Restaurant. L'Etable, un restaurant vachement bon

Un petit restaurant, rue Colbert, où on mange bien et simple.

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De l’extérieur, ça n’a en pas trop l’air mais dès que vous pénétrez dans l’Étable, rue Colbert, vous vous y croyez. Vaches aux murs, cochons sur les tables, paille dans la mangeoire, il ne manque plus que la serveuse en bleu de travail, avec une fourche à la main. Bon, on vous rassure, ça ne va pas jusque là. N’empêche que vous serez installés sur d’épaisses tables en bois comme chez nos grand-mères. La classe !
Bienvenue, donc, à l’Étable, tenue par Ingrid Chaillou et son mari. « Ça fait huit ans que nous sommes installés ici », note Ingrid. « Notre spécialité, c’est le service à la planche. Sur une grande planche de bois, nous servons la pièce de viande (dans une assiette, quand même), puis nous avons creusé des petites cavités pour y placer la sauce et les accompagnements dans des petites cocottes. » Effet rustique garanti ! En plus de ce service original, il faut avouer que l’on mange plutôt bien à l’Étable. Un seul leitmotiv : la cuisine familiale ! Pas de chichis entre nous : on vous sert une cuisine franche, pas complexe, mais bougrement efficace. Côté vin, nous n’avons pas été déçus non plus, grâce à un Chinon vieilles vignes qui passe très bien avec les viandes de la maison.
La décoration, elle, est aussi faite maison. « On a écumé les brocantes et les foires à la recherche de mangeoires, pot à lait et figurines. Comme on habitait auparavant en région parisienne, nous avions tout entreposé dans un petit jardin avant d’installer notre restaurant. » À la ferme, (presque) comme si vous y étiez.

Escapade à Saint-Malo, ville de corsaire

Cité fortifiée, Saint-Malo est chargée d’histoire maritime. Petite virée dans l’une des plus belles villes de la côte bretonne.

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1. Un peu d’histoire dans l’intra- muros
À Saint-Malo, l’attraction principale, c’est l’intra-muros, partie de la ville la plus chargée d’histoire. Il faut savoir que 80 % de la ville a été rasée par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, la plupart des immeubles intra-muros ont été reconstruits. Seuls les remparts, une partie de la cathédrale et certains bâtiments ont résisté et sont donc d’origine. Dans les murs, vous pourrez visiter la Demeure de Corsaire, ancienne résidence d’un puissant armateur de la ville. Faites aussi un tour à la Maison du beurre, du célèbre Jean- Yves Bordier. Il y a même un petit restaurant derrière, mais il vaut mieux réserver.
 
2. L’inévitable tour des remparts
À Saint-Malo, impossible d’éviter les remparts ! L’enceinte médiévale a été construite du XIIe au XVIIIe siècle. Elle fait le tour de ville et certaines portions de remparts ont même les pieds directement dans la mer. Pour parcourir

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NOTRE GUIDE : ELEONORE BOUCHONNEAU. Lycéenne dans le cité corsaire, elle vit non loin de là, au bord de la Côte d’Émeraude. Amoureuse du vintage et de la mer, elle connait la ville sur le bout des doigts et nous en livre le meilleur.

l’ensemble du chemin de ronde, 1,75 km de marche vous attend, mais la vue en vaut la peine. On surplombe la baie de Saint- Malo et l’estuaire de la Rance, et on a une vue impre-nable sur les petites forteresses bâties sur les îlots à proximité. Mon conseil : faites cette promenade en fin de journée, quand le soleil se couche : c’est magnifique ! Pour faire une pause ? Asseyezvous sur la plage de Bon Secours, côté ouest de la ville. Vous la reconnaîtrez facilement, il y a une piscine d’eau de mer sur la plage. Quand il fait beau c’est le top, à l’abri du vent.
 
3. L’île du Grand Bé et la tombe de Chateaubriand
Depuis la plage de Bon Secours, à marée basse, vous pourrez rejoindre l’île du Grand Bé. J’aime aller y faire un tour, car on s’avance très nettement dans la baie, et la vue y est encore plus incroyable. On voit Saint-Malo côté mer, ainsi que Dinard, à peine plus loin. En faisant le tour de l’île, vous tomberez sur la tombe de l’écrivain Chateaubriand. Attention quand même de rentrer avant la marée haute…
 
4. Immersion dans le Grand Aquarium
C’est en périphérie de la ville, mais des bus partent régulièrement de la porte Saint-Vincent (entrée principale intra-muros). Requins, tortues, etc… il paraît qu’il y a plus de 11 000 animaux marins. Pensez à acheter le ticket une semaine avant sur internet, c’est moins cher !
 
 
 


OÙ DEGUSTER UNE BONNE GLACE ?
Au Sanchez, évidemment ! C’est une institution à Saint- Malo, si bien que c’est souvent bondé. Vous pouvez consommer à l’intérieur ou bien prendre un cornet à emporter. Dans les deux cas, vous serez sûr de trouver d’excellentes glaces et un choix de parfums incroyable.
 
OÙ MANGER ?
À l’Art Caddy. C’est une tarterie typiquement américaine. Ils confectionnent des tartes salées et sucrées à tomber par terre. L’ambiance totalement vintage est vraiment super sympa. Le tout, dans une ambiance musicale très jazzy. Pensez à réserver si possible, car la salle n’est pas très grande et c’est souvent plein. Sinon, vous pouvez prendre à emporter.
 
OÙ BOIRE UN VERRE ?
Au bar La Belle Époque, près de la porte de Dinan, au sud de la ville. Ils y passent de la super bonne musique, l’endroit est beau et chaleureux (il y a vieille cheminée) et les serveurs sont cools. Vous pouvez y pique-niquer en prenant une conso sans problèmes. Sinon, il y a le Java Café, au 3 rue Sainte-Barbe. Allez-y en soirée, ça vaut le détour !
 
Propos recueillis par Quentin Lesiourd

Portrait. The Evolutioners, des Tourangeaux au Printemps de Bourges

Après une longue pause, les Evolutioners reviennent. Samedi, ils vont investir la scène région Centre du Printemps de Bourges. En plus, il y a des Tourangeaux !

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« On a choisi ce nom, car on avance avec notre temps. Et on évolue en fonction du style. » Impossible de coller une étiquette à The Evolutioners. Dubstep, électro, jungle, le tout teinté d’un tas d’influences musicales comme la soul ou encore le blues. Ce trio tourangeau touche à tout. Et y touche bien. Une grosse machine qui ingurgite les genres musicaux et les recrache sous forme de « bass music », comme ils l’appellent : un mouvement de la scène londonienne des années 90. Bref, « il faut que ce soit lourd au niveau du rythme et original », résume Tomwize, membre et producteur du groupe.
Né en 2007, The Evolutioners regroupe Fée, Tomwize et Adam Paris. Fée, la seule fille, avec sa voix superbe et son parcours lié au gospel (elle participe aux Soul Voices, un choeur de femmes de Tours) et au blues. Adam Paris, lui, est un DJ anglais débarqué en France il y a une dizaine d’années. En colloc’ avec Tomwize, qui était dans un collectif dubstep, les compères composent rapidement ensemble. « Des jams » (réunions où des musiciens improvisent, NDLR) entre ces « potes de longue date » : le groupe est lancé.
Mais ces trentenaires sont des stakhanovistes de la musique. Gourmands, ils avalent les projets parallèles. Alors The Evolutioners est mis en stand-by pendant des années. C’est Laurent Geneix photographe et touche-à-tout (c’est l’homme de nos changements de propriétaires, page 17), qui va relancer la machine de guerre. « Il était fan de ce que l’on faisait. Son fils regardait notre clip en boucle sur YouTube. Il croyait en nous et a demandé que l’on fasse un pack avec nos morceaux et un communiqué de presse. Et ça a tout relancé », raconte Tomwize. Bingo ! The Evolutioners se retrouvent propulsés sur la scène région Centre du Printemps de Bourges. Ils joueront ce samedi 27 avril après-midi. « On mise tout là-dessus ! » Sans vouloir trop en dévoiler, Tomwize précise : « Nos lives commencent tranquillement, avec un peu de hip-hop hybride…Et puis ça monte en électro. Et en puissance ! »
Les pieds sur terre, ces trois musiciens sont conscients du challenge. « On a quand même un peu la pression pour Bourges », avouent-ils. « Mais j’espère qu’il y aura des acteurs pour nous donner des retours. Même si c’est négatif, c’est constructif. »
 
En écoute sur https://soundcloud.com/the-evolutioners

Sport au bureau : le basket-poubelle

La basket au bureau, c’est déjà connu. Mais faites le à la sauce TMV, ça sera bougrement mieux !

PRINCIPE :
Le tir de boulette de papier dans la corbeille, vous l’avez tous fait ! Si, si, avouez-le, cette sensation grisante que vous avez lorsque vous prenez des airs de Mickael Jordan en tentant

La baballe
La baballe

le shoot à 3 points sur votre poubelle de bureau, sous les yeux émerveillés de Ginette, la secrétaire. Eh bien cette semaine, nous vous proposons d’y mettre un peu de sport, et de règles. On vous y voit déjà, provoquant de folles parties entre collègues !
 
RÉALISATION DU JEU :
Pour confectionner la balle. D’après nos tests, pour atteindre la taille et le poids idéal, il vous faudra 4 feuilles de vieux papier ou de journal. Chiffonnez-les en 4 boulettes. Ensuite,
englobez ces éléments dans une grande feuille A3 que vous refermez de manière à lui donner une forme ronde. Un peu de scotch aidera à maintenir l’ensemble. Ensuite, coloriez votre balle à l’aide d’un stabilo orange, et dessinez votre ballon de basket à l’aide d’un feutre noir : Le panier

Le panier

deux ronds perpendiculaires puis deux ronds ovales sur le dessus et le dessous. Pour réaliser le panier. Placez votre poubelle/corbeille de bureau près d’un mur. Pas dans un angle ça serait trop facile. Prenez ensuite une feuille de papier A3 et dessinez un rectangle de 20 cm de hauteur pour 30 cm de largeur. Punaisez ou scotchez-le au-dessus de la corbeille. Ça y est ! Que la partie commence !
 
 


MATÉRIEL NÉCESSAIRE :
Pour pratiquer ce sport dans les règles de l’art, il vous faut : un bureau, une corbeille à papier, ou poubelle de bureau de forme ronde et avec une profondeur d’au moins 30 cm, du scotch, 4 feuilles de papiers à jeter, ou de vieux journaux, une feuille de papier A3, un feutre noir, un stabilo orange fluo.
 
RÈGLE :
Une fois votre corbeille/poubelle installée près d’un mur avec les éléments indiqués, placez-vous à 2 mètres. Le tir à 2 mètres vaut un point, s’il est réussi. À 4 mètres, le tir vaut 3 points. Les points ne sont acceptés qu’à condition que la balle soit entrée dans la corbeille. Vous pouvez opter pour deux modes de compétition : le temps ou le nombre de tirs.  le temps : en 1 minute, marquez un maximum de points, avec un nombre de tirs illimités.  le nombre de tirs : 10 tirs chacun. Celui qui marque le plus de points gagne le match.
 
Vous aussi, jouez, et envoyez-nous vos photos via notre page facebook.

Admirable Grandmaster

Un film virtuose sur l’histoire du kung-fu. Une oeuvre qui se regarde comme un tableau de maître.

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Wong Kar-wai aura mis près de dix ans — paraît-il — pour réaliser The Grandmaster. Et au vu du résultat, on peut le croire. Nous voilà plongés en pleine Chine des années 30, âge d’or des arts martiaux. Le pays est divisé entre nord et sud, où les « seigneurs de la guerre » tentent de se partager le pays. Loin des tracas politiques, les maîtres du kung-fu se réunissent autour de Baosen, car ce dernier se cherche un successeur.
Yip Man, maître du wing chun (une variante du kung-fu), assiste à la cérémonie et se voit désigné comme héritier, après avoir affronté toute une série d’épreuves (des bastons, évidemment). Il rencontre alors Gong Er, fille du grand maître, son alter ego sur le plan « art martial » et âme soeur sur le plan sentimental. Pas simple, car l’homme est déjà marié. Une idylle impensable, voire impossible, à l’époque. Les années passeront et les remous politiques (invasion japonaise, régime communiste, etc.) brouilleront pas mal de repères ; certains Chinois collaborent, d’autres fuient, ravivant les tensions dans les clans. Même si l’intrigue est parfois difficile à saisir, on ne peut qu’admirer le travail d’orfèvre réalisé par Wong Kar-wai. Fidèle à ses précédents films, chaque scène, chaque plan est travaillé, composé de la plus belle manière. Une véritable marqueterie lumineuse (réalisée par le chef opérateur français Philippe Le Sourd, cocorico) qui donne une densité incroyable à ce film de deux heures.
Même traitement pour les scènes de combats, travaillées et décomposées avec une qualité rarement vue. Normal, c’est le chorégraphe Woo-Ping Yuen (Matrix, Tigre et dragon et Kill Bill) qui est aux manettes. Ces efforts de composition incroyables laissent presque poindre quelques faiblesses dans le scénario, mais qu’importe. Avec cette mise en scène impeccable et cet esthétisme époustouflant on ne peut dire qu’une chose : chapeau !

Plan drague : tout a changé

Cette semaine, tmv vous a concocté une petite liste de ces nouvelles manières de chercher une moitié, pour un soir ou pour la vie. Mais façon moderne ! A la pointe de la technologie et du modernisme, quoi.

UNE ESSAI3 bis
 
FACEBOOK SPOTTED
 
KÉZAKO ?
La mode du moment ! Il suf f it de se connecter, sur Facebook, sur l ‘une des page s « Spotted » ( « repéré » , en français) + le nom de votre ville ( ex : Spotted Tours). Vous envoyez un mes sage privé à l’adm in istrate ur e n déclar a nt, anonymement, votre flamme à une inconnue rencontrée dans la DOS_spottedrue, au lycée ou dans le bus. Votre déclaration sera postée sur la page. Si votre coup de coeur passe par-là (les 16-25 ans en raffolent) et se reconnaît, il peut entrer en contact avec vous. Sinon, vous pouvez toujours rester devant votre écran avec un pot de glace géant, à pleurer et stresser, en vous demandant si votre inconnu(e) a accès à internet.
 
LES +
> Les pages Spotted sont en expansion, donc très en vue. Pour Tours, il y en a une dizaine (Spotted Tours, Fil Bleu, universités , lycées…), avec 10 000 li kes au total. Vous pouvez être « spotted » partout dans la ville.
> Parfait pour les timides. Vous n’avez pas osé parler à cette jol ie blonde dans le bus ? Envoyez votre prose, en détai llant son physique, l’arrêt de bus et l’horaire. Et qui sait ? Peut-être était-elle aussi timide ?
 
LES —
> Derrière l’inconnu(e) du Spotted peut aussi se trouver… votre ami qui a envie de vous faire une bonne grosse blague. Ou votre ex machiavéli que qui nourrit une petite envie de vengeance.
> Tout le monde ne passe pas tous les jours sur Spotted. Ça reste de la drague virtuelle…
 
NOTRE CONSEIL
Votre déclaration doit être drôle et originale. C’est ce qui marche le mieux. Plus elle sera « likée », plus votre flamme aura plus de visibilité et de succès sur Facebook . Lisez aussi un Bescherelle avant. Les fautes d’orthographe et le langage SMS, c’est aussi sexy qu’un slip kangourou.
 
ADPOTEUNMEC.COM
 
KÉZAKO ?
Un supermarché de drague pour filles ! Oui, messieurs, car ce sont elles qui vous mettent dans leur « panier ». Seule la gent féminine peut donc faire le premier pas, en vous autorisant à leur parler. Pour DOS_adoptevous faire remarquer, vous pouvez envoyer des « charmes » à madame. Si le feeling passe, vous êtes donc « adopté ». Le reste se passe en privé.
 
LES +
> Les fille s, vous évitez les gros lourds et gardez les commandes ! En plus, le site est gratuit pour vous.
> Le large choix : vous cherchez un tatoué, avec ou sans lunette, sportif ou pantouflard, roux, fashion, même livre préféré que vous… Côté moteur de recherche précis, il n’y a pas mieux.
 
LES —
> Pas de chance pour les garçons, au début, c’est gratuit. Ensuite, le site vous informe qu’il faudra paye r. À mo ins de revenir à partir de 1 h du matin.
> C’est parfois trompeur, une photo… Ah, et Photoshop fait des ravages.
 
NOTRE CONSEIL
Évitez la photo de profil à la plage quand vous rentrez votre bedaine ou la photo archi-contrastée pour cacher vos boutons d’acné . Ba n ni sse z i mp é ra t iv em e n t les surnoms comme « bogossd u37 » ou « hotlover » . Concernant vot re annonce, restez léger, original, avec une part de mystère. Ne donnez pas votre Facebook (les photos dossier et les amis qui vous ridiculisent : madame appréciera peu) ! Enfi n , pendant la discussion par mail s privés : privilégiez le s questions ouvertes.
 
PASTASPARTY
 
KÉZAKO ?
Exclusivement réservé aux célibataires, les dimanches dans les grandes villes, ce sont des dîners à base de pâtes organisés dans un restaurant privatisé pour l’occasion… La société Pastas Party fournitDOS_pasta les matières premières à l’établissement qui cuisine en échange d’un pourcentage sur le prix payé par les convives. Ces derniers profitent du moment pour dragouiller en toute quiétude.
 
 
LES +
> Se rencontrer autour d’une bonne assiette : ça détend et la pression est moindre. En plus, les soirées réunissent entre 50 et 100 adeptes. De quoi trouver une ambiance bon enfant.
> Moins impersonnel que les sites de rencontre, le concept s’est même élargi aux cours de cuisine et de bricolage, voire d’apéros.
 
LES —
> Le prix. Une s oirée (repas, boiss on) coûte 41 € à Paris ou 36 € en province (à Tours notamment). L’inscription sur le site (pastasparty.com) est, elle, gratuite.
 
NOTRE CONSEIL
Mis à part vous dire qu’il vaut mieux aimer les pâtes… Sinon, venez un minimum bien habillé : vous allez au restaurant quand même ! Et ayez de la conversation : assis à une table, il n’y a pas d’échappatoire possible. Oh, et ne venez pas si vous avez 16 ou 70 ans. Les Pastasparty réunissent en général des 25-30 ans.
 
BOTHENJOY
 
KÉZAKO ?
Une application anti-râteau, web et mobile inventée p a r u n je u n e d e 16 ans . O n s e connecte s ur bothenjoy. com grâce à s on compte Facebook et on sélectionne parmi ses contacts une personne qui nous plaît, fait flasher, craquer, fantasmer (bref !). Si de son côté, la personne désirée a fait de même, les deux en seront avertis et sauront que c’est réciproque. Sinon, il ne se passe rien : personne ne sait quoi que ce soit et… pas de râteau, ni d’embrouilles entre les deux !
 
LES +
> La confidentialité du site. Et vous ne recevrez sûrement pas de « X ne vous aime pas, ce n’est pas réciproque ».
> Idéal pour les timides ou simplement pour voir qui de votre entourage proche et de vos amis est intéressé par votre physique ravageur (ou pas).
 
LES —
> Encore faut-il que la personne soit connectée sur bothenjoy. Sinon, vous pouvez attendre longtemps.
 
NOTRE CONSEIL
N’hésitez pas à parler de cette application (gratuite !), en faisant mine de rien, à votre entourage si votre amoureux secret en fait partie. Maximisez les chances qu’il puisse se connecter et, du coup, recevoir la notification. Par contre, si l’application vous informe que les sentiments sont réciproques, il vous reste encore à vous débrouiller pour aller lui parler… en vrai. Et là, on ne peut plus rien pour vous.
 
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Et vous, comment s’est passée votre rencontre avec l’être aimé ? A l’ancienne ou façon moderne ? Envoyez vos anecdotes en message privé sur notre page Facebook !

Escapade à Bruxelles, ville européenne

Bruxelles, sa Grand-Place, son Manneken Pis, on connaît… mais connaissez-vous les recoins cachés de la capitale européenne ?

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 Le quartier des Marolles
 Le dimanche matin, un des plaisirs de Bruxelles, c’est le quartier des Marolles. Quand on arrive par le Palais de justice, on peut profiter de la vue sur toute la ville. Puis, on descend par l’ascenseur dans les petites rues des Marolles pour rejoindre le marché aux puces de la place du Jeu de Balle. Là, on prend un petit déjeuner typiquement bruxellois : le pistolet fourré (un petit pain rond, croquant et très aéré) en attendant la fin de matinée. Les marchands commencent à ranger et c’est le moment parfait pour négocier (par principe) quelques petits trésors en toc.
 Une balade à travers Ixelles
 Pour découvrir l’une des communes les plus en vogue de Bruxelles, Ixelles, je conseille de débuter par la place Flagey. C’est l’une des plus grandes de la capitale belge et l’un des endroits

Cette Parthenaisienne, apprentie pâtissière, habite Bruxelles depuis un an et demi. Amoureuse de cette ville multiculturelle, elle n’envisage pas de la quitter.
NOTRE GUIDE : ANNE CAMILLE GILBERT. Cette Parthenaisienne,
apprentie pâtissière, habite Bruxelles depuis un an et demi. Amoureuse de cette ville multiculturelle, elle n’envisage pas de la quitter.

les plus branchés avec ses nombreux bars et centres culturels. Un arrêt devant le fritkot ou baraque à frites, le meilleur de Bruxelles selon moi, est indispensable ! Ensuite, on peut longer les Étangs d’Ixelles et finir en flânant dans les jardins de l’abbaye de la Cambre, parfait pour profiter du soleil bruxellois !
 Goûter la tarte au suc’
 Spécialité belge un peu méconnue, la tarte au suc’ a ce goût particulier de la cassonnade brune qui dégouline d’une pâte briochée. Celle de chez De Greef et Fils est une des meilleures. Il faut juste ne pas oublier de commander la veille car elles partent très vite. 8 avenue des Sept Bonniers
 Le Théâtre royal de Toone
 Tout près de la Grand-Place se trouve au détour d’une petite ruelle le Théâtre royal de Toone, théâtre de marionnettes populaire qui existe depuis 1830. Pour une immersion complète, rien de mieux qu’une pièce de marionnettes en Brusseleir, le patois marollien. Le théâtre accueille également un estaminet et le musée de la marionnette bruxelloise.
 Bruxelles écolo
 La région de Bruxelles est aujourd’hui en transition. Un peu partout fleurissent des projets éco-responsables, un très bel exemple se trouve au Mont des Arts sur le toit de la Bibliothèque Royale Albert- 1er. 350 m2 sont alloués à la bio-diversité. Visite et vente de légumes toute la semaine !
 Les serres royales
 Le printemps, c’est le moment unique pour aller visiter les magnifiques serres royales du Château de Laeken. Construites entièrement en verre par l’architecte Alphonse Balat en 1873, elles abritent des galeries larges où se trouvent une flore impressionnante et des essences rares. Ces serres sont reconnues comme un des joyaux de l’Art nouveau. Allez-y, vous en prendrez plein les yeux ! Elles ouvrent ce vendredi 19 avril et fermeront le 12 mai prochain.
 Propos recueillis par Pauline Baumer

Resto. Le Laurenty, au marché comme si vous y étiez

Quand on pousse la porte du Laurenty, on tombe sur une petite salle, pleine de charme. Une vieille poutre, assez imposante, traverse la pièce. Comme le nom de l’établissement l’indique, c’est donc Laurent Laty qui nous reçoit.

Menu ardoise, qui change chaque jour.
Menu ardoise, qui change chaque jour.

Quand on pousse la porte du Laurenty, on tombe sur une petite salle, pleine de charme. Une vieille poutre, assez imposante, traverse la pièce. Comme le nom de l’établissement l’indique, c’est donc Laurent Laty qui nous reçoit.
Frais et plein de saveurs, ce carpaccio de saumon, accompagné de la petite salade de mesclun qui va bien avec...
Frais et plein de saveurs, ce carpaccio de saumon, accompagné de la petite salade de mesclun qui va bien avec…

Voilà un an qu’il a installé son restaurant au 54 de la rue Colbert. Avec son chef cuisinier, ils tiennent tous les deux ce petit établissement, « et ça marche très bien », confirme-t-il. Le concept : une cuisine traditionnelle, simple mais bonne, à base de produits frais du marché. « J’ai toujours voulu travailler comme ça, avec de bons produits. Notre carte change 4 fois dans l’année, à chaque saison. J’y mets un point d’honneur ! Là, nous allons passer à de nouveaux produits : des asperges, des légumes de printemps, des fruits rouges, du homard… »
 
Alors, oui, il paraît que tout le monde n'aime pas la langue de boeuf. Mais comment résister à celle-là, lovée dans sa petite sauce.
Alors, oui, il paraît que tout le monde n’aime pas la langue de boeuf. Mais comment résister à celle-là, lovée dans sa petite sauce.

Au Laurenty, on ne transige pas avec la qualité et la fraîcheur. « Chaque midi, nous changeons notre carte. Elle est plus restreinte, c’est vrai, mais vous avez l’assurance d’avoir, dans l’assiette, quelque chose de bon et de frais ». Son leitmotiv, à Laurent : « Cuisine locale, accueil convivial ». Et ça se confirme dans l’assiette. Les plats sont excellents, les goûts sont là, bien marqués, le service est très agréable, un rapport qualité/prix impeccable.
 
Que manque-t-il ? Un bon vin, évidemment ! Une belle cave attire l’oeil, dans un coin de la salle.
C'est un classique mais, là encore, il est parfaitement maîtrisé. Poire,  chocolat chaud et glace à la vanille. Nickel.
C’est un classique mais, là encore, il est parfaitement maîtrisé. Poire, chocolat chaud et glace à la vanille. Nickel.

« Je sers beaucoup de vins de Touraine. Ça s’inscrit dans ma démarche, mais il faut avouer que les Tourangeaux sont un brin chauvins sur ce plan-là », constate Laurent, avec un grand sourire.
 
 
54 rue Colbert. Tél. 02 47 64 56 54

L'objet tendance : la montre O'Clock

Une montre pas chère, et customisable à l’infini, vous en avez rêvé ? O’Clock l’a fait !

 

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Remettons les pendules à l’heure, la montre est accessoire de mode. Par souci de superficialité, elle donne également l’heure qu’il est. Pratique ! C’est donc dans ce tourbillon de consommation que l’on a vu arriver des Casio rétro sur tous les poignets. Vous vous doutez bien qu’il a fallu trouver le contre-pied. Moderne, minimaliste et personnalisée fut la réponse italienne des montres O’Clock bon marché. Le concept est frustrant de simplicité : 23 bracelets aux couleurs monochromes, 28 cadrans à motifs ou colorés, soit 650 combinaisons. Et je retiens un !
Un style vitaminé dans un design épuré, un look assorti à votre fantaisie. L’idée est de ne pas se lasser. Pour une dizaine d’euros déboursés, on change le bracelet. On a tous l’insatiable appétit de nouveauté, d’originalité. Ouvrez sa boîte de conserve en guise d’écrin contemporain et consommez cette montre à votre faim.

On est allé visiter une exposition chez PH

Les expos se déroulent dans son appartement et sont surtout l’occasion de belles rencontres.

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Pour venir chez PH, il faut prendre r e n d e z – v o u s . Normal ! Car s’il a choisi d’ouvrir sa maison pour exposer des oeuvres, il n’en reste pas moins qu’on déambule dans son salon, sa cuisine, ses toilettes, son escalier.
C’est au bout du couloir d’entrée, que l’on tombe sur un immense salon, haut de plafond, typique du Vieux Tours. Chez PH et Rozenn (sa compagne), pas de grands murs blancs, avec des diodes éclairant les oeuvres. Les dessins sont accrochés au mur et côtoient la table du salon, les jouets des enfants, et le joyeux bazar de tout lieu de vie.
« Je précise tout de suite, ça n’est pas un lieu d’exposition. On ne vend rien, on reçoit qui on veut, et on connaît personnellement les artistes que l’on accueille. » Mais chez PH, on est loin de la galerie sélecte et confidentielle où le carton d’invitation est de rigueur. « On ne voulait surtout pas faire quelque chose d’élitiste. Ça existe déjà à Tours, mais ça ne m’intéressait pas d’envoyer des cartons d’invitation à quelques privilégiés ».
 
Chez PH et Rozenn, pas de chichis
 
À peine êtes-vous arrivé que vos hôtes vous proposent un café, de vous asseoir, de discuter tranquillement, tandis que vos yeux balaient la pièce. « Souvent, les visiteurs amènent un petit quelque chose à manger ou à boire », note Rozenn. « Ça donne des moments très sympas. Le maître-mot, chez nous, c’est la convivialité. Notre but, ça n’est pas seulement de montrer des oeuvres, c’est de créer un débat, d’échanger. Mais vous savez, quand des gens viennent ici, on parle quasiment de tout sauf d’art. »
 
Et pourquoi choisit-on, un jour, d’ouvrir son appartement aux artistes et aux visiteurs ? « Pour moi, l’art doit être dans son milieu naturel et ce milieu, c’est chez le collectionneur, le particulier féru d’art qui va tout faire pour mettre en valeur son acquisition », résume Pierre-Henri. « Je n’aime pas trop l’accrochage bête et méchant, sur des grands murs blancs. Mais je n’accepte pas n’importe quoi non plus. Si un type me dit : “ Tiens, je mettrai bien des cadres sur ton canapé ”, je dis non ! Je conserve mon espace de vie, et puis il y a des enfants qui habitent ici ».
Cela fait maintenant trois ans que cela dure et le public est toujours au rendez-vous : « À Tours, il y a une production artistique assez importante. Il faut des lieux comme ça pour la valoriser », conclut PH.

Le crowdfunding a la cote

Le crowdfunding – ou financement par la foule – s’impose de plus en plus comme une méthode de financement viable. Les projets se multiplient, et les plateformes de financement aussi.

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 QU’EST-CE QUE C’EST ?
Faute d’investisseurs, nombre de projets tombent à l’eau et certainement encore plus depuis le début de la crise. Mais, grâce au crowdfunding, une révolution financière est en marche. Des sites mettent en relation des porteurs de projets avec des internautes intéressés par l’idée. Le principe ? L’union fait la force. De petites sommes investies (de 10 à quelques milliers d’euros), mais de nombreux investisseurs. Un budget facilement monté avec peu de risques pour les deux parties.
QUELS PROJETS ?
De nombreuses plateformes de crowdfunding ont vu le jour sur la toile. Kiss Kiss Bank Bank, Kickstarter, My Major Company, etc. près de 500 sites répertoriés pour divers types de projets à financer : cinéma, musique, start-up, hightech… Et ça marche ! Selon une étude de Massolution, environ 2 milliards d’euros ont été investis l’an dernier, soit une hausse de 81 % par rapport à 2011. Le crowdfunding pourrait s’imposer de façon durable aux côtés des modes de financement classiques.
DES FINANCEMENTS FOUS
Bien que le crowdfunding permette de financer des albums ou des documentaires, des projets bien plus fous peuvent également voir le jour. Exemple avec la numérisation du film culte Les Parapluies de Cherbourg qui a récolté 40 000 € sur Kickstarter, un projet de souris 3D qui se porte comme une bague ou encore des inventeurs fous souhaitant créer l’Étoile noire de Star Wars grandeur nature. Un projet chiffré à 637 millions de milliards d’euros qui n’a malheureusement

Touchant Promised land

Chronique d’une petite ville des États-Unis, quand une compagnie de gaz veut tout racheter. Par le réalisateur d’Elephant.

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 Gus Van Sant fait partie de ces orfèvres du cinéma qui n’ont plus rien à prouver. Plus personne ne l’attend ou ne s’étonne de la force de ses films. Ils les façonne les uns après les autres comme des bijoux bizarres, pas de ceux qui attirent l’oeil des clients mais de ceux qui brillent par leur humanité. Il tourne pour le plaisir de faire du cinéma. Sa passion jaillit à l’écran sous cette forme de lenteur contemplative propre à toutes ses oeuvres. Comme tous les grands cinéastes, Gus Van Sant filme son époque. Il documente la rage de la jeunesse (Last Days) ou le désespoir lycéen (Paranoïd Park, Elephant), les droits de l’homme (Harvey Milk), le manque de repères (Good Will Hunting).
 Il peint par touche et par film ce monde qui l’entoure. Sa caméra fait fonction de microscope, zoome cette fois sur une petite ville perdue au milieu des États-Unis. Un coin oublié, où les habitants survivent de la maigre production de leur ferme. Reflet d’un monde rural en crise et réserve de gaz naturel inexploité, ce petit bout de terre devient soudain la proie d’une grande compagnie internationale. Clin d’oeil : elle s’appelle Global comme pour globalisation ou mondialisation en français. Commence alors une bataille acharnée entre Steve Butler, venu pour acheter les terrains et les opposants voulant garder leur fierté sans pourrir leur sol ni grossir leur portefeuille.
 Avec finesse, Gus Van Sant prend le point de vue de l’employé zélé, incarné par Matt Damon. Son regard bienveillant sur ce col blanc, torturé entre son arrivisme et ses origines sociales, lui permet heureusement d’éviter le film des bons sentiments. L’histoire de cette terre promise se complexifie alors. Plus de méchants ou de gentils, mais des femmes et des hommes ancrés dans leur époque magnifiée par un Gus Van Sant bijoutier-sociologue.

TEST : Quel élu seriez-vous ?

Imaginez-vous dans la peau d’un candidat politique… Seriez-vous élu aussi facilement ? Et surtout, une fois en poste, resteriez-vous réglo et vertueux comme tout ? Essayez donc…

Depuis l’affaire Cahuzac, on parle beaucoup de la morale en politique, du patrimoine des élus, bref des relations trop souvent tumultueuses entre le pouvoir et l’argent. En visite à Tours la semaine dernière, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a dû se fendre d’une petite leçon sur la question. À tmv, bien sûr, nous ne pouvions pas passer à côté de ce sujet.
Oui mais, le « tous pourris », ce n’est pas vraiment notre credo. Ces affaires qui secouent périodiquement le monde politique, elles nous rappellent surtout que ceux qui nous gouvernent ne sont pas différents de nous.
Et nous d’ailleurs, saurions-nous résister aux tentations du pouvoir, si nous y étions exposés ? C’est ce que nous voulons vous faire mesurer en vous proposant de vous mettre, juste un instant et juste pour rire, dans la peau d’un élu. Argent, sexe, pouvoir, mais aussi tentations du quotidien et parcours semé d’embûches… Pas si simple que ça, vous verrez…
Pour jouer, c’est simple : vous n’avez qu’à cliquer sur les deux photos et suivez les flèches (et votre morale !)
 
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L'étape à Pâtes, un restaurant épatant, rue Colbert

En pleine rue Colbert, il y a un établissement qui ne désemplit pas. Voilà six ans que Claire tient l’Étape à Pâtes, avec Franck, son cuisinier. Le concept : « faire de la restauration rapide, mais de qualité ». Et le pari est réussi !

Claire aux manettes et Franck aux fourneaux !
Claire aux manettes et Franck aux fourneaux !

 
En pleine rue Colbert, il y a un établissement qui ne désemplit pas. Voilà six ans que Claire tient l’Étape à Pâtes, avec Franck, son cuisinier. Le concept : « faire de la restauration rapide, mais de qualité ». Et le pari est réussi !
On arrive, on commande ses pâtes (chaudes ou froides, en salade) en fonction des ingrédients – présents sous nos yeux -, on s’assoit et, à peine 5 minutes après, on est servi.
Un plat de pâtes,  évidemment ! Ici : sauce tomate, jambon, petits pois. Et le parmesan est un régal !
Un plat de pâtes, évidemment !
Ici : sauce tomate, jambon, petits pois. Et le parmesan est un régal !

C’est copieux, bon, cuit à la perfection, rapide, que demander d’autre ? Un petit dessert ? « Bien sûr Monsieur, en plus ils sont faits maison ».
Et oui car, à l’Étape à Pâtes, « tout est fait maison ! ». Et Claire se plaît à le rappeler à qui veut l’entendre. Tous les deux jours, ils font eux mêmes leurs pâtes, des Mafaldina et des Radiatori. Testées et retestées par le cuistot Franck pour qu’elles s’accordent à merveille avec les accompagnements, les sauces (faites maison, doit-on vous le répéter ?).
Plutôt une contrainte non ? « Franchement, si c’est pour aller acheter des paquets de 10 kilos et servir ça aux clients, je préfère arrêter ! ». Vous l’aurez compris, la dame ne plaisante pas avec la qualité des produits. En revanche, on peut plaisanter sur le reste et la patronne n’est pas la dernière à balancer une vanne, du haut de son comptoir.
Une tarte abricotine. Miam ! Une vraie tarte avec de l'abricot et de l'amande dedans. Un délice. Même après un plat copieux, elle passe toute seule.
Une tarte abricotine. Miam ! Une vraie tarte avec de l’abricot et de l’amande dedans. Un délice. Même après un plat copieux, elle passe toute seule.

D’ailleurs, Thierry, un client régulier ne tarit pas d’éloges. « En trois mots, c’est copieux, varié et frais ». Il ajoute « familial et accueillant, pour l’aspect humain ». Claire et Franck exposent en permanence dans leur restaurant. En ce moment, ce sont des photos. « Mais je change régulièrement. En fonction de ce que l’on me propose, de ce qui me plaît. Beaucoup d’amateurs, mais aussi des professionnels ».
 
81, rue Colbert 02 47 61 69 91

Course à pied : les bons spots à Tours

Le printemps est là, c’est l’occasion de se remettre au sport ! On vous indique les bons endroits pour courir. 3, 2, 1… Partez !

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EN FRACTIONNÉ
 
À quoi ça sert ?
À améliorer ses capacités physiologiques (musculaires ou cardiaques) ; travailler sa technique de course (on améliore la foulée) et progresser en testant sa capacité à mener à son terme une séance éprouvante. Où pratiquer ? Le must reste une piste d’athlétisme de 400 m ou un parcours étalonné. À Tours, vous pouvez aller faire votre séance de fractionné au stade de Grandmont, sur l’avenue de Bordeaux. Le fractionné consistant en une répétition d’efforts sur des distances et à des intensités programmées, c’est le pied. Idem pour les temps de récupération. Il y a aussi la piste de Saint- Avertin, derrière le lycée Jules- Romain avec ses 400 m de longueur en terre. Sinon, le parc Sainte-Radegonde, bord de Loire côté nord, c’est bien aussi.
 
EN ENDURANCE
 
À quoi ça sert ?
Indispensable pour le semi-fond et le fond (le semi ou le marathon), l’endurance permet d’améliorer la circulation sanguine et d’augmenter le volume du coeur. Pas la peine de filer comme une fusée ; le but, c’est de courir longtemps, de plus en plus longtemps, à allure constante. Où pratiquer ? Le tour du lac de la Bergeonnerie avec ses 2,3 km sans difficulté est le plus couru (ah, ah, ah !) des runneurs tourangeaux. Si vous passez par les hauteurs et les jardins ouvriers, il passe à 3 km. Vous pouvez aussi faire un crochet par le parc Honoré-de-Balzac tout près de là, et continuer sur la promenade de Florence. Ou filer le long de la Loire à vélo, en direction de Ballan et Savonnières. Ou suivre votre instinct…
 
FAIRE DES CÔTES
 
À quoi ça sert ?
À renforcer les muscles des membres inférieurs et développer ses capacités cardiovasculaire. Pfiou ! Où pratiquer ? Le bon plan, c’est d’aller sur le bord de Loire jusqu’à Rochecorbon, puis traverser la levée et monter le coteau au niveau de la lanterne de Rochecorbon. Ça monte fort, on vous prévient, mais on est entouré de vignes ! Après, vous pouvez toujours vous faire les pieds et vous essouffler en montant la Tranchée. Mais avouez que question paysage, c’est moins bien.
 
 
 


À NE PAS MANQUER
 
Le marathon d’Azay-le-Rideau
Bon, d’accord, c’est un marathon, donc 42,195 km à avaler. Pas donné à tout le monde. Mais il y a la bise à la princesse au château d’Azay, alors… Et si la distance vous effraye, il existe aussi la Pomme-Poire avec ses 11 km. Dimanche 28 avril. Inscription : marathonazaylerideau. fr
 
Les 10 / 20 km de Tours
Incontournable pour les sportifs tourangeaux, cette course est classée parmi les dix plus grandes sur route de l’Hexagone. Née en 1982, elle fêtera sa 31e édition le 22 septembre 2013. Sans compter qu’en plus de cela, il est possible de s’inscrire pour les courses Open handisport et des jeunes. Restez connectés sur nrco.lanouvelle republique.fr/dossiers/20km !
 
Les Foulées du tram
C’est tout nouveau (forcément !) et ça se passe à Joué-lès- Tours, le 15 juin. Cette course affiche un petit 10 km au compteur. Ça devrait être roulant. Parfait pour vous tester sur cette distance explosive ! Info sur le site de Joué Running 37.

Escapade à Dublin, la ville en vert

Une escapade à Dublin, c’est une parenthèse festive et joyeuse en Europe. Il fait froid ici, il fait froid là-bas, mais au moins, on s’amuse !

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 1. Pour les sportifs : Croke park
C’est LE stade mythique d’Irlande, temple du rugby et du foot gaélique. Il y a une super visite à faire : le guide vous emmène dans les vestiaires, l’entrée des sportifs et même dans les couloirs pour accéder à la pelouse, comme les vrais sportifs. En regardant dans le programme, vous pouvez assister à des matchs de foot gaélique. Il y en a assez souvent et c’est pas cher du tout (environ 15 euros), et on peut se placer où on veut dans le stade, même avec les clubs de supporters.
 2. L’incontournable Temple bar

CAROLE LEGOFF : Pétillante étudiante, cette Bretonne est partie suivre une année Erasmus à Dublin l'an dernier. Après avoir écumé la ville, elle nous en livre le meilleur : testé et approuvé.
NOTRE GUIDE : CAROLE LEGOFF
Pétillante étudiante, cette Bretonne est partie suivre une année Erasmus à
Dublin l’an dernier. Après avoir écumé la ville, elle nous en livre le meilleur : testé et approuvé.

Le quartier où foisonnent fêtards, musiciens et bars. On s’y balade dans les rues pavées, en
écoutant de la musique. Pour ceux qui voyagent en solo, il y a le « pub crawl ». Le principe : tu t’inscris sur internet puis tu fais la tournée des bars avec un guide et un petit groupe de personnes. L’occasion de découvrir l’histoire du quartier, tout en faisant des connaissances autour d’une pinte. Départ depuis le 10, Wellington Quay.
 3. Balade dans le coeur de ville
Pour une belle promenade, je conseille de parcourir la ville en commençant par le Trinity College (sorte de Harvard à Dublin). Les bâtiments sont beaux, et on y expose le livre de Kells, un très vieil évangéliaire enluminé. Ensuite, on peut remonter sur Grafton street, les Champs-Élysées dublinois. Pour terminer, on peut aller se poser à St Stephen’s Green, un parc très sympa.
 4. O’Connel street
C’est LA rue principale de Dublin : assez longue et très fréquentée. Au milieu vous trouverez le Spire, un grand pic en métal de 20m de haut. Ça n’est pas super beau, mais ça fait un point de rendez-vous génial. Sur cette avenue, ne loupez pas la Poste. C’est un vrai monument historique car c’est là qu’à été proclamée l’indépendance de la république d’Irlande en 1916.
 


 
NE MANQUEZ PAS
 
LE GUINNESS STOREHOUSE
C’est le temple de la Guinness, la célèbre bière irlandaise. On peut visiter et à la fin, on finit sur le toit panoramique du bâtiment, une Guinness à la main. Un vrai plaisir ! On vous apprend également à sortir votre propre bière à la pression, dans les règles de l’art. Seul bémol, c’est un peu cher (14,85 € l’entrée). Market Street South, St James’s Gate.
OÙ BOIRE UN VERRE ?
Le Celt : niveau ambiance, c’est le top. C’est plein de gens qui chantent, s’amusent, jouent de la musique, discutent. 81-82 Talbot Street.
 

Rigolo Mariage à l'anglaise

On s’attendait à une comédie romantique et un peu nunuche. À l’arrivée : humour gras et décapant. C’est hilarant !

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 Aïe, ça y est ! Vous vous dites : « Encore une rom-com (comédie romantique) à l’affiche… » ? Vu comme ça, ça ne donne pas trop envie. Et le début du film vous donnerait plutôt raison : Nat et Josh, ont un coup de foudre immédiat, ils sont amoureux, ils connaissent un mariage idyllique.
Mais (heureusement) tout bascule quand arrivent deux personnages (une ex et un beau gosse), au bout de neuf mois de vie commune… Vu et revu ? Oui. Sauf que… Sauf qu’aux manettes, c’est Dan Mazer. Le trublion qui a collaboré avec Sacha Baron Cohen sur le foldingue Borat. Alors forcément, le scénariste réalisateur a décidé de dynamiter ce genre usé jusqu’à la corde. Et il sait y faire. Car Mariage à l’anglaise surnage à contre-courant. Si d’habitude, on a droit à du mielleux, ici, on plonge dans le graveleux (la scène d’ouverture est magique). Si on est souvent pris dans la mièvre candeur du « Ils vécurent heureux et… », ici, c’est plutôt « et ils se pourrirent la vie ».
Mariage à l’Anglaise n’est pas un film pour filles qui ont les yeux qui brillent quand on prononce le mot mariage (ou divorce, au choix). C’est une bombe à fragmentation de blagues au niveau de la ceinture (très souvent) ou à l’humour corrosif (la scène des photos pornos de couple diffusées par mégarde aux beaux-parents). Les dialogues sont exquis : chaque réplique est une perle. Que ce soit de la bouche du truculent Rafe Spall ou du très bon Simon Baker (alias Le Mentalist, ne criez pas les filles !), mais aussi des actrices : la magnifique Rose Byrn et l’étonnante Anna Faris (vue dans les Scary Movie).
Déconcertant, en fait, ce film pointe les dures réalités d’un couple qui ne se supporte plus, après un an seulement de vie commune. Alors certes, la version française est (une nouvelle fois) très mal traduite (le titre ? Du n’importe quoi !) et certains jeux de mots seront bien meilleurs en version originale… Mais avec son humour politiquement incorrect et déjanté, ce film est une très belle surprise. Aurélien Germain

Cannabis social club : dix mois avec sursis requis

Dix mois avec sursis…C’est ce qu’a requis le tribunal correctionnel de Tours à l’encontre de Dominique Broc, du Cannabis social club.

Dix mois de prison avec sursis. C’est ce qu’a requis le tribunal correctionnel de Tours à l’encontre de Dominique Broc. Un procès médiatique et des procannabis venus de toute la France ont manifesté place Jean-Jaurès pour soutenir leur camarade tourangeau. Face au président et au procureur, Dominique Broc ne s’est pas démonté. Il a assumé et revendiqué être « un usager sans en être dépendant ». « Et je ne consomme que cela », a-t-il ajouté.
À 44 ans, il est jugé pour culture, usage et publicité illicites du cannabis. Le président, lui, reproche au porte-parole du Cannabis social club de « s’être vanté dans la presse » de sa petite auto-entreprise. Dominique Broc rétorque que le gouvernement est « autiste » dans l’affaire et à l’économie souterraine des drogues. Vague d’applaudissements dans la salle… Pas du goût du président qui menace de faire évacuer les lieux. Sauf que Dominique Broc est rappelé à l’ordre. Il a « violé la loi » et sa démarche « incite à la production et à la consommation de cannabis ». Une « provocation », pour le président. Philippe Baron, défenseur de Dominique Broc, s’interroge. Estce que son client est un « utopiste, un doux dingue, un avant-gardiste ? » Il a axé toute sa plaidoirie sur « l’acte de désobéissance civile » dans lequel s’est lancé son « cannabiculteur ». En prenant soin de prendre certaines références… Martin Luther King, notamment ! Et aussi en citant la ministre de la Santé qui se penche sur la question. « Courageux, il brave les interdits », a-t-il conclu.
En attendant, Dominique Broc s’est offert une belle tribune. Et a lancé un nouveau débat. Le tribunal a mis son jugement en délibéré au 18 avril.
 
Retrouvez le reportage réalisé chez Dominique Broc dans notre ancien numéro tmv.ACTU_TOURS_cannabis

Spectacle. On a selectionné le meilleur du Fiel

À l’occasion de leur venue à Tours, ce mercredi, tmv vous propose le « best ouf »des sketchs des deux gugusses toulousains.

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Premier chanteur nucléaire
 
Le sketch : Éric Carrière y joue Jean-Paul André, un chanteur abruti au possible, engoncé dans son K-way© jaune fluo, « toujours content » et né près d’une centrale nucléaire. Jouant sur le comique de répétition, ce sketch, très visuel, est l’un des meilleurs du duo.
Les répliques cultes : « J’ai chanté à Tchernobyl, ils m’ont applaudi très fort. Ils ont tous quatre mains ! », « Mon frère est punk, il a une crête sur la tête. Parce que mon père, il a couché avec une poule. »
 Voir ici
 
Les coiffeuses
 
Le sketch : un classique, où les Chevaliers du Fiel campent deux femmes maniérées dans un salon de coiffure parlant de tout et de rien. Notamment avec une conversation délicieuse sur leur libido.
Les répliques cultes :« Mon mari me regarde droit dans les seins, m’offre des fleurs. Je me dis que je suis bonne pour écarter les jambes. », « Ah bon ? Parce que vous n’avez pas de vase ? ». Ou encore « Les hommes, c’est comme la neige, on sait jamais combien de centimètres on va avoir et combien de temps ça va tenir. »
 
Antoine Charpentier raconte l’Europe
 
Le sketch : corrosif à souhait, il met en scène le duo dans un discours sans pitié, ironique et millième degré sur l’Europe. Une diatribe anti-européenne caricaturale et hilarante.
Les répliques cultes : « Les Néerlandais, ce sont des Belges qui parlent allemand »et «Michalak, comme disent les Turcs ! », «C’est pas plutôt Inch’Allah ? », « Je sais pas, je connais pas encore tous les joueurs. »
 
Les chasseurs
 
Le sketch : chasse passion et accident… Une douzaine de minutes avec deux gros benêts de la chasse, dont un habillé… en cycliste, car sa femme n’a pas lavé ses vêtements. Les deux comiques chasseurs se lancent dans un instant philosophie vraiment drôle, avec un ton mordant et moqueur.
Les répliques cultes : « Non, ça va pas au boulot, ils veulent nous mettre aux 35 heures. », « Bah, tu devrais être content, non ? », « Tu déconnes ou quoi ? Nous à l’EDF, ça fait bien longtemps qu’on en est plus qu’à 28 ! ». Ou encore «Toi, tu en bois combien des Ricard quand y a rien à fêter ? », « Je sais pas… 15, 20… »
 
 


LE SPECTACLE
Ce mercredi 10 avril, le spectacle « Le best ouf des Chevaliersdu Fiel » fera escale à Tours. Le slogan de l’affiche ? « Quoi de plus sérieux que la déconne ? ». Ça promet !
Au Centre de congrès Vinci, à 20 h 30. Tarif : 43 €.

Mode : comment bien dresser ses cheveux cet été ?

L’accessoire cheveu a traversé les modes et les générations. Cette semaine, on vous dit tout pour bien dresser ses cheveux. Idéal pour l’été !

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Ceci n’est pas une révolution. Mais c’est avec malice que l’on en fait l’acquisition. L’accessoire cheveu a traversé les modes et les générations. Or, dans notre quotidien, il est d’une grande discrétion. Pourtant, il est si séduisant et a tant de caractère. Et pratique avant tout, ce qui n’est pas pour me déplaire. Barrette, peigne écaillé, bandeau… Chic, un vrai plongeon dans la régression ! Inévitablement, le serre-tête me fait de l’oeil. Ce diadème molletonné à l’allure chic et sophistiquée peut vite se jouer des pompeux codes princiers. A l’image de Rykiel qui pose négligemment une couronne simplifiée sur un mannequin nature et radieusement décomplexée. Dans cette effervescence de gadgets de notre enfance, un seul détail ébouriffe ma t o l é r a n c e .
Entêté, convaincue et ent ièrement dévouée à Ste Carrie Bradshaw, le chouchou n’a pas sa place sur mon ciboulot. Officiellement réhabilité, je réviserais mon point de vue sur ce bout de tissus aux odeurs de lait-fraise uniquement quand le bob connaîtra la même destinée.

Asthme : "On vit de mieux en mieux avec la maladie"

Interview de Marie-Pierre Rinn, présidente de l’association asthme et allergies 37, coordonnatrice à l’espace du Souffle de Tours.

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Quand on parle d’asthme, qu’est-ce que ça veut dire ?
L’asthme, c’est une maladie du système respiratoire qui se caractérise par une inflammation des bronches. Elle peut être due a des allergies, peut aussi être héréditaire, mais elle peut également faire suite à des virus type bronchites. Concrètement, la personne va avoir du mal à respirer. Mais parfois, le malade va avoir des symptômes moins détectables, comme des difficultés à dormir, des toux sèches après efforts physiques, ou même après un fou rire. On distingue deux types d’asthme : l’asthme intermittent, assez impressionnant car fonctionnant avec des crises plus ou moins fortes, mais vite réversible et l’asthme persistant. C’est une maladie différente car il s’agit d’une inflammation à l’intérieur de la bronche. Elle fait gonfler la paroi interne et provoque des étouffements. On peut parler de cas plus graves d’asthme.
 
Aujourd’hui, comment traite ton cette maladie ?
Cela varie beaucoup selon le degré de gravité, mais principalement avec des traitements antiinflammatoire, associés à des broncho-dilatateur (comme la Ventolin). Nous avons tous un muscle qui fonctionne comme un petit lacet autour des bronches. En cas de crise, il va se contracter. Le broncho-dilatateur va chercher à desserrer ce petit muscle. Le sport fait aussi partie du traitement. Il est même vivement recommandé, mais de manière adaptée.
 
Comment vit-on aujourd’hui avec cette maladie ?
On peut avoir une qualité de vie tout à fait correcte, pour peu que l’on soit rigoureux dans son traitement et son hygiène de vie. C’est sûr, l’asthme est contraignant. Le but, c’est faire que la maladie ne commande plus la vie des malades, mais que ce soit eux qui la contrôle. À l’espace du Souffle de Tours, nous travaillons beaucoup sur l’éducation thérapeutique : bien connaître ses médicaments, connaître les facteurs déclenchants, détecter les allergènes, etc.
 
Est-ce que l’on peut en guérir ?
On dit souvent que quand on est asthmatique on l’est pour la vie, et c’est vrai. Donc on n’en guérit jamais vraiment. En revanche, beaucoup de malades connaissent des périodes de rémission. Un traitement bien suivi couplé à une bonne hygiène de vie permettent de vivre normalement, sans gênes.
 
Comment évoluent les traitements, la recherche ?
On tend à mettre en place des traitements plus doux, surtout en ce qui concerne les asthmes sévères. Sinon, pour les cas moins graves, on évolue beaucoup sur la désensibilisation aux allergènes, les antiinflammatoires oraux, et les traitements anti IgE (responsables des réactions aux allergènes). Un jour on va bien trouver quelque chose, mais en attendant, le traitement de la cause de la maladie n’est pas à l’ordre du jour. On avance bien, en revanche, sur la connaissance de l’asthme. Les médecins savent maintenant qu’il y a d’autres facteurs qui provoquent des crises (stress, émotions fortes…).
 
Journée mondiale de l’asthme, le 7 mai 2013. Des évènements de sensibilisation sont organisés à tours, courant mai. Renseignements au 02 47 66 23 47 auprès de l’association Asthme Allergie 37. asthme37@gmail.com.

Le Twistin', le restaurant cochon

Ah qu’il est cochon ce restaurant ! On l’est aussi (un peu) à TMV. Alors on vous fait (re)découvrir le Twistin’ : de la cochonnaille et du rock ‘n roll. Yeah !

Au Twistin', on est cochon ou on ne l'est pas.
Au Twistin’, on est cochon ou on ne l’est pas.

 
Tu aimes bien J o h n n y Cash ? Ok, attends, je te mets une de ses chansons. » Et hop, le juke-box est lancé. Ah, on est comme ça au Twistin’. Le maître mot, c’est convivialité, comme le disent Jean- Michel (alias Jo) et Sylvie, les patrons. Ici, on aime l’ambiance rock ‘n roll et les sixties. De Jerry Lee Lewis à Elvis, en passant par Carl Perkins, ils sont tous accrochés aux murs. Les menus ? Ce sont des
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La terrine de cochon maison est l’entrée parfaite pour une mise en bouche. C’est frais et ça présage la qualité de la cochonnaille à venir.

couvertures du magazine « Salut les copains ». La déco ? Euh, sortez votre groin, car il y a là près de… 800 cochons entassés dans ce minuscule restaurant ! Tirelires, salières, porcelaines, porte-photo, dessins, petits porcs rigolos etc.
 
« Dans les années 60, on mangeait souvent du cochon. Un plat qui était roi. Et on écoutait beaucoup de rock ‘n roll. » C’est pour ça qu’ils ont choisi ce concept. Une dizaine de plats sur le même produit. « C’est un resto qui fait sa tête de cochon », se plaît à dire Jo, collectionneur à ses heures perdues (il a 10 000 vinyles et 7 000 CD). Et ça fait treize ans que ça dure.
Jo et Sylvie ont choisi volontairement la petite rue Auguste-Comte. On vient ici par le bouche à oreille. « On veut que ça reste petit. On accueille 25 personnes maximum, mais on s’y sent bien. Ce qui compte, c’est la qualité dans l’assiette et les produits frais qui viennent du marché. Et surtout pas oublier l’accueil, super important. »
On parle beaucoup aussi. De musique déjà. Et quelques blagues cochonnes. Forcément…
Le filet mignon saveurs. Une viande douce et qui se coupe comme du  beurre. Un régal !
Le filet mignon saveurs. Une viande douce et qui se coupe comme du beurre. Un régal !

Par contre, le soir, réservation obligatoire. Et on sert jusqu’à minuit. Histoire de « s’encochonailler » toute la nuit.
 
5, rue Auguste-Comte.
Tél. 02 47 64 06 61. Retrouvez-les sur facebook.

HK & les Saltimbanks, 7 musiciens nomades hors catégories

Dans le cadre du festival Imag’in, HK & les Saltimbanks se produiront le jeudi 4 avril. Interview.

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Comment définiriez -vous HK & les Saltimbanks en trois mots ?
« On lâche rien ! ». C’est notre leitmotiv (et aussi le titre de leur tube, ndlr) ! Je trouve que c’est assez représentatif de l’état d’esprit du groupe. Nous sommes des chanteurs engagés, bien sûr, mais nous ne confondons pas concert et meeting. On est d’abord là pour faire la fête. Notre chanson « On lâche rien » a été reprise dans la rue lors de nombreuses manifestations, et est devenu un phénomène. Mais nous, ça ne nous pose pas de problèmes. Elle a même été reprise au Maroc, au Japon, au Canada, et en Iran.
 
À travers vos textes et vos chansons, qu’est-ce que vous essayez de dire au public ?
Chaque chanson est un message. On raconte des histoires de notre temps, de notre société. Évidemment, à travers nos textes, on devine notre vision du monde. Mais on ne se prend pas trop la tête avec ça. On s’inscrit aussi dans un mouvement inspiré de Stéphane Hessel. Notre « On lâche rien », c’est aussi un « Indignez-vous ». Vous n’êtes jamais démotivés ? Dans notre société, il y a des choses qui nous déplaisent. Et on le dit ! Mais on fait ce qu’on peut ! On fait notre chemin. Et si ça parle aux gens, c’est tant mieux.
 
Et en trois chansons, vous vous définiriez comment ?
Je dirais bien « One love » de Bob Marley, « A change is gonna come » de Sam Cooke, et… un petit Brel… genre « Ces gens là ». Non, plutôt « Au suivant ». Mais je pourrais en citer plein d’autres. Il y aurait bien IAM, …
 
Qu’est ce que vous diriez aux Tourangeaux pour leur donner envie de venir vous voir en concert ?
Pour les Tourangelles, venez nous voir, on est 7 beaux gosses sur scène ! Un vrai boys band, dans la lignée de Alliage, 2b3 (rires). Plus sérieusement, vous êtes assurés de passer un bon moment. On va faire un concert festif, où le public peut s’éclater, et en même temps, nos textes ont du sens.
 
 
Propos recueillis par Quentin Lesiourd.
 
 


FESTIVAL IMAG’IN : LA PROG
Jeudi 4 avril
Le festival commence au Nouvel Atrium (Saint-Avertin) par la tête d’affiche HK & les Saltimbanks. Vous adorerez aussi le reggae de Hustle Bustle, la world music de Blackie Sam (photo) et les voyages musicaux de Tijerina Projekt.
Vendredi 5 avril
Soirée rap et reggae, toujours au Nouvel Atrium, avec Scred Connexion (photo), FDUC, Ali’N et Asha’b.
 
Samedi 6 avril
Ça se terminera au 3 Orfèvres, à Tours, avec le rock puissant du quator tourangeau Holding Sand, tout aussi fort, The Artramps envoient des décibels. Et pour finir, Jekyll Wood (photo), seul avec sa guitare et ses rythmes groovy.
INFOS PRATIQUES
Vous pouvez réserver vos billets dans tous les points de vente habituels. Et pour plus d’informations : www.festimagin.fr.

Sidaction : « On ne lâche rien »

Le Sidaction, c’est ce week-end. On peut faire un don en appelant le 110 ou par sms en envoyant DON au 33 000. Mais on peut aussi faire le point sur la maladie en France et dans la région avec Catherine Aumond, présidente de Aides Grand-Ouest.

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On a l’impression que les choses s’accélèrent dans le traitement du ViH (virus de l’immunodéficience humaine). Qu’en est-il vraiment ?
 
Les traitements ont évolué et changé beaucoup de choses. Les molécules actuelles ont permis de diminuer le nombre de médicaments pris par les personnes contaminées. Avant c’étaient 4 prises de 20 comprimés par jour. Maintenant, certains patients ne prennent qu’un cachet journalier. Les effets indésirables existent encore, mais sont moindres. Question dépistage, c’est plus simple. Depuis 2010, vous pouvez vous faire dépister dans un centre Aides, où un bénévole vous accueille, vous questionne et effectue le test. Pour ce qui est du vaccin, la recherche existe, elle avance, mais rien de nouveau pour le moment.
 
Comment vit-on, aujourd’hui, avec cette maladie ?
 
Mieux, mais des difficultés subsistent. L’espérance de vie d’une personne contaminée est quasi la même que celle d’une personne saine, alors qu’avant c’était 5 ou 6 ans maximum. Mais le SIDA reste une maladie très discriminante. Par exemple, si vous souhaitez contracter un crédit auprès d’une banque pour acheter une maison, le banquier vous demandera : « Avez-vous le VIH ? ». Si vous répondez « oui », soit vous n’aurez pas de prêt, soit il vous facturera une assurance exorbitante. Idem pour créer son entreprise, c’est monstrueusement difficile. Alors que vous êtes en pleine forme, voire plus en forme que votre voisin. Ça rend les personnes vulnérables.
 
La baisse des subventions publiques, comment vous la vivez ?
 
Concrètement, l’équipe Aides à Tours va devoir diminuer. La lutte contre le VIH et la prévention est mise à mal. C’est vraiment dommage car le boulot fait maintenant va payer d’ici quelques années. Du côté de la recherche scientifique, ce n’est pas tout rose non plus. Mais on fait avec les moyens du bord. Pour vous donner une idée, il y a quelques années, on était financé à 80 % par les subventions. Cette année, on va descendre en dessous des 50 %.
 
À ce jour, le SIDA, ça représente quoi en France ?
 
On estime le nombre de personnes séropositives à 150 000. Mais 30 à 40 000 ignorent encore qu’ils ont contracté le VIH. Notre mission, c’est d’aller vers ces personnes. Souvent, elles ne pensent même pas qu’elles ont pris un risque. Mais on constate qu’au final, l’appel à l’usage du préservatif a très bien pris chez les jeunes, et c’est une population qui se protège très bien. Les personnes très exposées restent les hommes homosexuels, ainsi que les couples hétérosexuels. On y pense moins mais beaucoup de personnes de 40-50 sont touchées par le SIDA. Il s’agit souvent de personne en couple, récemment divorcées, qui vont tenter de nouvelles expériences sexuelles, sans prendre les précautions nécessaires. Quelles que soit les situations, il faut impérativement se protéger.
Si on dépiste tout le monde, et que tout les malades suivent un traitement, des études disent que l’épidémie peut être arrêtée d’ici 2040. Alors ne lâchons rien !

La Maison de la Radio, déjà entendu

Il voulait percer les mystères de la Maison de la radio : Nicolas Philibert nous perd dans le couloir des stars…

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Quel élitisme ! Traiter les coulisses de la Maison de la radio en ne présentant que les voix stars de France Inter et de France Culture, c’est tellement… Décevant. Nicolas Philibert, réalisateur d’Être et avoir semble s’être attaqué à trop gros pour lui… L’idée de base est alléchante : montrer en images ce qui n’est que son. Les questions soulevées méritent entièrement d’être posées : comment diable fait-on pour tuer le silence à chaque seconde sur ces antennes ? Et, surtout, qui se cache derrière notre poste de radio ? Qui ? Apparemment, seulement les GRANDS présentateurs. Voilà de quoi faire bouillir plus d’une petite main : les reporters qui travaillent chaque week-end et toutes les vacances, tard le soir, tôt le matin, appelés à la dernière minute, payés en retard, remplacés sans remerciements, CDD précaires, employés de l’ombre qui font aussi rouler la machine.
Inaudibles déjà à l’antenne, ils sont invisibles dans le documentaire, qui semble se présenter pourtant comme un hommage sincère au noble média radiophonique. Ce n’est pas faute d’avoir laissé trainer deux secondes la caméra chez les cuistots ou les coursiers qui font, aussi, vivre la ruche. Mais Nicolas Philibert montre seulement sa radio, celle qu’il écoute, celle de la surface, celle qui est déjà connue. La radio qu’il admire aussi, et on ne va pas le nier, certaines images valent le coup : voir le live d’un orchestre capturé dans les micros puis défiler sur les écrans des techniciens…
Mais beaucoup de longueurs et de répétitions dans ce discours pour, finalement, peu de pédagogie. Et pourquoi ce parti pris « people bobo ? » Il y avait tant à dire, tellement mieux à faire.
La maison de la radio a une âme, c’est une fourmilière où se croisent un tas de monde, de cultures, de voix. Des milliers de personnes la traversent chaque jour. Elle est un coeur battant de l’information quotidienne française. Le film, inexact et frustrant, n’aura réussi à en montrer qu’une infime partie sans nous étonner vraiment.

Emploi, recrutement : les 10 erreurs à ne pas faire

Le CV, la lettre de motivation et l’entretien d’embauche, ce sont les passages obligés pour décrocher un job. Et, à chacune de ces étapes, il faut savoir éviter le carton rouge…

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LE CV, IL NE FAUT PAS :
 
> Réaliser votre CV sur deux pages, notamment lorsqu’on est jeune diplômé. Les recruteurs reçoivent beaucoup de candidatures et ne prennent généralement pas plus de deux minutes pour lire le CV. Une page, ça suffit !
 
> Mettre votre état civil à droite de la page. Ça se met à gauche et pis c’est tout. Plus généralement, vous devez vraiment faire très attention à la structure de votre CV qui est codifiée.
 
> Utiliser la police de caractères de la mort qui tue. Elle vous semble peut-être très jolie et super originale. Le problème, c’est qu’elle n’est pas du tout lisible… Trop petite, trop alambiquée, trop tout…
 
> Tout miser sur l’originalité de la présentation. Par exemple, il vaut mieux éviter les colonnes et les encadrés. Soyez clair et efficace, ce sera déjà pas mal…
 
> Multiplier les rubriques. Le CV doit comporter trois parties : formation, expérience professionnelle et informations complémentaires. La partie la plus importante restant celles des expériences.
 
> Réaliser un CV sans mettre d’intitulé. Vous devez vous positionner sur une offre et un poste précis, sinon le recruteur ne se pose pas la question de lui-même et ne vous rappellera pas.
 
> Ajouter une photo d’identité de mauvaise qualité ou qui ne vous met pas en valeur. Là, c’est vraiment se tirer une balle dans le pied. Si vous décidez de mettre une photo d’identité sur votre CV, il faut qu’elle soit bonne. Sinon, il vaut mieux s’abstenir lorsque ce n’est pas demandé dans l’offre.
 
> Se perdre dans des phrases pour présenter votre formation. Un CV, c’est comme une carte de visite, vous ne devez pas tout raconter mais faire un tri en fonction de ce qui peut intéresser le recruteur. Vous devez personnaliser votre CV.
 
> Oublier de valoriser les entreprises dans lesquelles vous avez travaillé. Vous devez bien mettre en évidence le nom de l’entreprise, la date, le lieu et la fonction occupée.
 
> Exagérer la partie « loisirs ». Elle ne doit pas occuper un tiers de votre CV, sinon le recruteur aura l’impression que vous ne pensez qu’à vous amuser ! Or, le recruteur a besoin que vous soyez à 200 % investi dans votre futur emploi.
 
(Avec le concours de Christine Fresneau, déléguée régionale de l’AFIJ de Tours.)
 
 
LA LETTRE DE MOTIVATION, IL NE FAUT PAS :

 
> Se dévaloriser. Dans votre lettre de motivation, il faut proscrire les termes négatifs sur votre personnalité ou vos précédentes expériences car c’est un signe de manque de confiance en soi.
 
> Compiler votre CV dans la lettre de motivation. Vous devez reprendre vos expériences uniquement dans un tiers de la lettre. Cette dernière se compose généralement de trois parties : « l’entreprise » où vous mettez en accroche ce qui vous intéresse dans l’offre, « vous » où vous parlez de vos compétences et « nous » où vous explicitez la collaboration future entre vous et l’entreprise.
 
> En faire « des tonnes ». La lettre de motivation doit tenir sur une seule page. D’une part, c’est plus agréable à lire et, d’autre part, les recruteurs reçoivent une cinquantaine de lettres par jour, si c’est trop long, c’est pas bon.
 
> Envoyer une lettre manuscrite si vous écrivez comme un médecin en fin de journée. Dans le cas d’un envoi postal, la lettre dactylographiée est tolérée. Et c’est mieux qu’une lettre illisible.
 
> Laisser transparaître un caractère trop prétentieux et/ou carriériste. Par exemple n’écrivez pas : « Avec toutes mes connaissances, je pourrais vous prodiguer des conseils pour perfectionner le fonctionnement de votre entreprise ». DOSSIER04
 
> Tout miser sur votre formation et vos diplômes. Vous devez essayer de mettre surtout en avant votre expérience et montrer les compétences que vous pouvez apporter à l’entreprise. C’est ce qu’attend le recruteur.
 
> Nommer vos fichiers de façon trop personnelle si vous envoyez votre lettre de motivation par mail. Nommez ainsi : le nom de l’entreprise et lettre. Cela suffit !
 
> Négliger la syntaxe. Surtout évitez les phrases lourdes, avec de nombreuses relatives.
 
> Détailler une compétence sans la justifier au préalable par une expérience ou un exemple précis où vous avez pu la mettre en oeuvre.
 
> Envoyer à toutes les entreprises ou organismes une lettre de motivation type. Comme pour le CV, n’oubliez pas que votre lettre doit être personnalisée et répondre à une offre précise.
 
(avec le concours de Christine Fresneau, déléguée régionale de l’AFIJ de Tours)
 
 
L’ENTRETIEN D’EMBAUCHE, IL NE FAUT PAS :
 
> Arriver en retard. C’est bête à dire, mais ça fait mauvais genre. Blague à part, si vous êtes en retard ce jour-là, c’est que vraiment, vous n’êtes pas motivé par le poste. En tout cas, c’est ce que le recruteur se dira.
 
> Venir en tenue décontractée. Pour résumer, disons que vous devez être en accord avec le poste auquel vous postulez. Si vous candidatez pour un emploi de commercial, habillez-vous en costume ! De même, lorsque vous serrez la main, faites-le avec assurance.
 
> Laisser votre téléphone portable allumé et/ou regarder l’heure sans cesse. Le recruteur peut penser que vous vous ennuyez et que vous n’êtes pas intéressé par la conversation. Ce qui est gênant, quand même…
 
> Être trop bavard ou raconter sa vie. Vous devez aller à l’essentiel. De même, faites attention à votre langage, qui doit être soutenu et non familier. Vous n’êtes pas avec vos amis !
 
> Commencer par parler d’argent. Vous venez pour intégrer une entreprise, relever un challenge mais pas pour un salaire. Si vous parlez, en premier, de RTT ou d’argent, votre interlocuteur se dira que vous êtes opportuniste et que vous ne serez pas fidèle à l’entreprise. Ces sujets sont essentiels, bien sûr, mais avant de les aborder, il faut d’abord savoir si vous avez quelque chose à faire dans l’entreprise.
 
> Prendre les commandes de l’entretien. Vous devez respecter le plan établi dès le début de l’entretien par le recruteur. Ne négligez pas l’écoute et respectez le timing proposé.
 
> Se montrer trop sûr de soi. Soyez attentif à votre interlocuteur, l’écoute de l’autre est indispensable.
 
> Se montrer trop négatif envers soi même et vos précédents employeurs. Ne jouez pas non plus sur la corde sensible, pesez chacun de vos mots et faites attention à votre discours.
 
> Venir les mains dans les poches. Préparez votre entretien, histoire de savoir un peu quoi répondre aux questions classiques de l’exercice. Réfléchissez à votre motivation et projetez-vous sur le poste à pourvoir.
 
> Sortir de l’entretien sans l’avoir conclu. Un entretien d’embauche possède un début et une fin. Vous devez montrer votre curiosité et un intérêt pour la suite qui sera donnée. 
 
(Avec le concours d’Anne Pomès, directrice de l’activité recrutement et approche directive chez Actiforces à Tours ainsi que Marion Bertrand, une de ses collaboratrices).
 
 
Pauline Baumer