Chronique resto : On a testé Mamma Mia, rue de Bordeaux

Ces derniers temps, si vous êtes passé(e)s du côté de la rue de Bordeaux, vous n’êtes pas sans savoir qu’une nouvelle enseigne a fait son apparition à la place du Subway (paix à ton âme). Désormais, c’est le tout nouveau Mamma Mia qui a pris ses quartiers au numéro 28.

Mamma Mia, c’est quoi ? C’est, à la base, un groupe qui possède quatre marques (Mamma Mia, mais aussi Fremont Burger, Mamma Napoli et Mamma Fraîche), implanté en région parisienne. Et maintenant depuis peu en Touraine.

Le jour de notre venue, le ciel bleu et les 21°C sont de la partie : difficile de résister, on s’installe donc sur la petite terrasse, trombine au soleil. Un coup d’oeil à l’intérieur nous fait voir une jolie salle, aux couleurs méditerranéennes. De nombreux bouquets de fleurs séchées sont accrochés aux murs, le four à pizza trône à l’entrée et les tables sont à l’enfilade, très proches les unes des autres.

La Mamma Mia, moitié pizza moitié focaccia

Côté cuisine, on est sur du classique à l’italienne : antipasti pour débuter, des pâtes (4 fromages, bolo, truffe, ou encore des linguine aux palourdes ou à la sauce tomate et piment…), quelques plats et, bien sûr, des pizzas. Il y a les toutes simples, comme la margherita ou la calzone (12 € et 16 €), mais aussi des recettes à la chair à saucisse piquante (bella calabria à 15 €) et à la crème de truffe et burrata (bianco e nero à 21 €).

Pour notre part, on s’est laissé tenter par la spécialité du restaurant, la pizza mamma mia qui affiche 20 €. Originalité ? C’est qu’il s’agit d’une moitié pizza, moitié focaccia. La partie focaccia, ce pain de forme plate cuit au four, est assaisonnée au basilic, agrémentée de roquette (un peu trop à notre goût d’ailleurs) et bresaola, une très bonne charcuterie italienne séchée, relativement similaire à la viande des grisons. Sympa !

L’autre moitié pizza fait le travail, copieuse, avec sa mozza bien coulante et légèrement gratinée comme on aime.

Petite précision finale : l’établissement propose aussi à emporter et en livraison, via les plateformes habituelles. Pour celles et ceux qui voudraient faire venir l’Italie à eux.

Aurélien Germain


 > L’addition : Comptez entre 12 et 21 € la pizza. Pour notre part, la spécialité « Mamma mia » était à 20 €. Pour le reste de la carte, plat de pâtes entre 12 € (al arrabiata) et 18,50 € (à la truffe) et une dizaine d’euros pour les antipasti et les desserts. Menu enfant à 14 €

> C’est où ?  28, rue de Bordeaux. Ouvert du lundi au dimanche, midi et soir. Repas sur place, à emporter ou livraison. Contact Tél. 06 77 58 86 20 ou page Facebook du groupe : facebook.com/Mammamiagroupe. Réservations sur thefork.fr

 

 

On a testé le Ristorante Enoteca Italiana et sa gastronomie à l’italienne

C’est un petit nouveau qui remplace le Thélème, bien connu à quelques pas de la gare. Maintenant, place à l’Enoteca Italiana et sa gastronomie venue tout droit d’Italie.

« Arrivederci » le Thélème ; « buongiorno » l’Enoteca Italiana ! Outre notre magnifique niveau d’italien, vous remarquerez que le célèbre Thélème de la rue Charles-Gille a changé de propriétaire il y a quelques mois, pour laisser place à une nouvelle enseigne, le Ristorante Enoteca Italiana.

Comme son nom l’indique, l’établissement, ouvert début décembre 2021, fait désormais place à la cuisine italienne et gastronomique. Ni une, ni deux, nous voilà assis confortablement à l’une des tables, portés par l’accent italien de notre hôte chaleureuse.

On reste sur une très belle salle, spacieuse, avec possibilité de s’installer à l’étage ouvert. L’ambiance est cosy, la lumière tamisée et délicate. Mais ce qui nous intéresse ici, c’est la carte !

La formule du midi (17,50 €) propose un plat différent par jour. Cette semaine, il y avait par exemple des raviolis farcis ricotta et sauce foie gras le lundi ou encore tagliatelle alla calabraise, sauce tomate et piment de Calabria.

Une belle découverte à deux pas de la gare

À la carte, les prix sont plus élevés, mais les propositions différentes. Au hasard ? Le risotto enoteca (crevettes, mascarpone, courgettes, le tout flambé au vin blanc) à 21 €, ou encore le thon sashimi snacké à 27 €. Mais qui dit Italie, dit pâtes : on a donc craqué pour les taglioni à la truffe, affichant 26 €.

La truffe est râpée directement et devant vous.

La belle assiette noire arrive et fait ressortir l’esthétique du plat. Les pâtes fraîches et faites maison reposent dans un panier de parmesan. Une bonne idée ! Par-dessus, le chef a rajouté une généreuse portion de burrata, ce fromage traditionnel du pays. Et bien sûr, ne reste que la sublime truffe que l’on râpe sous vos yeux et en direct. C’est raffiné et de qualité. Bien parfumé comme il faut. Et, de surcroît, gourmand et copieux (on n’avait plus faim en sortant, ça c’est sûr !).

Une nouvelle adresse, un nouveau bon plan à deux pas de la gare. Un morceau d’Italie qu’on a aimé déguster et savourer.

Aurélien Germain


> L’addition : Le midi, formule à 17,50 € ou le plat unique à 12,50 € (et même plat à emporter : 10 €), uniquement du lundi au vendredi. À la carte, on monte en gamme : une moyenne de 18 € les entrées et antipasti et de 19 à 27 € le plat. Il existe aussi des menus à 30 ou 40 € et un pour les « bambinos » à 12,50 €.

> C’est où ? Au 30 rue Charles- Gille, à Tours (dans les murs de l’ancien Thélème). Ouvert du mardi au samedi, midi et soir ; et le dimanche et lundi midi.

> Contact Réservations au 06 11 09 76 04. Sur les réseaux sociaux : facebook.com/ristorante.enoteca et instagram.com/ristorante_enoteca

Gusto : le bon goût de l’Italie

La rédaction a décidé de tester le restaurant Gusto, à Tours. Embarquez pour l’Italie mais… n’oubliez pas de réserver !

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Dès le premier contact avec le restaurant Gusto, on s’envole vers l’Italie. « Pour due (deux – NDRL) personnes ? », demande le chef Cristiano originaire des Pouilles, région située au sud-est de l’Italie. Ouvert depuis le 20 septembre, ce nouveau bar-restaurant récolte déjà les fruits du bouche à oreille et il vaut mieux réserver sa table.

Avec Ingrid, ils peuvent servir une cinquantaine de personnes en une soirée, dans le respect de l’hospitalité italienne et « en laissant le temps à chacun de profiter du moment », précise Ingrid, originaire de Tours. À deux pas de la place Plumereau, dans la rue de la Rôtisserie, l’établissement a organisé l’espace en fonction de ses deux activités.
L’avant est davantage destiné à boire un verre autour d’une « plancha » de fromages ou de charcuterie (11,90 € par personne) ; et l’arrière, permet de déguster les spécialités de Cristiano en admirant l’une des 200 photos dédicacées de stars. Le menu présente les « antipasti » (entrées), des spécialités des Pouilles comme la « burrata » un fromage italien fait à partir de mozarella ou la « frisella » dit aussi « pain des Croisés ».

Il y a aussi bien sûr des « pasta » confectionnées maison tout comme la sauce pesto aux amandes, ou les « carne » (viandes) dont le veau à l’huile de truffe blanche. Pour terminer, les « dolci » (desserts), parmi lesquels, le traditionnel tiramisu ou le café affogato, servi chaud sur de la glace.

Et dans tout ce qu’ils font, « il gusto », le goût, est bien là. « Les produits avec lesquels on cuisine, les vins, la bière viennent d’Italie, beaucoup des Pouilles, sauf le jambon de Parme de Felino », explique Ingrid qui, elle aussi, peut tenir la conversation en italien.

> Gusto, 10 rue de la Rôtisserie à Tours.
> Restaurant et bar ouvert du lundi au samedi, midi et soir, jusqu’à 2 h. Menu du midi en semaine, pasta (pâtes) e dolce (dessert) à 15, 90 € ou menus à trois plats à 25,90 € ou à 29,90 €. Réservations au 09 73 25 30 12.

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On l’appelle Jeeg Robot : superhéros italien

Un film de superhéros italien ? Oui, c’est possible. Et en plus, c’est une bouffée d’air frais. Voilà la critique du film On l’appelle Jeeg Robot.

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On appelle ça une bonne surprise. Ou de l’audace. On l’appelle Jeeg Robot est un film de superhéros tout droit venu… d’Italie ! De quoi casser la routine Marvel et DC Comics et changer des blockbusters made in USA bien gras et répétitifs qui squattent le box office.

Énorme carton en Italie (le film a raflé 7 Donatello, l’équivalent de nos César), au budget minime (même pas 2 millions d’euros), le premier long-métrage de Mainetti rend hommage au manga Kotetsu Jeeg. On y suit Enzo, petit caïd qui se retrouve doté de superpouvoirs, après avoir plongé dans des eaux contaminées. Continuant ses activités criminelles (et poursuivi par des malfrats), il rencontre la jeune Alessia, fille fragile persuadée qu’il est l’incarnation de Jeeg Robot, héros de manga venu sauver la Terre.

Le film de Mainetti est un petit intrus dans le grand monde des superhéros. En allant plus loin que sa promesse de départ, On l’appelle Jeeg Robot est un mélange bâtard, comme si Spiderman avait copulé avec un film de mafioso à la sauce western urbain.
Généreux, Jeeg Robot en a dans le slip et dans la caboche : parfois ringard, souvent plaisant, mixant action et humour, il brouille les pistes et injecte un peu de sang neuf chez les superhéros.

Et puis il y a ces personnages : Enzo, misanthrope et acariâtre, face à Alessia, aussi agaçante que touchante en petite princesse naïve et désarmante. Une love-story cucul naît entre les deux, mais on a tôt fait de l’oublier avec les apparitions de Zingaro, le « méchant », bad guy hystérico-loufoque (on pense parfois au « Joker »), ultraviolent et narcissique.

De ce melting- pot étonnant naît un film courageux. Malgré ses imperfections et ses maladresses, Jeeg Robot possède un charme et fait du bien. Comme quoi… un budget faramineux n’est pas nécessaire pour accoucher d’un bon film.

Aurélien Germain

> Action/Fantastique, de Gabriele Mainetti (Italie). Durée : 1 h 58. Avec Claudio Santamaria, Ilenia Pastorelli, Luca Marinelli…
> NOTE : 3,5/5 

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Zafferano : le royaume des pâtes

Les amateurs de bonnes pâtes devraient apprécier : on a testé le Zafferano, à Tours.

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Il y a des choses simples, dans la vie. Comme celle-ci, par exemple : quand on veut manger des bonnes pâtes, il faut aller chez Zafferano, rue de la vieille tour. Comme on aime bien vérifier par nous-mêmes les croyances bien acquises pour tout le monde, nous sommes allés aiguiser notre appétit, chez Edoardo. (Et puis aussi, on avait bien envie d’un bon plat de pâtes, tiens…)

Ce qui est bien, dans cette institution du vieux Tours, c’est que le voyage commence dès la porte d’entrée. Edoardo nous reçoit avec une banane toujours aussi moustachue, un air d’opéra et une tartine au saucisson de chez lui. Nous n’avons pas réservé mais nous avons de la chance : il est tôt, les Tourangeaux sont tous en week-end et il reste encore quelques places. Nous nous installons donc sur une petite table juste en face des cuisines : le chef nous a en ligne de mire et nous balance un petit coup de Pavarotti de temps en temps. Mais nous aussi, malins, nous sommes aux premières loges pour observer la vie de la petite équipe.
Évidemment, comme souvent avec les adresses qui ont une paire d’années au compteur, le ballet est rôdé. Les commandes sont traitées dans l’ordre et la méthode, Edoardo met la touche finale et le service est rapide. Et c’est bon. Évidemment, c’est bon : les pâtes sont fraîches, les produits aussi, les saveurs sont archi-maîtrisées. C’est l’expérience (et le sang) qui parle. En plus, la carte des vins est une invitation au voyage puisqu’elle ne propose que des nectars italiens qui restent, pour beaucoup, largement à découvrir. S’il faut mettre un bémol à cette partition bien écrite, c’est au niveau de l’addition. Les pâtes valent vraiment le coup, mais elles s’affichent tout de même à 17 € l’assiette, ce qui nous a paru un peu cher. Mais ne boudons pas notre plaisir, quand on aime, mama mia… On ne compte pas !

> Zafferano, 7 rue de la Grosse Tour.
> Résa conseillée au 02 47 38 90 77.

Le Boccaccio : la renaissance italienne

On a testé Le Boccacio, un bistrot italien tout juste rouvert après neuf mois de travaux.

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Tables en chêne, étagères en acier, recettes en béton… Le Boccaccio, ou le charme à l’italienne, version remasterisée. On s’était déjà régalés, en mai 2012, dans ce bistrot judicieusement installé rue Gambetta, à l’abri de la rue Nationale. Il a bien changé. L’ancien bâti – ment qui l’abritait était vétuste, il a donc été entièrement rasé, avant que le bistrot italien ne soit reconstruit et rouvre le 1 er juin. Après neuf mois de travaux, il s’agit bien d’une renaissance. Exit le décor façon trattoria et le manque de lumière au fond de la salle. La déco est épurée, moderne et branchée.

Aux commandes, Patrick Muleau est fidèle au poste. Aussi agréable que le sont ses serveurs, disponibles pour la moindre question. Le bistrot joue toujours la carte de la simplicité et c’est un gage de qualité. « Nos produits nous viennent d’Italie et nos plats sont faits maison », explique le boss. Les cuisiniers, eux, maîtrisent leurs classiques. Entre les lasagnes, les pizzas ou encore le risotto, on a opté pour le troisième. Une seule chose à dire : benissimo ! (Ça tombe bien, on ne sait dire que ça en italien !)

Finalement, le seul bémol est l’attente entre les plats. Il faut pourtant reconnaître que les serveurs courent partout… Le resto est plein, les habitués ont retrouvé leurs repères. Aussi bien à l’intérieur, que sur la terrasse à laquelle les gourmands ne résistent pas par cette chaleur, qui rappelle l’Italie. Pour nous rafraîchir, en dessert, on jette notre dévolu sur une panna cotta aux fruits rouges… Et on fond. C’est un aller direct vers le Piémont, pour un prix plus que raisonnable. Mais le séjour est de courte durée, il faut retourner travailler. On repart le ventre plein et la tête ailleurs… Ciao !

EN BREF

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En allant au Boccaccio, on était bien décidés à se régaler à l’italienne. Après une longue hésitation avec la pizza, on a opté pour un risotto champignon ricotta speck (du jambon cru pour les intimes). Et c’était aussi joliment présenté que bon. On en aurait presque redemandé. Finalement, on a comblé notre faim par une panna cotta aux fruits rouges et là encore… un délice.
L’ADDITION
Entre la formule du midi entrée/ plat ou plat/dessert à 14,20 €, on s’est laissé tenter par la deuxième. Très raisonnable pour un déjeuner entre amis.
PRATIQUE
Le Boccaccio se trouve au 9 rue Gambetta. Il y a du monde, alors on vous conseille de réserver au 02 47 05 45 22.

Festival à Tours : viva il cinema !

Fantastico, Tours accueille les Journées du film italien pour la première fois. Suivez le guide.

A comme… avant-première
Acclamé dans plusieurs festivals, Ali a les yeux bleus (de Claudio Giavonnesi) est un peu le gros morceau des journées italiennes à Tours. Une histoire de contradictions identitaires et d’amours impossibles qui sortira sur les écrans le 30 avril. Il sera présenté en avant-première, samedi 8 février à 20 h 30, salle Thélème. Le lendemain, celle-ci accueillera aussi la première d’Anni Felici, de Luchetti, à 18 h 30.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=o8A_ZbgYR-U[/youtube]
C comme… crise
Le cinéma italien a bien connu un âge d’or. Si, si ! Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, mais notre voisin transalpin a commencé à exceller après-guerre : du néo-réalisme (Rossellini pour n’en citer qu’un) au giallo (Mario Bava et Dario Argento, les boss du domaine !), en passant par les western-spaghetti et la ribambelle de films d’horreur (Fulci était le maître)… Jusqu’aux années 80 où le déclin s’est amorcé pour faire tomber parfois (et à tort !) le cinéma italien dans l’oubli. Pour rattraper tout cela, Paolo Modugno, fondateur d’Anteprima, organise une conférence le 6 février, à 18 h, à la bibliothèque : « Où en est le cinéma italien aujourd’hui ? » (gratuit).
F comme… films
Oui, bon, c’est quand même le plus important ! Pas de compétition, mais neuf projections : outre les pellicules précitées, les amateurs pourront se délecter de L’Intervallo, Le Temps s’est arrêté, Piazza Fontana, L’Homme qui viendra, Senso, Les Premiers de la liste et Viva la libertà. Quatre courts-métrages sont aussi programmés.
I comme… invités
Les organisateurs ont convié plusieurs invités. Notamment Simonetta Greggio, romancière italienne (L’Odeur du figuier, Les Mains nues, etc.) qui sera à la Boîte à Livres le 7 février, à partir de 18 h. Ou encore Renzo Lulli (scénariste de I Primi della lista), Gianluca Farinelli (directeur de la cinémathèque de Bologne) et – sous réserve – le réalisateur Giorgio Diritti.
Aurélien Germain
EN BREF
C’EST QUAND ET OÙ ? Le Festival Viva il cinema se déroulera du 5 au 10 février. Quatre lieux de rendez-vous à retenir : les Studio (rue des Ursulines), la salle Thélème (rue des Tanneurs), la bibliothèque municipale (rue Malraux) et la Boîte à Livres (rue Nationale).
COMBIEN ÇA COÛTE ? Un pass pour les sept séances coûte 25 €. Sinon, un film revient à 6 € (tarif plein) ou 4 € en réduit et 3 € pour les étudiants et lycéens.
QUI ORGANISE ? L’association Henri-Langlois, née en 1990, veut promouvoir le cinéma classique et s’est associée à l’association Dante Alighieri qui tente d’ancrer la culture italienne dans nos petites têtes, à travers des cours, conférences ou encore des voyages culturels. Dernière association organisatrice : Cine off. Elle existe depuis 1984 et propose des séances en milieu rural. Pour le festival, la Cinémathèque de Tours s’est aussi greffée au mouvement. Créée en 1972, elle programme des films de patrimoine et mène des recherches sur l’histoire du cinéma en Touraine. Sans oublier le département italien de l’université François-Rabelais de Tours…
CONTACT Renseignements au 02 47 21 63 95. Tout le programme sur http://www.cinefiltours37.fr ou sur « Viva il cinema » sur Facebook.
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