Sélection#1 : Notre top 12 des feel-good movies pour le confinement

On ne va pas se mentir, le confinement peut être difficile pour beaucoup. Tmv pense à vous et a fait une petite sélection de feel-good movies, ces films qui font du bien et qui font sourire. Pour ne pas trop déprimer !

1.Mon voisin Totoro

Pas de méchants, que de la magie, du bonheur et de l’onirisme. Miyazaki accouche ici d’un film d’animation de toute beauté, débordant de poésie et qui fait fondre notre petit cœur tout mou. Esthétique parfaite, personnages que l’on aime de bout en bout, rapport profond à la nature : on dit oui, oui et oui monsieur Miyazaki.

2.The Blues Brothers

De la musique géniale et la plus grosse scène de destruction de voitures du cinéma. Rien qu’avec ça, il est impossible de ne pas se refaire ce film mythique de John Landis (1980), où Dan Aykroyd et John Belushi brillent dans leur costume noir, où pléthore de stars de la musique se succèdent et où le cool se résume à chanter « Eeeverybody, needs sooomebody ».

 

3.La vie rêvée de Walter Mitty

Rarement n’a-t-on vu Ben Stiller aussi juste… Ici, il campe Walter Mitty, homme d’une banalité sans nom, un personnage ordinaire enfermé dans son quotidien qui ne s’évade que dans ses rêves. Un jour, il décide d’embarquer dans un périple incroyable. Le résultat ? Un grand film, une belle aventure, un moment tout en finesse et en poésie, malin et bourré de couleurs saturées. C’est tout en tendresse et ça fait surtout sacrément rêver…

4.Intouchables

On ne présente plus ce succès monumental, emmené par un Omar Sy en pleine forme. Son rire, ses pas de danse, ses vannes et son charisme : tout concorde pour faire de lui la tête pensante et le maître de cette comédie qui fait du bien à la tête.

5.Le livre de la jungle

« Il en faut peu pour être heureux, vraiment très peu pour être heureux… » Cette chanson et un petit retour en enfance grâce au livre de la jungle, par exemple ?

6.Chantons sous la pluie

Le genre de la comédie musicale file déjà le sourire et apaise les esprits. Si, en plus, on vous propose la comédie musicale culte par excellence… On retourne dans les années 50, pour un classique enchanteur et drôle.

7.Un jour sans fin

Le pitch de base était déjà fantastique (être coincé dans une boucle temporelle, tout en donnant un sens à sa vie). Quand en plus, il est porté par l’inénarrable Bill Murray… On se reprend une dose de cette comédie signée Harold Ramis. Et quand on y pense, Un jour sans fin : n’est-ce pas là le résumé de nos journées de confinement actuellement ?

8.Dumb & Dumber

En 1994, Jim Carrey est prêt à conquérir le monde. Le « Mask » revient sur les écrans dans Dumb & Dumber, comédie des frères Farrelly, dans laquelle il incarne la crétinerie absolue. Le film est débilissime à souhait (deux amis spécialistes de l’élevage de lombrics, après un malentendu, partent à la recherche de Mary qui a oublié sa valise… avant de se retrouver au centre d’un complot), mais qu’est-ce que c’est bon de rire en ce moment.

9.Mary à tout prix

Allez, on continue dans le bébête mais drôle avec, de nouveau, les frères Farrelly aux commandes de cette comédie culte des années 90. Un loser, un détective privé, un amour de jeunesse, un imbroglio, des personnages hilarants (Ben Stiller a décidément le chic pour ses rôles de gros boulet), des scènes inoubliables (oui, oui, le gel dans les cheveux…) et des vannes au kilomètre. Qu’est-ce que c’est bon de rire en ce moment (bis).

10.Good Morning England

Porté par sa délicieuse galerie de personnages et un récit sans-faute, Good Morning England est une bouffée d’air frais. Ce zoom sur les radios libres et pirates dans une époque où les pourfendeurs de la liberté d’expression étaient nombreux colle le sourire aux lèvres. Le tout, dopé par une B.O dantesque et 100 % rock’n’roll.

11.Les Miller, une famille en herbe

Bon avouons : c’est notre péché mignon, notre film de la honte. Parce qu’on a beau l’avoir vu un paquet de fois, Les Miller nous fait toujours nous marrer bêtement. L’histoire ? Un dealer de pacotille doit éponger sa dette en passant une grosse cargaison au Mexique. Pour ce faire, il convainc ses voisins (une strip-teaseuse, un puceau, une voyou) de devenir ses complices : en se faisant passer pour une famille modèle, ils ne devraient avoir aucun souci… Autant dire que cette comédie fumante, politiquement incorrecte, se la joue divertissement généreux et improbable, trash tout en en faisant des caisses. Allez, on se le remet pour la 9e fois…

12. Mme Doubtfire

Parce que 1993-1994 a vraiment été la décennie des meilleures comédies US… Parce que ce film est bienveillant… Parce que c’est drôle et émouvant à la fois… Parce que ce long-métrage n’a pas pris une ride… Parce que Robin Williams nous manque.

Let’s dance à Aucard de Tours !

Aucard de Tours revient du 5 au 9 juin à la Gloriette pour sa 33e édition. Le festival le plus « à la cool » de Touraine a de nouveau sorti une programmation des plus éclectiques. Petit aperçu de nos coups de coeur : pièce d’identité s’il vous plaît !

ONYX

Style : Hip hop
C’est qui : Des légendes du hip-hop, rien que ça. Du rap de la East Coast, venu tout droit du Queens. Fondé en 1988, Onyx a tout ravagé en 1993 lors de la sortie de son Bacdafucup (sur le label Def Jam), méga-succès commercial avec passage en boucle sur MTV obligatoire.
La chanson à écouter : « Lighters », un titre récent mais addictif, avec son flow hip hop jouissif trempé dans un esprit punk.

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GIRLS IN HAWAII

Style : Rock / pop
C’est qui : Des Bruxellois à la musique intimiste, mélange de pop, rock, folk et parfois d’électro, le tout mâtiné de mélancolie mais plein de douceur.
La chanson à écouter : « Misses », aussi beau que touchant.
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JOEY LE SOLDAT

Style : Hip hop du Burkina Faso
C’est qui : Fils d’un militant indépendantiste, Joey Le Soldat mélange son rap avec des sonorités world music et chante l’histoire de son pays, le Burkina Faso, à travers des textes engagés.
La chanson à écouter : « Burkin Bâ ». Un rap balaise posé sur des percussions africaines et une ligne de basse lorgnant sur l’électro.
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THÉ VANILLE

Style : Rock acidulé
C’est qui : « Si à 50 ans, on ne connaît pas Thé Vanille, c’est qu’on a raté sa vie. » Si, si, c’est Jacques Séguéla qui l’a dit aux Tourangeaux. Thé Vanille, ce sont des incontournables dans notre contrée. Passés par les Apérocks l’an dernier, ils fouleront cette année la scène d’Aucard. C’est pop, c’est rock, ça fait l’effet d’un bonbon qui picote sous la langue, c’est rafraîchissant. Et en plus, ils sont beaux comme tout, voilà.
La chanson à écouter : « Wrath ». Impossible de ne pas secouer du popotin. D’ailleurs, on vous surveillera pendant leur show à Aucard, attention!
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KING SALAMI & THE CUMBERLAND 3

Style : Rythm ‘n’ blues survolté
C’est qui : La palme du nom le plus étrange de l’affiche (ex aequo avec Angle mort & clignotant). Mais aussi, et surtout, un groupe au groove contagieux, dansant au possible (ça tombe bien, le thème d’Aucard est Let’s dance !), un brûlot de rythm ‘n’ blues foldingue empruntant au punk son énergie et à Screaming Jay Hawkins ses envolées.
La chanson à écouter : « Ma Juju Girl ». Parce que si tu ne te déhanches pas sur ce titre, c’est que tu n’es pas normal (ou que tu es un homme-tronc et dans ce cas, tmv te pardonne).
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LES $HERIFF

Style : Punk
C’est qui : L’un des fondateurs de la scène punk rock française, tout simplement. Les Montpelliérains ont souvent été comparés aux Ramones et à raison : quelques accords, des chansons faciles à retenir et une propension à jouer vite et fort. Du punk, quoi.
La chanson à écouter : « Non, non, non ». Une minute 38 au compteur, joué les deux doigts dans la prise. Attention aux pogos.
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TALIB KWELI

Style : Rap de légende (oui, aussi)
C’est qui : Une des figures du rap US de la fin des années 90, un des musiciens les plus importants du hip hop underground. On se doute donc que l’orga d’Aucard a dû frétiller tel un petit poisson en attirant Talib Kweli dans ses filets.
La chanson à écouter : « Human Mic ». Le flow de l’artiste se marie à merveille aux violons qui enveloppent ce morceau pour le faire partir loin, très loin.
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ECCA VANDAL

Style : Alors là…
C’est qui : Aucard décrit cette Australo- Sud Africaine comme « une énigme mystérieuse et fascinante ». Son style ? Zéro limite, aucune barrière. Ecca Vandal mélange toutes ses influences, allant de l’urban punk au rap/RnB, pour les digérer à merveille et accoucher d’une mixture indéfinissable mais qui rend accro.
La chanson à écouter : « Broke Days, Party Nights ». La définition même de l’énergie.
NEWs_AUCARD_ECCAVANDAL

Mais aussi

Triggerfinger, Stand High Patrol Dj set, Concrete Knives, Ann Clue, Sopico, Contrefaçon, It It Anita, Bhale Bacce Crew ft Marina P, Équipe de Foot, Frankie & The Witch Fingers, JVSSVD, Moodoïd, Spoek Mathambo, Golden Down Arkestra, Kiddy Smile, 10LEC6, Moaning, Weird Omen, YachtClub, The Scaners, Angle Mort et Clignotant, Mathem & Tricks…

PRATIQUE
> Du 5 au 9 juin, Parc de la Gloriette à Tours. Préventes : Pass 1 jour : 10 € ; pass 5 jours : 30 € (25 € en PCE). Sur place : 15 € pour le pass 1 jour et pass 5 jours à 40 € (ou 30 € en PCE).
> Infos sur radiobeton.com/aucard ou sur Facebook.com/aucard.de.tours
> Bus retour Fil Bleu : arrêt spécial Aucard à 0 h 30, 1 h, 1 h 30, 2 h et 2 h 30.

Zofia Rydet au Château de Tours

De 1978 à 1990, Zofia Rydet a photographié les hommes et les femmes de Pologne. Une expo à voir au Château de Tours.

Zofia Rydet
série « Répertoire sociologique » / Zofia Rydet Courtesy Fondation Zofia Rydet. © Musée d’Art Moderne, Varsovie, Pologne

Dans les grandes salles du château, l’effet est saisissant : des dizaines de photos noir et blanc se serrent sur les murs, collées les unes aux autres. Comme un immense film négatif. Ou comme des papillons épinglés dans une boîte. De 1978 à 1990, Zofia Rydet a photographié les hommes et les femmes de Pologne, leur maison, leurs rituels, aussi, prise d’une espèce d’angoisse à l’idée que tout disparaisse un jour.
Plus de 20 000 photos, classées selon des typologies très personnelles. Sa démarche sociologique rappelle celle de Nicolas Muller mais la ressemblance s’arrête là.

Les photos de Zofia Rydet sont sombres, laides, cliniques. Comme l’explique l’un des deux commissaires de l’exposition, Sebastian Cichocki, « Zofia était un terroriste de la photo : elle entrait chez les gens, leur disait qu’elle devait faire une photo d’eux, là, tout de suite. » Une exposition à voir, non pour sa beauté mais pour toutes les réflexions qu’elle porte : la photo est-elle toujours un art ou peut-elle être un médium scientifique ?

 > Zofia Rydet, Répertoire, 1978-1990, jusqu’au 28 mai 2017. Château de Tours.

Rahan s’expose à Blois

Ce sont les vacances ! On a le temps, alors bondissez dans le train pour Blois (c’est pas loin !) et filez à l’expo Rahan.

Toi aussi fais une folie : va en liane à Blois.

Oui, vous avez bien lu. Rahan aka Cheveux de feu, fils des âges farouches, fils de Crao, c’est bien lui. Jusqu’au 30 avril, il est à l’honneur dans la jeune Maison de la BD de Blois. L’expo est petite mais extrêmement bien agencée. Elle présente les planches originales d’André Chéret, le dessinateur. Dans une vidéo, Jean- François Lecureux, qui a succédé à son père Roger Lecureux en tant que scénariste, revient sur les grands moments de la série phare de Pif Gadget et notamment sur la mort de Rahan. Annoncée en 1977, à la Une du numéro 443 du magazine, la disparition du grand blond aux yeux bleus fait un tollé. Un million d’exemplaires vendus, juste avant sa résurrection dans le numéro 444 !

Au fond de l’expo, une grotte-salle de lecture permet de se replonger dans les dix intégrales des aventures du héros. Les plus jeunes, eux, peuvent s’entraîner à dessiner les animaux de la Préhistoire. Dans le couloir d’à côté, une seconde expo temporaire, intitulée Un autre monde de bulles, présente le travail d’une quarantaine d’artistes qui ont planché sur une maladie de peau méconnue appelée l’épidermolyse bulleuse. Une initiative de l’association Debra (Dystrophic Epidermolysis Bullosa Research Association).

Et vous savez quoi ? L’entrée de la Maison de la BD est gratuite. L’équipe est super accueillante. Alors n’hésitez plus. Partez pour Blois et profitez-en pour découvrir la ville, son château, ses jolies ruelles, son petit village de pêcheur… Heu non, pardon, on s’égare.

Jeanne Beutter

Ciné : Les films les plus attendus en 2015

Qu’on se le dise : il y a quand même du lourd pour les salles obscures en 2015. Voici quelques films qui vont faire du bruit tout au long de l’année… Si, si, on le sent !

Star Wars épisode VII : le réveil de la force (18 décembre)

C’est quoi ? A part si vous avez vécu dans une grotte ces 40 dernières années, vous connaissez Star Wars, l’une des sagas les plus géniales de l’Histoire du cinéma. Un univers de science-fiction sans pareil. Et puis flûte, qui ne rêve pas d’un Chewbacca à la maison ?

Pourquoi ? En un mois, le trailer du prochain Star Wars a comptabilisé plus de 52 millions de vue. Ce septième épisode est attendu par tous les fans (et par la rédac tmv !). Le nouveau bébé est réalisé par JJ Abrams, capable du meilleur (le dernier Star Trek, Super 8) comme du pire (Mission impossible 3 ou la prod’ de Cloverfield). A tmv, on est super impatients (bon sang, cette image du Millenium Falcon !). Même si on a un peu peur de ce fameux sabre laser bizarroïde en croix et du produit estampillé Disney…
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=OMOVFvcNfvE[/youtube]

Jurassic World (10 juin)

C’est quoi ? La suite de la saga Jurassic Park. Souvenez-vous, ce premier épisode en 1994 qui a bouleversé le monde des effets spéciaux et qui vous a fait dire : « ok papa, je jouerai plus jamais avec de l’ADN de T-rex… »

Pourquoi ? Parce que c’est la suite, on vient de vous le dire ! Impossible de résister, même si le trailer n’est pas exceptionnel et que c’est Colin Trevorrow (auteur de pas grand-chose) qui signe la bête. Mais bon, Jurassic Park quoi !
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=wmzAfqhphq8[/youtube]

Mad Max : Fury Road (13 mai)

C’est quoi ? Sorte de reboot de la série originelle, ce quatrième volet revisite le cultissime Mad Max. En gros, du post-apo, de la science-fiction, des bagnoles qui explosent et des courses poursuites de folie.

Pourquoi ? Parce que la bande-annonce spectaculaire, présentée en juillet 2014 au Comic-Con, a volé la vedette à tous les autres projets. C’est l’un des films les plus attendus. C’est Tom Hardy (Locke, Des Hommes sans loi…) qui tient le rôle de l’anti-héros, puisque Mel Gibson a été crucifié dans sa Passion du Christ, mais aussi par le tout Hollywood qui a mal digéré ses propos antisémites, son alcoolisme et autres frasques.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=akX3Is3qBpw[/youtube]

Avengers : l’ère d’Ultron (29 avril)

C’est quoi ? La suite d’Avengers, un des plus gros cartons de tous les temps (1,5 milliard de recette dans le monde. Tranquiiiille). Les super-héros Iron Man, Thor, Hulk et compagnie unissent de nouveau leur force pour combattre le terrible Ultron.

Pourquoi ? Parce que le succès sera forcément au rendez-vous, vu la folie Marvel du moment. Aussi parce que, comme on dit, « on prend les mêmes et on recommence ». Comprenez Joss Whedon à la réal’ et la bande à Robert Downey Jr et Chris Evans côté gros musclés.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=tmeOjFno6Do[/youtube]

Cinquante nuances de Grey (11 février)

C’est quoi ? L’adaptation ciné du fameux roman érotico-SM-soft-graou-slurp, 50 Shades of grey. Les ouvrages d’E.L. James ont été un succès interplanétaire.

Pourquoi ? Parce qu’au cinéma, les aventures coup de fouet et cire de bougie sur les fesses susciteront à coup sûr le même intérêt que leur alter ego littéraire. Déjà décrié (scènes retournées car pas assez sexy, affiche polémique…), Cinquante nuances de Grey (eh oui, en français, c’est déjà moins excitant) a intérêt à être aussi sulfureux qu’il le prétend.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=9G7oSGWHSVc[/youtube]

Hunger games : la révolte partie 2 (18 novembre)

C’est quoi ? La fin des aventures de la jolie guerrière Katniss et donc des Hunger Games.

Pourquoi ? Parce que ce dernier épisode a été scindé en deux (pas duuu touuut pour ramasser plus de billets, nooon) et que la première partie nous a laissé un goût amer (lisez tout en bas ICI). Mais que mine de rien, ces Hunger Games en ont quand même dans le ventre et qu’on aime Jennifer Lawrence.

Bob L’éponge (18 février)

C’est quoi ? L’inénarrable éponge débile du dessin animé arrive au ciné. Bob se rend dans notre monde, afin de mettre la main sur la recette volée du pâté de Crab.

Pourquoi ? Parce que ça a l’air complètement taré et frappadingue, qu’il y a Antonio Banderas en pirate, et que le héros de Nickelodeon nous fait toujours autant marrer.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=gUxq7-WRHoE[/youtube]

Fast and furious 7 (1er avril)

C’est quoi ? Le 290348948e épisode des Fast and Furious, le gros bébé turbo-testostéroné de Vin Diesel, le type aux bras aussi gros que ma tête.

Pourquoi ? Parce que mine de rien, la série continue à rouler sur la route du succès. Et qu’on est curieux de découvrir le résultat, réalisé pourtant par un pro de l’épouvante, James Wan (Conjuring, Annabelle, Insidious…). C’est aussi l’occasion de voir les dernières scènes de Paul Walker, décédé en novembre 2013.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=Skpu5HaVkOc[/youtube]

La nuit au musée : le secret des pharaons (4 février)

C’est quoi ? Dernier volet de la saga, avec un Ben Stiller qui reprend du service comme gardien du musée le plus survolté du monde.

Pourquoi ? Parce que le numéro 1 était mignon tout plein et même rigolo, que le 2 nous a laissés sur notre faim, mais qu’on espère beaucoup du 3, même si c’est toujours la même chose. Et qu’il sera agréable de revoir l’excellent Robin Williams, mort durant l’été 2014.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=BDHmQSlYQWQ[/youtube]

Au cœur de l’océan (11 mars)

C’est quoi ? L’histoire du baleinier Essex, attaqué par une baleine surdimensionnée qui a inspiré le roman Moby Dick.

Pourquoi ? Parce que la bande-annonce nous a filés des guilis dans le bidon. Signé Ron Howard, doté d’une photographie somptueuse, In The heart of the sea (le titre VO) promet un grand spectacle, façon blockbuster humaniste.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=b_n2CAhgPiA[/youtube]

Insidious 3

C’est quoi ? La suite (encore !) des Insidious et ses phénomènes paranormaux, dimension astrale et autres trucs pas trop sympas vu qu’ils sont maléfiques (les fourbes !).

Pourquoi ? Parce qu’Insidious était une tuerie, mais que le deuxième opus était d’une nullité décevante. On croise fort les doigts pour celui-ci, même si ce n’est pas l’habituel James Wan aux manettes mais Leigh Whannell.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=qoczz7GmVys[/youtube]

Les Minions (8 juillet)

C’est quoi ? En gros, le spin off de Moi, moche et méchant. Les petits êtres tout jaunes et complètement débiles (mais hilarants) ont droit à leur propre film.

Pourquoi ? Parce qu’il est impossible de passer à côté. Les Minions, c’est succès assuré, vu le capital sympathie dont ils bénéficient depuis les excellents opus de Moi, moche et méchant. Le film idéal pour débuter l’été.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=aGxyOwkwJyc[/youtube]

>>Et pour janvier 2015 ?

On sent bien que Taken 3 (21 janvier) pourrait faire son petit effet, pour se rattraper du 2 très mal reçu. Et bon sang, qu’est-ce qu’on aime Liam Neeson quand il casse des tronches. Into the woods (28 janvier), soit le Promenons-nous dans les bois, risque de ramener un paquet de familles dans les salles : emmené par Meryl Streep et Emily Blunt, ce produit Disney mélange fantastique et comédie musicale. Tout le contraire de La Dame en noir 2 (14 janvier), film d’horreur britannique Tom Harper III, qu’on attend avec impatience. Le premier volet avait en effet surpris avec son côté épouvante gothique pas désagréable, rappelant un peu la Hammer. Mais ce coup-ci, point de Daniel Radcliffe (Harry Potter) à l’affiche.

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Avengers

Escapade à Jersey : historique et branchée

#EPJTMV. L’île au charme britannique renferme des trésors de patrimoine, et d’adresses incontournables.

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La Baie de Saint-Brélade

Dès que le soleil se pointe, c’est l’endroit idéal pour se détendre sur le sable fin et se baigner en toute tranquillité. Enfin… presque ! Car la plage est aussi le rendez-vous des Jersiais amoureux des sports nautiques. Du canoë-kayak au jet-ski, en passant par le paddle, le canotage et la planche à voile, la Baie de Saint-Brélade respire le dynamisme et les vacances.

Le zoo
Étendu sur plus de huit hectares, le zoo de Jersey, fondé en 1959, préserve de nombreuses espèces en voie de disparition. Situé à l’écart de la ville, il recense 130 variétés d’animaux. Entre deux découvertes, les visiteurs peuvent faire une pause au Firefly café ou au Dodo restaurant.

Les tunnels de guerre et l’hôpital souterrain allemand
Amateurs d’histoire, ce site est pour vous ! Les différentes phases de l’occupation de Jersey par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale sont retracées sur plus d’un kilomètre dans ces tunnels de guerre. Au détour d’une galerie, on tombe même sur un ancien hôpital souterrain allemand (claustrophobes s’abstenir !). On passe facilement la journée entière à revivre les souvenirs conservés dans le patrimoine historique de l’île.

Le château d’Elizabeth
À marée basse, on y accède à pied. Et lorsque l’eau monte, on embarque sur le véhicule amphibie ! Dominant la baie de Saint- Aubin, ses murs renferment des expositions sur les 300 ans d’histoire pendant lesquels le château d’Elizabeth, perché son sur îlot rocheux, a défendu Jersey. Une balade sympa autour de magnifiques édifices.

The Jersey Opera House
En ville, c’est LE théâtre par excellence où se jouent pièces, spectacles et représentations en tous genre. Beaucoup de Britanniques viennent se produire sur la scène du Jersey Opera House. Un lieu bouillonnant de culture qui en régale tous les amateurs.

♦Howard Davis Park
Une parenthèse fleurie au coeur de Saint Hélier, la capitale de Jersey. Le café du parc est idéal pour faire une pause en toute tranquillité, au coeur de l’agitation urbaine. Une magnifique roseraie et un cimetière de guerre donnent au parc d’Howard Davis toute sa singularité. De nombreux concerts de plein air s’y déroulent, un véritable régal en été !


EN BREF 

>>OÙ MANGER, BOIRE PUIS DANSER ?
Royal YachtWatersplash Ce bar-restaurant branché de Saint-Ouen est d’abord apprécié pour sa cuisine, qu’on aime déguster tranquillement en terrasse, face à la mer. Quartier général de nombreux surfeurs, il affiche souvent complet de jour comme de nuit, même lorsqu’il se transforme en nightclub. Réputé pour son ambiance, des DJ renommés du Royaume-Uni y viennent parfois pour jouer quelques sets en live. Un incontournable pour tous les démons de minuit (pardon).

The Royal Yacht Le lieu un peu magique de l’île pour sortir : hôtel branché en plein centre ville, c’est aussi un bar, idéal pour boire un café en journée. Le soir, direction son élégant restaurant pour dîner. Et le vendredi, c’est boîte de nuit : le Royal Yacht branche les spotlights et devient l’un des nightclubs préférés des Jersiais !

NOTRE GUIDE
Catherine
 
 
 
 
 
Catherine est née à Jersey et y a vécu toute son enfance. Après quelques années d’études en France, elle est rentrée vivre sur sa petite île, dont elle adore le côté cocoon, où elle connaît (presque) tout le monde.
 
 

Festival du cinéma asiatique : 15e édition à Tours

C’est la 15e édition de cet événement tourangeau. Pour l’occasion, on a pensé à 15 films asiatiques qui ont marqué l’histoire du cinéma.

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Les sept Samouraïs
d’Akira Kurosawa (Japon), parce que c’est un des premiers grands films à donner ses lettres de noblesse internationales au cinéma asiatique.
In the Mood for Love de Wong Kar-Wai (Hong-Kong), parce qu’il parle d’amour comme personne (On aurait pu citer The Grandmaster ou 2046, mais il fallait choisir).
Shaolin Soccer de Stephen Chow (Hong-Kong), parce que mélanger foot et moines shaolin, c’est canon.
Princesse Mononoké de Hayao Miyazaki (Japon), parce qu’il a permis aux adultes d’aller voir des dessins animés sans forcément emmener leurs enfants.
I Wish de Hirokazu Koreeda (Japon), un des derniers films de ce réalisateur très concerné par l’enfance. Une ode magnifique à l’innocence (on aurait pu encore mettre Tel Père, tel fils).
Adieu ma concubine de Chen Kaige (Chine), même s’il est long et très lent… qu’est-ce que c’est beau !
Tigres et dragons d’Ang Lee (Taïwan), car oui, c’est possible de faire un film d’art martial très intelligent et populaire.
L’Empire des sens de Nagisa Oshima (Japon), parce qu’il pousse l’érotisme et la sexualité à leur paroxysme.
Battle Royale de Takeshi Kitano (Japon), un exemple de violence contenue, chère à ce réalisateur fantastique.
Old boy de Park Chanwook (Corée du Sud), la vengeance n’a jamais été aussi bien mise en scène.
Une balle dans la tête de John Woo (Chine), non, les polars d’une telle intensité ne sont pas réservés aux réalisateurs américains.
The Host de Bong Joon-ho (Corée du Sud), une des œuvres majeures du cinéma de genre.
A touch of sin de Jia Zhang Ke (Chine), prix du scénario de Cannes 2013, un bijou.
Tropical malady d’Apichatpong Weerasethakul (Thaïlande), ce n’est pas parce que le nom de ce réalisateur est imprononçable qu’il n’est pas hyper talentueux.
La Rivière de Tsai Ming Lang (Taïwan), un des films cultes d’un maître du cinéma taïwanais.
Benoît Renaudin
ÉVÉNEMENT
LE FESTIVAL
Cette année, la programmation du Festival International de cinéma asiatique de Tours (FICAT) est conséquente. Entre les projections de films aux Studio, en compétition (Un été à Quchi, Song of silence…) ou pas (With Mom, Real, Détective Dee 2…)? vous avez le choix parmi une bonne douzaine de films. Il y en a même pour les plus petits, avec des courts métrages d’animés (Les Petits canards de papier).
MAIS PAS QUE…
Le FICAT s’est entouré de plusieurs partenaires, qui proposent aussi de faire des activités en dehors du cinéma des Studio. Il y a par exemple un atelier d’origamis et des tables de lecture sur l’histoire du Japon à travers les mangas, au Nyanko café (Rue de Jérusalem). Ou encore, une projection de courts métrages à 20 h 30, le 26 mars, à l’Instant café (rue Bernard-Palissy). Mais aussi une rencontre avec la réalisatrice Momoko Seto et une projection de son documentaire à l’Espace Parfum culture (rue Blaise-Pascal).
√ PRATIQUE
Le festival se déroule jusqu’au 26 mars.
→ Pour voir tout le programme et les tarifs, allez jeter un coup d’œil à cineasia37.wordpress.com