeries et je ne pouvais pas m’offrir les œuvres, trop chères. Je trouve ça dommage. L’art ne doit pas être réservé à une catégorie. » Son parcours singulier le prouve. « Je n’ai pas fait les Beaux-arts, je ne viens pas d’une famille d’artiste, cela ne m’a pas empêchée d’aller vers ça. »

En ce moment, Pio entame une pause dans ses dessins et cherche l’inspiration dans les galeries parisiennes où elle furette ses yeux curieux.

A.D.

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> Instagram #artistepio

« L’Intime festival, c’est un peu l’inverse d’un festival d’été »

L’Intime Festival revient pour sa douzième édition à Saint-Avertin. Une programmation variée et un seul maître mot : proximité.

Sanseverino est l’une des têtes d’affiche de l’Intime festival.

L’Intime festival, c’est trois soirs hors du temps. Trois soirées pour retrouver un peu de cette proximité entre le public et les artistes qui a trop tendance à se perdre. « L’Intime, c’est un peu l’inverse d’un festival d’été, résume Joao Goncalves, responsable des actions culturelles à la mairie de Saint-Avertin. J’adore ces grands rendez-vous, mais on est souvent assez loin de la scène, dans un espace ouvert… Ici, c’est en intérieur, avec une jauge qui permet d’être très près de l’artiste, de presque le toucher. »

Au départ, l’Intime festival, s’attachait également à privilégier les soirées acoustiques, mais depuis deux ou trois éditions, l’électro a fait son apparition à Saint-Avertin. « En fait, reprend Joao, c’est cette authenticité, ce lien qui est important. Peu importe finalement, que la musique soit amplifiée ou non, électronique ou acoustique. »

Têtes d’affiche et noms plus confidentiels

Idem pour la programmation des soirées, où les têtes d’affiche voisinent avec des noms plus confidentiels. « Cette année, on me parle beaucoup de la soirée Sanseverino (photo), qui sera en effet un grand moment et d’Électro Deluxe. Mais moi, ma soirée coup de cœur, c’est celle du vendredi, avec Malik Djoudi. C’est un folk classe, c’est soyeux. Un coup de cœur. »

Mais, pour de vrai, il y en a pour tous les goûts, à l’Intime festival. Les goûts de chacun et les goûts du moment. On vient pour un grand nom et on se laisse embarquer par un groupe dont on ignorait jusqu’à l’existence. C’est la magie d’un festival, mais d’un festival d’hiver, qui se vit bien au chaud, en rangs serrés.

« Et puis, conclut Joao, il y a toujours une place pour les groupes de la scène locale qui peuvent vraiment trouver un public ici. Il faut les découvrir. Il n’y a pas que les groupes lillois ou bordelais qui valent le coup ! »

> AU PROGRAMME

Jeudi 6, à 20 h 30 : Sanseverino (solo). Tarifs : de 18 à 26 € Vendredi 7, à 20 h 30 : Jim Ballon (ancien lauréat du dispositif Téléscope de Jazz à Tours), Troy Von Balthazar et Malik Djoudi. Tarifs : de 8 à 14 €. Samedi 8, à 20 h 30 : Strawberry Seas (accompagné par Jazz à Tours dans le cadre du dispositif Télescope), Electro Deluxe et Zoé Colotis (DJ set). Tarifs : de 11 à 18 €

Horoscope WTF du 5 au 11 février 2020

Cette semaine, bonne chance aux Capricornes qui – une fois n’est pas coutume – prendront cher dans l’horoscope WTF de tmv. Mais on les aime bien, au fond. Parfois…

Bélier

Amour

La constellation d’Evelyne
Dhéliat prédit une vigilance orange
en-dessous de votre ceinture.

Gloire

Vous voulez une blague ?
Quelle est la différence entre un
chauve et une pomme ?…

Beauté

Réponse : les 2, surtout si la
jambe est plus longue.

Taureau

Amour

Pensez à réarmer votre slip.
Ça va être la guerre pour votre libido.

Gloire

Une récente étude indique
que les Taureaux sont les plus sympas
et géniaux de toute la planète…

Beauté

… Mais tout le monde sait
que les études ne racontent que des
conneries, donc bon.

Gémeaux

Amour

Pas top, mais vous mettez
quand même votre pierre à l’orifice
(haha qu’est-ce qu’on s’marre bande
de pervers).

Gloire

Votre mot d’ordre : Pourquoi
faire simple quand on peut faire compliqué
?

Beauté

La gastro, ça fait maigrir.
On dit ça…

Cancer

Amour

Bah dites donc, c’est la fête
du slip en ce moment de votre côté !

Gloire

Vous allez participer à un dîner
de cons. En revanche, on ne sait
pas si vous serez l’hôte ou l’invité(e).

Beauté

Vous avez la peau douce
pour une peau de vache.

Lion

Amour

L’être aimé est bruyant au
lit… mais pas avec vous.

Gloire

Quelle était la probabilité
pour que le fisc opère à un contrôle
fiscal chez vous après avoir lu cet horoscope
?

Beauté

Pas de pot, vous ressemblez
à un œuf.

Vierge

Amour

Le ridicule ne tue pas. Sinon
il aurait déjà défoncé votre ex à coup
de pioche.

Gloire

La nuit ne porte pas conseil,
c’est faux : vous foirez tout ce que
vous entreprendrez.

Beauté

Comme l’a dit un grand
sage : Pleure, tu pisseras moins.

Balance

Amour

Bah, le célibat, c’est cool
aussi. Ça vous muscle le bras droit.

Gloire

Repose en paix, petite dignité
partie trop tôt… Snouf.

Beauté

Tel le lip dub, vous étiez à
la mode il y a 10 ans.

Scorpion

Amour

Filmer vos ébats ne vous
rendra pas meilleur(e) ! (on en sait
quelque chose).

Gloire

C’est pas facile la vie quand
on est aussi parfait(e) que vous, n’estce
pas ?

Beauté

Le spécialiste du mono-sourcil,
c’est vous ! (mais ouiii, vous êtes
beau/belle, blabla tout ça tout ça)

Sagittaire

Amour

Au pieu, on vous surnomme
Pépin le Bref.

Gloire

Noooon, ce n’est pas que
vous êtes toujours en retard. C’est
simplement que vous n’êtes pas spécialement
en avance.

Beauté

Vous êtes aussi délicat(e)
qu’un éléphanteau sous Lexomil dans
un magasin de porcelaine.

Capricorne

Amour

Tiens c’est marrant,
lors de l’orgasme, vous ressemblez
à une merguez en pleine
crise d’épilepsie.

Gloire

Vous êtes partisan du
moindre effort. (allez bim, c’est
gratuit mais je m’en fous)

Beauté

Parfois, le matin, vous
avez l’haleine d’un prof de SVT.

Verseau

Amour

Dire que vous avez le pouvoir
de vous reproduire… C’est relativement
inquiétant.

Gloire

Un slip tout doux, un doigt
dans le nez, des chips : c’est pas ça,
la vraie vie ?

Beauté

Vos cernes sont aussi
grandes que la malle dans laquelle
s’est planqué Carlos Ghosn.

Poissons

Amour

Faites la guerre, pas l’amour.
De toute façon, vous n’êtes pas
doué(e) dans ce domaine.

Gloire

On ne va pas se mentir. La
vie serait bien triste si vous n’existiez
pas.

Beauté

Oulaaaa, ça sent comme
chez mémé par chez vous !

Quand les galeries veulent mettre l’art à portée de tous

Une nouvelle génération de petits galeristes tente de dépoussiérer leur image et de faire partager l’art à tous.

À Tours, elles se comptent sur les doigts de la main, les galeries d’art contemporain qui exposent quasi en permanence des artistes. Veyssière, Le lieu Commun, la Galerie 21, la chapelle Sainte-Anne et puis les deux phares qui ont pignon sur rue, à l’est, Olivier Rousseau, du côté de la cathédrale et à l’ouest, la Boîte Noire, du côté de la place de la Victoire.

Ces deux galeries n’ont pas dix ans et font bouger la place tourangelle. À l’image de leurs deux gérants, aux parcours et aux styles bien différents. D’un côté, Agathe Place, de la Boîte Noire, qui a ouvert son « bébé » rue du Grand-Marché en 2012 après une solide expérience déjà en tant que galeriste à Tours.

Du coup, les artistes éclectiques qu’elle expose « sont devenus la famille », tels Laurent Bouro, M. Plume, Magalie Bucher… Elle se repose sur ces derniers comme fonds d’exposition permanent et va « glaner des moins connus et des coups de cœur ».

« Combien de fois ai-je eu des gens qui rentraient tout en s’excusant de ne rien y connaître »

Agathe Place a voulu donner une dimension humaine à son lieu en misant sur la « simplicité de l’accueil ». « Combien de fois ai-je eu des gens qui rentraient tout en s’excusant de ne rien y connaître ! Ou des jeunes qui n’osent pas car ils ne peuvent pas acheter. Je leur réponds que ce n’est pas du tout un problème. Mon but est de démocratiser l’art, faire que les gens n’aient plus peur de rentrer dans une galerie. »

Un métier passion qu’elle essaie de faire partager à ses visiteurs, en renouvelant souvent ses expos (une par mois) et en proposant des Petits Formats, à petits prix. « Je rends ainsi l’acquisition d’une oeuvre unique accessible à tous. C’est une légende de croire qu’en galerie c’est plus cher qu’ailleurs, ici on pratique des prix ateliers. »

Autre manière de démocratiser l’art et sa diffusion : la communication et les réseaux sociaux. « On fait un vernissage par mois, le rythme est hyper soutenu. Il faut souvent faire des événements, montrer qu’on est dynamique. C’est important pour fidéliser et rencontrer de nouvelles personnes. Les réseaux sociaux ont une force incroyable ; avec Instagram, on peut déjà montrer des images pour inciter les gens à se déplacer », explique Agathe Place.

Le pouvoir des réseaux sociaux

Son confrère, Olivier Rousseau confirme la force de la communication pour des galeristes d’aujourd’hui. Lui-même est un ancien communicant reconverti dans l’art. « Les affiches, flyers, réseaux sociaux et mailings autour des expositions font partie du travail. J’essaie de toucher des jeunes urbains, c’est une envie et un objectif pour moi. »

Dans sa galerie où la peinture est la raison d’être, aux côtés de dessins, de gravures et de l’art sacré, Olivier Rousseau joue la carte de l’ouverture. « L’entrée est libre, je souhaite que les gens prennent du plaisir ; je monte des expos pour partager des envies, un goût et montrer des œuvres. Le but est de faire venir du monde sans que cela ne devienne une croisade. »

Et le succès est au rendez-vous : « De plus en plus de gens viennent et ce qui me tient à cœur c’est quand les gens regardent la vitrine puis osent rentrer, j’ai conscience que ce n’est pas toujours évident. Cela fait partie de mon métier de décomplexer, désacraliser le rapport à l’art. » Olivier Rousseau et Agathe Place revendiquent tous deux l’essence de leur métier : vendre des œuvres, savoir les exposer et surtout les expliquer. Ce qui fait leur différence avec l’exposition d’oeuvres qui essaiment partout en ville, dans les bars restos, magasins,… Mais plus qu’une opposition, la complémentarité s’affiche.

Les galeristes s’adaptent puisqu’eux-mêmes travaillent avec ces lieux d’exposition alternatifs. Agathe Place avec le SmÄak et le restaurant le QG. Olivier Rousseau juge qu’ « il y a très peu de galeries à Tours et beaucoup d’artistes qualifiés donc c’est difficile de trouver un lieu et tant mieux si ces lieux peuvent leur mettre le pied à l’étrier ».

Lui-même prête des œuvres au Coffee Shop et au Bibliovore de la rue Colbert. Au restaurant La Petite Cuisine, rue Voltaire, Marie Paulay, la cheffe, expose depuis le début des artistes, Caroline Bartal et Aurélia Vissian actuellement. Plus qu’une déco, c’est une véritable harmonie qui se crée avec son restaurant.

Mettre en avant les artistes locaux

Pour Marie Paulay, « c’est une chance, j’ai un lieu beau, sobre et spacieux qui permet d’exposer. L’idée est de mettre en avant des artistes locaux, de les faire découvrir à des gens qui ne vont pas aux vernissages dans les galeries mais aussi de faire vivre le restaurant. Il faut que les tableaux soient à l’unisson de la cuisine, qu’ils se marient avec le lieu tout en étant source d’inspiration pour moi. »

Et qui sait, peut-être que les clients de Marie, après un premier coup de cœur artistique, oseront ensuite franchir la porte des galeries, chez Olivier, Agathe et les autres pépites tourangelles.

Aurélie Dunouau

Biga*Ranx, Ludwig von 88, Isha… Aucard de Tours dévoile ses premiers noms

Le festival Aucard de Tours vient d’annoncer ses seize premiers noms. Rendez-vous en juin !

Biga Ranx (Photo Sébastien Multeau)

 

 

 

 

 

 

Le coup d’envoi a commencé ! Le festival Aucard de Tours dévoile les 16 premiers noms de son affiche. Deux grands artistes risquent déjà de plaire à bien du monde : il s’agit des légendaires punks de Ludwig von 88 et du Tourangeau Biga Ranx !

Pour le reste, il faudra compter sur : Macadam Crocodile, Dooz Kawa, le rappeur belge Isha, l’Argentine Catnapp, la Grecque Marina Satti et son groupe Fonès, les Muthoni Dummer Queen venant tout droit du Kenya et le gros son de The Wytches.

Sans oublier la venue de San Salvador (polyphonie tribale), Delgres (blues caribéen), Gargäntua (techno), LVOE (indie rock), Stuffed Foxes (shoegaze), Pineapple (electro pop punk) et New Kidz (rock pour enfants).

Les 16 autres noms, ainsi que la programmation des Apérocks notamment, seront dévoilés d’ici quelques semaines.


> Le festival aura lieu du 9 au 13 juin, à Tours, sur le thème « On va tous crever ! ». Ô joie !

TMV du 5 au 11 février 2020

https://tmv.tmvtours.fr/wp-content/uploads/2020/02/TMV_A_20200204_TMV_001_T_Q_0-BD_compressed-1.pdf

Et si on faisait un petit tour dans le monde de l’art ? Tmv s’intéresse cette fois à ces galeries (et galeristes !) qui essayent de mettre l’art à portée de tous. Pas d’élitisme, ni de problème de porte-feuilles : petite virée chez cette nouvelle génération. A lire également, notre dossier spécial orientation et formation, où les jeunes racontent leurs études. Sans oublier bien sûr, l’horoscope WTF, les actus locales et internationales, nos bons plans sorties et un zoom sur l’Intime festival.

On s’est aimés comme on se quitte

Tu peux garder le pudding, je garderai le Paris- Brest. Tu peux garder la reine et Diana, il me reste Albert de Monaco et son rocher. Nous, on a la côte de granit rose alors, je te laisse le port de Douvres. Big Ben et Hyde Park, c’est pour toi. On a le Champ-de-Mars et les Invalides.

Bon, évidemment, pour les CD, il va falloir qu’on parle un peu. Il y a quand même des trucs qu’on a choisis ensemble. Bon, d’accord pour les Beatles, ils sont à toi. Garde aussi Elton John, pas de soucis. Mais bon, The Cure, Police et Cranberries, franchement, j’en ai payé au moins la moitié, non ? Et au fait ? Tu l’as mis où le Ken Loach ? Ben oui, juste à côté des Dardenne, quasiment Français, quoi ! Je te donne un Clavier et deux Jean Reno à la place, si tu veux.

Par contre, t’es gentil, tu me rends Jean-Jacques. Lui, j’en ai qu’un et le modèle ne se fait plus. Je te donne Daho en échange, si tu veux. Bon, ce qui est bien, c’est qu’on se quitte proprement, sans cri et sans drame. C’est vraiment mieux pour les enfants.

Matthieu Pays

Pass’Sport pour l’emploi : la réinsertion grâce au sport

L’association Pass’Sport pour l’emploi, imaginée notamment par Thierry Marx, va ouvrir sa première antenne régionale en Indre-et-Loire. Objectif ? Réinsérer les personnes dans le monde du travail grâce au sport.

Une antenne ouvrira à Tours. (Crédit photo : sport-pour-l-emploi.com)

Les faits

Le sport, vecteur de performance, d’esprit d’équipe et de bien-être… Et le biais idéal pour réinsérer celles et ceux qui se sont éloignés de l’emploi ou qui sont en dérive scolaire. C’est de cette idée que sont partis Thierry Marx (chef cuisinier) et Benoît Campargue (champion de judo) pour lancer Pass’Sport pour l’emploi.

« Cette école de formation à but social, humain et éducatif permet aux personnes de retrouver un emploi pérenne à l’issue de la formation grâce aux partenariats d’entreprises que nous avons développés », explique l’association. Au menu ? Un programme de 12 semaines avec sport le matin et formation au métier l’après-midi.

L’association a décidé d’implanter une antenne régionale en Indre-et-Loire, à Tours plus précisément, pour cette année 2020. La première promotion devrait voir le jour fin avril. Des entreprises tourangelles ont déjà été retenues comme partenaires, notamment dans le secteur de la sécurité.

Le contexte

Cette implantation de Pass’Sport pour l’emploi à Tours s’est faite suite à un échange avec l’association ID Cités Touraine, comme l’a précisé la directrice de la structure, Lydia Bouchardon, à nos confrères de 37°. À Paris, l’association existe déjà depuis février 2017. Elle a permis à 103 personnes de retrouver un travail en CDI.

Les enjeux

L’antenne régionale veut favoriser le retour à l’emploi en Indre-et-Loire et compte sur son « concept » pour s’adresser à tout le monde. En effet, Pass’Sport pour l’emploi vise toutes les personnes âgées de 18 à 63 ans, des simples jeunes sortis du système scolaire aux moins jeunes éloignés du monde de l’emploi.
Le fait que la formation soit gratuite devrait en outre parler au plus grand nombre. Cette « innovation sociale et solidaire » met en avant son taux de réussite de 100 %.

Le point de vue

L’antenne régionale devrait donc également réussir son pari en Touraine. Lors de la présentation à Tours, le co-fondateur Benoît Campargue a rappelé que les personnes sortant de cette formation au bout de 12 semaines en étaient « transformées » et avaient retrouvé « confiance et collaboration ». La phase de recherche des candidat( e)s va maintenant commencer. Il faudra s’armer de motivation !

Aurélien Germain