10 & 20 km de Tours : bientôt le top départ !

10 km ? Ou 20 km ? Voire carrément le marathon ? Le dimanche 24 septembre, on va courir – et pas qu’un peu !- dans les rues de Tours.

Attention, nous entrons dans ce qu’il est convenu d’appeler le « Money Time ». Les 10, 20 km et marathon de Tours, c’est le 24 septembre, c’est-à-dire dans un peu plus de deux semaines. Trop tard pour vous lancer sur les 42,195 km ou même pour monter sur le 20 km si vous n’avez jamais couru plus de 50 minutes.

Mais pas trop tard pour participer à la grande fête de la course à pied en Touraine. Les 10 km, c’est vraiment la course festive par excellence. Un parcours qui fait la part belle à la Loire, mais qui n’oublie pas le centre-ville et un public qui sera là pour vous soutenir tout au long de votre effort. En prime, une programmation musicale assurée par l’équipe de Terres du son. Franchement, même sans chrono, même juste pour rigoler et passer un bon moment entre copains ou entre collègues, c’est à ne pas rater.

« Alleeeez ! »

Et si vous décidez de rester de l’autre côté de la barrière, c’est bien aussi. Le jour des 10 et 20 km de Tours, c’est toute la ville qui est dehors ! Dans le long défilé des coureurs, vous ne manquerez pas de retrouver des visages connus. Ne loupez pas l’arrivée du marathon. Les meilleurs bouclent la distance en un peu plus de deux heures et ils ont encore l’énergie de sprinter à la fin.

Mais c’est important d’être là pour encourager aussi les autres, ceux qui souffrent et qui vont au bout d’eux-mêmes. Running Loire Valley, c’est aussi un salon du running, une épreuve de marche nordique et c’est un événement citoyen et engagé pour l’environnement.

Et puis, dernière chose, depuis l’année dernière, pour notre plus grand plaisir, la course des jeunes a refait son apparition, après plusieurs années off. Elle a lieu le samedi 23, à la Gloriette. C’est gratuit, mais il faut s’inscrire avant. Encore un beau moment de fête sportive !

Matthieu Pays / Photos archives NR – Julien Pruvost

> Infos et tarifs sur www.runningloirevalley.com

 

Il va courir 37 semi-marathons en 37 jours !

Le top départ est lancé. Le Tourangeau Tony Lablanche va 37 semi-marathons en 37 jours. Pour la bonne cause !

Photo Facebook Respire 37

Courir 37 semi-marathons… en 37 jours ! Soit près de 780 kilomètres. C’est le défi un peu fou que s’est lancé le Tourangeau Tony Lablanche.

Son pari a débuté le samedi 11 mai et devrait donc l’entraîner jusqu’au 16 juin.

La journée, il travaillera comme si de rien n’était. Mais chaque soir à 18 h (ou 15 h 30 le dimanche), le coureur s’élancera du centre commercial de l’Heure Tranquille, aux Deux-Lions.
C’est également à cet endroit qu’on pourra le retrouver à son arrivée, lorsqu’il aura parcouru ses 21,097 km quotidiens.

Pour préparer son aventure, le sportif s’est entraîné assidûment et a été accompagné en amont par un staff médical.

En réalisant ce défi, il souhaite venir en aide à Magie à l’hôpital. En effet, chacun pourra l’accompagner lors d’une petite boucle de quelques kilomètres, accessible peu importe son niveau.
En achetant un dossard (5 à 7 €), les bénéfices iront ainsi directement à l’association. En piste !

> Aventure à suivre sur facebook.com/respire37tours

 

Il va courir 500 km en moins d’une semaine !

Gregory Richard s’est lancé un défi : celui de courir 500 km en solo et sans assistance, le tout en une semaine. Il veut repousser ses limites et surtout sensibiliser la population à une association de Chambray, Objectifs Mars.

(Photo tmv)
Greg est fin prêt pour le départ ! (Photo tmv)

Le regard de Gregory Richard s’illumine par deux fois. La première, c’est quand il disserte sur la course à pied. La deuxième, c’est quand il parle d’Objectifs Mars.
Une association qui lui tient à cœur et sur laquelle le Tourangeau de 42 ans souhaite mettre un petit coup de projecteur. Pour sensibiliser déjà et rappeler aussi que la vie n’est pas forcément facile pour tout le monde.

Alors, le 6 mai à 5 h du matin, « Greg » se lancera dans une sacrée aventure, en empruntant la Vélodyssée… en courant pour relier Saint- Brévin à Lacanau en une semaine, idéalement en 6 jours et quelques heures. Au total, 500 km à avaler ! Un défi qui semblerait fou à beaucoup. Courageux diront d’autres. Mais Greg n’en est pas à son coup d’essai.
L’an dernier, cet ancien militaire désormais gérant de la boutique de nutrition sportive Nutrinium, rue de Jérusalem à Tours, s’était fait un petit raid… entre Villandry et Saint-Brévin ! En courant bien sûr. 300 km qu’il a parcourus en seulement 80 heures. « Au retour, sur le quai de la gare, je me suis immédiatement mis à penser à un autre challenge. Je feuilletais le guide du Routard et là je me suis dit : tiens, pourquoi ne pas faire 500 km ? ».

Cette course sera pour la bonne cause. « Cette fois, je voulais le faire pour une asso. J’ai pensé à mes amis à Chambray- lès-Tours qui ont deux enfants, Paul et Quentin. Ils sont atteints de la myopathie de Duchenne… » La myopathie de Duchenne ? Une maladie génétique rare. 2 500 personnes sont affectées en France. 99,9 % sont des garçons. L’espérance de vie dépasse rarement les 30 ans. Cette dystrophie musculaire provoque une dégénérescence progressive de l’ensemble des muscles. « Je voulais courir pour eux, pour ces deux frères. Leurs parents ont créé l’association Objectifs Mars (lire ci-dessous) et je souhaite en parler autour de moi », précise Greg.

Greg avait déjà tenté un "petit" 300 km ! (Photo Facebook)
Greg avait déjà tenté un « petit » 300 km ! (Photo Facebook)

Le but de cette asso chambraisienne est, comme le précise leur site, « de rassembler les amis, la famille ainsi que toutes les personnes souhaitant soutenir divers projets pour aider Quentin et Paul à réaliser certains de leurs rêves ». Notamment les emmener à un match du Barca. Une cagnotte a été mise en ligne pour les aider à financer cela. Quand il s’élancera dans sa course, Paul et Quentin devraient d’ailleurs assister au match de leurs idoles au même moment…

Mais Greg ne courra pas uniquement pour Objectifs Mars. « En parallèle, j’ai pensé à un ami qui a perdu sa jambe en Afghanistan. Je le ferai donc aussi pour lui et pour le groupe Amputés de France. Quand je cours, j’ai toujours une pensée pour ceux qui ne peuvent pas le faire. Nous, on a parfois mal lors d’une course… Mais eux, je pense qu’ils aimeraient être à notre place et aussi “ avoir mal ’’… ».

15 KILOS SUR LE DOS

En attendant, Greg voit le jour-J approcher. Il calcule ce dont il aura besoin (même la dose de calories), prépare ses affaires comme on préparerait un voyage aux conditions spartiates. Durant le périple, il portera un sac de 10-15 kg sur le dos. À l’intérieur ? « Un peu de change, de l’eau, à manger, deux batteries externes de téléphone, une bâche et mon duvet. » Côté sommeil, peu de grasses mat’ à l’horizon. « Il faut faire des micro-siestes pour éviter les hallucinations », sourit Greg. Il les fera à la belle étoile. Tout comme il avait fait pour ses 300 km (7 h de dodo en même pas 4 jours !) : « Une fois, j’avais même dormi dans une décharge, se marre-t-il. Là, je pourrai dormir dans la forêt. J’hésite encore à m’octroyer mon unique nuit à l’hôtel en milieu de parcours. J’ai l’impression que ça ne me ferait pas faire le truc à fond… », pense ce modeste et téméraire coureur.

Car du courage, il en faudra pour relever le défi. Sa rude préparation l’y aidera : 5 à 6 séances par semaine, entre 80 et 100 km tous les 7 jours. Du fractionné, du travail de fond. Au début, il partait même chargé comme un mulet pour ses 15 km du matin… et refaisait la même le soir ! Greg confie n’avoir « ni peur ni appréhension. Je sais que je vais réussir ! ».

Il est donc fin prêt. À quelques jours du grand départ, il a réduit la cadence. Quelques douleurs aux pattes se font sentir. Le corps se réveille. Mais peu importe : « Musculairement, c’est mécanique. Le corps sécrète beaucoup de choses, il s’adapte. C’est une machine. »
Le reste se joue au mental. « Psychologiquement, il faut des objectifs. Je dois atteindre un point où il faut que je me dépasse, même si je ne suis pas bien. Il faut trouver des motivations. Moi par exemple, c’est le lever du jour. Il n’y a rien de plus beau. Ce sont des moments qui paraissent anodins, mais sont importants. Ça me booste. » Greg laisse son regard divaguer. Il semble pensif. Sourit de nouveau en triturant sa grosse montre connectée. Puis résume : « Le sport, c’est une école de la vie. Ça amène des joies, des peines, des questions, ça implique de bosser pour obtenir des résultats. Avec cette course de 500 km, je me cherche, c’est un travail sur soi-même. Je me mesure à moi-même en fait. »

>Pour suivre ses aventures lors de son périple : c’est par ici sur Facebook !

11183466_596763540466189_2652742824689870957_n>>OBJECTIFS MARS, L’ASSO POUR PAUL ET QUENTIN

Joyeux anniversaire Paul et Quentin ! Fin mars, les deux garçons ont fêté leurs 18 (pour Paul) et 14 ans (pour Quentin). Ces deux passionnés de foot sont atteints de la myopathie de Duchenne (lire texte ci-contre). C’est pour cela que leurs parents ont lancé Objectifs Mars, une association loi 1901, qui souhaite rassembler amis, famille et intéressés souhaitant les aider à réaliser leurs rêves, que ce soient des voyages, des loisirs ou de simples sorties.
Objectif affiché ? « Embellir leur vie et parsemer leur quotidien de plus de plaisirs », explique l’association. Au fil du temps, diverses actions ont pu être mises en place : ces passionnés de sport que sont Paul et Quentin ont ainsi pu donner le coup d’envoi à une rencontre de basket avec l’UTBM ou encore été emmenés aux 10 et 20 km de Tours ! Pour celles et ceux qui voudraient aider ou se renseigner sur Objectifs Mars, n’hésitez pas à suivre les deux liens ci-dessous :

> objectifsmars.jimdo.com
> facebook.com/objectifsmars

4 000 km à la force des bras

Avez-vous croisé, la semaine dernière, un trentenaire installé sur un curieux vélo ? De passage à Tours, ce Biélorusse handicapé moteur nous a raconté comment il avance sur le chemin de son rêve. Une belle leçon de vie.

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a un sacré coup de pédale. Alexandre Avdevich enfile les kilomètres : pas moins d’une centaine par étape. Et pourtant, il pédale avec les mains. Assis sur un siège noir à quelques centimètres du sol, il garde les jambes allongées tandis que ses bras redoublent d’efforts. Une sacrée performance physique. D’autant que le jeune sportif est parti de Minsk, la capitale de la Biélorussie, le 1er juillet dernier. Et qu’il lui reste, au bas mot, un bon mois de périple. Sa destination ? Porto. C’est là-bas qu’il compte rejoindre l’océan. Et réaliser ainsi son rêve le plus cher. Un rêve qu’il aurait pu croire inaccessible, lui qui est devenu paraplégique en 2011 suite à un terrible accident de moto.
Sa nouvelle condition de personne handicapée l’amène alors à s’interroger : « Je vis à Lida, une ville de 100 000 habitants qui compte 3 000 personnes en fauteuil roulant. Et pourtant, je ne les vois nulle part. En Biélorussie, il est très difficile de se déplacer en fauteuil roulant. Où sont ces gens ? Comment vivent-ils ? »

En 2013, il décide de donner une place à ces invisibles : il crée un centre adapté, avec une salle de sport et une piscine où les personnes en fauteuil peuvent venir s’exercer gratuitement. « Pratiquer chaque jour est indispensable. Le problème, c’est que la rééducation à l’hôpital, très chère, est inaccessible à la majorité des Biélorusses, regrette le trentenaire. Avec une centaine d’euros d’aide par mois, les personnes en fauteuil roulant n’ont pas les moyens de se payer les soins et le matériel nécessaires, comme une voiture, un fauteuil… Pourtant, elles en auraient besoin pour vivre bien. »

Aussi, la plupart ne travaillent pas car l’environnement n’est pas adapté. Et la moindre sortie devient un vrai parcours du combattant. Mais Alexandre Avdevich n’est pas du genre à baisser les bras. Jamais à court d’idées, il décide de donner la parole aux personnes handicapées grâce à sa chaîne YouTube « Invalife ». Il partage l’expérience de ceux qui réussissent à travailler. Il raconte, aussi, comment il a accompagné plusieurs proches dans la réalisation de leur rêve. Faire du quad, aller à un concert de rock, voir un spectacle de cirque…
Pour cet optimiste, rien n’est impossible. « Aujourd’hui, c’est mon rêve que je réalise : rejoindre l’océan à Porto. » Derrière lui flottent les fanions des pays qu’il a déjà traversés : Lituanie, Suède, Pays-Bas, Allemagne… 4 000 kilomètres pour transmettre un message : « Ne te contente pas d’essayer, fais-le ! »

Portrait par Nathalie Picard

>Page Facebook par ICI !
>Chaîne YouTube : InvaLife
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#WTF 12 : Trump a sa tombe, le web a la banane

Heureusement qu’on est là pour vous informer de toute l’actu WTF de la semaine. Entre le bananapeelchallenge et la tombe de Donald Trump…

> Said Gutseriev, 28 ans, est un chic type. Enfin… il a surtout beaucoup d’argent. Fils d’un magnat russe qui pèse 6 milliards de dollars, il a pu s’offrir un petit concert tout mignon pour son mariage. Au programme ? Sting, Jennifer Lopez et Enrique Iglesias. La robe de la mariée, elle, n’a coûté que 23 000 €. Ouf.

> Au tribunal de Rennes, en pleine affaire de trafic de stup, un prévenu a tenté de passer un morceau de cannabis à un complice, dans le box ! Remarqué par un policier, il a alors griffé jusqu’au sang le fonctionnaire devant le procureur.

> À Central Park, à New York, des petits rigolos ont installé une pierre tombale au nom de Donald Trump. Les agents de la sécurité du park ont vite retiré la fausse tombe.

 (Photo Instagram sachinrb)
(Photo Instagram sachinrb)

> C’est aussi à New York qu’a été présentée la paire de baskets la plus chère du monde. 4 millions de dollars, puisque les chaussures sont ornées de saphirs, d’or 18 carats et de diamants. Cela dit, elles sont très moches.

> Tiens, c’est que ça nous avait manqué : un nouveau défi débile est apparu sur les réseaux sociaux. Il s’agit du #bananapeelchallenge. Soit déposer une peau de banane au sol et se filmer en glissant dessus. L’humain est décidément très intelligent, parfois.

[nrm_embed]<blockquote class= »twitter-tweet » data-lang= »fr »><p lang= »en » dir= »ltr »>yall I tried to see if banana peels were rlly slipper like in cartoons &amp; I slipped &amp; tried 2 catch myself w/ a cup.. <a href= »https://t.co/6dvg5BlnHB »>pic.twitter.com/6dvg5BlnHB</a></p>&mdash; jason oakes (@jaasonoakes) <a href= »https://twitter.com/jaasonoakes/status/714238940732108800″>27 mars 2016</a></blockquote> <script async src= »//platform.twitter.com/widgets.js » charset= »utf-8″></script>[/nrm_embed]

La Nuit de l'info : pizza, codage et Polytech'

Les étudiants de Polytech’ Tours auront tout une nuit (blanche !) pour réaliser les défis de La Nuit de l’info.

La Nuit de l'info
Lors de la première édition, il y avait 202 étudiants participants. L’an dernier, ils étaient 2 853. (Photo C.Line Design)

 
 

Des étudiants, des défis, du web et une seule nuit. C’est le pari un peu foufou de la Nuit de l’info, une compétition nationale organisée depuis 2007. Une sorte de grande aventure collective réunissant des étudiants d’école informatique de toute la France et à laquelle Polytech Tours participe pour la première fois, cette année.
« C’est quelque chose qui prend de l’ampleur et on trouvait l’idée sympa », indique Yannick Kergosien, 30 ans. Cet enseignant- chercheur à Polytech Tours chapeautera la compétition avec ses collègues Carl Esswein et Jorge Mendoza. Le 4 décembre sonnera le début de la Nuit de l’info, à 16 h 36 pile et s’achèvera le lendemain, à 8 h 04. Précis, non ? « Ce sont les horaires de coucher et lever du soleil », répond Yannick Kergosien.

Partout en France – et donc à Tours – les étudiants seront regroupés en équipes. Les défis, lancés par des entreprises partenaires, tomberont d’un coup : développer une appli, un programme web, une interface ergonomique, etc. Et c’est parti pour une nuit blanche à faire carburer ses méninges et son savoir. « Bref, on va prévoir les pizzas et le café ! », lance Yannick Kergosien, en riant.
Au-delà de l’aspect purement fun et bon enfant, la Nuit de l’info pourrait aussi permettre de jolis débouchés pour les participants. « Bien sûr, ça a des incidences. À Tours par exemple, l’entreprise Umanis se prête au jeu et verra de quoi ils sont capables. Il y a aussi des groupes, comme IBM. C’est une bonne chose pour les étudiants. Il y a certes une récompense pour les gagnants à la fin, mais ça fait aussi une ligne en plus sur le CV. Et ça fait connaître les entreprises qui recrutent des ingénieurs. »

Pour l’instant, Polytech Tours a déjà réuni onze équipes, soit 77 étudiants pour la Nuit de l’info. Et compte bien remporter les défis.

Energie… 1,2,3, économisez !

Le défi Familles à énergies positives revient. Ce concours gratuit permet de réduire ses consommations d’énergie. Et ça marche.

économisez - énergie

« Aucune condition pour participer. Il faut juste avoir envie d’économiser ! » C’est comme cela que Nathalie Blanc, coordinatrice de l’association Couleurs sauvages, présente le défi Familles à énergies positives. Une sorte de jeu-concours qui marche du tonnerre. Normal, quand on sait qu’il permet d’alléger sa facture énergétique de 8 % minimum. Les gagnants, l’an dernier, ont même économisé… 37 % !
Familles, voisins, ou encore amis forment des équipes au sein de leur commune et sont accompagnés par l’Agence locale de l’énergie d’Indre-et-Loire (Ale37) et un binôme composé d’un conseiller et d’un animateur. « En fait, c’est un ensemble de trucs et astuces. Tout ça sous la forme d’ateliers, de rencontres, d’outils fiables… Un guide éco-gestes leur est donné et on prête du matériel au capitaine de l’équipe, comme un wattmètre ou un thermomètre », précise Nathalie Blanc, aussi référente lors du défi.

Les équipes sont donc accompagnées et aidées. Des conseils et des gestes ultra-simples, pour un maximum d’économie : « Par exemple, l’épaisseur de glace dans le frigo… Un centimètre, c’est 30 % de surconsommation en plus ! Il faut aussi nettoyer la grille du frigo, car de la poussière entraîne la surchauffe. On peut aussi indiquer qu’il faut des rideaux épais pour les fenêtres mal isolées. Et tout ça, mis bout à bout… »
En gros, un seul mot d’ordre : « C’est le progrès qui compte, peu importe d’où on part », rappelle Nathalie Blanc. En 2013, le département a vu 232 personnes participer au défi, soit 72 foyers répartis en 10 équipes. Tous ensemble, en quatre mois, ils ont économisé 25 720 kilowatt-heure et cinq tonnes de CO2 ! Grâce à cette initiative, les participants des précédentes éditions ont réussi, en moyenne, à économiser 200 € sur leurs factures d’énergie et d’eau. Toujours ça de pris.

>>Inscriptions jusqu’au 22 novembre, sur ale37.org Contact : 02 47 60 90 70.