On a testé les hot dogs et les rolls de Jordy’s Street Food

Au menu ici ? Des hot dogs aux différentes recettes, des « rolls » (des rouleaux de pain farcis) et des pâtisseries.

Il y a du nouveau du côté de la rue Nationale ! Depuis quelques semaines, il faut compter sur Jordy’s street food, un établissement qui s’est installé à deux pas de Porte de Loire (Anatole-France pour celles et ceux qui n’auraient pas encore suivi). Au menu ? Des hot dogs aux différentes recettes, des « rolls » (des rouleaux de pain farcis) et des pâtisseries.

À l’intérieur du restaurant, il y a ce pan de mur avec de la fausse végétation et un gros néon qui reprend le panneau mythique « Welcome to fabulous Las Vegas ». À côté, une large sélection de boissons au frais avec, notamment, des bubble tea.

Rolls pastrami et hot dog raclette

Pour notre première visite, on s’est dit qu’on allait tester les deux spécialités de Jordy, c’est-à-dire le hot dog et le roll. Pour les rolls, différentes propositions s’affrontent, comme le « thon » (mayo épicée, thon, ciboulette et œufs brouillés), le « chicken » avec son poulet, l’option végétarienne (poivrons marinés, feta) et même le « lobster » avec sa chair de homard et beurre citronné.

De notre côté, ce sera le « pastrami ». Le pain est brioché et bien moelleux, c’est tout chaud et le mélange bœuf émincé / cheddar fondu fonctionne. Il y a toutefois un peu trop de guacamole à notre goût, ce qui atténue l’ensemble.

On a aussi testé les hot dogs, évidemment. Le menu affiche sept propositions, avec chili sin carne, chips de nachos ou encore l’original à la moutarde douce. Ce jour-là, il faisait environ 35°C – coucou, la canicule – alors pourquoi ne pas tester le hot dog à la… raclette ? (à tmv, on aime les défis, oui oui) Le plat est copieux, c’est généreux en sauce cheddar pour notre plus grand plaisir, le fromage est bien coulant, il y a un peu de bacon fumé et, par-dessus, des oignons crispy pour agrémenter tout ça !

À noter qu’en plus de ces plats, il est aussi possible d’opter pour des gaufres et pancakes. Avec, au choix, service sur place, sur une toute petite terrasse, ou à emporter.

Aurélien Germain


> L’addition : hot dog entre 4,90 € et 6,90 €. Rolls à 6,90 €, sauf le « lobster » (avec de la chair de homard) à 14,50 €. Gaufres et pancakes de 3 € à 5,50 €. Formule hot dog (ou roll) + boisson + dessert à 9,50 €.
> Jordy’s street food: 15 rue Nationale, à Tours. Ouvert tous les jours de 10 h à 20 h, sauf le dimanche. Pratique Sur place ou à emporter. Option végétarienne possible pour les rolls.
> Contact : streetfoodjordys.fr  Sur TikTok @ jordystours

 

On a testé les « baogers » de Gomu, place du Grand-Marché

La franchise Gomu s’est installée à Tours. Son credo ? Allier street food américaine et japonaise avec, en rab, une petite dose de pop culture.

C’est peu dire que la franchise Gomu avait bétonné son arrivée à Tours. Du teasing sur les réseaux sociaux, un bon bouche à oreille (avec un nom qui parle à de nombreux vingtenaires), un marketing rôdé et et une ouverture en fanfare, fin mai dernier, avec 250 burgers offerts aux premiers clients et des cadeaux à gagner, comme un voyage au Japon ou des iPhone. Depuis, force est de constater que l’engouement est resté intact.

Pour la petite histoire, Gomu a ouvert son premier restaurant à Paris en juin 2021. Une dizaine d’autres établissements ont vu le jour très rapidement à travers la France. Tours a donc désormais, elle aussi, son Gomu, place du Grand Marché.

On arrive un vendredi midi pour tester l’enseigne. Très vite, un membre de l’équipe nous vient en aide, explique le concept : « Vous connaissez ? C’est inspiré de One Piece (le mot « Gomu » – NDLR). Le restaurant est un mélange entre l’Amérique et l’Asie. » En effet, les cinq amis qui ont lancé la chaîne sont tous fans de mangas et souhaitaient mixer le burger américain à l’esprit asiatique. On se retrouve donc, par exemple, avec des « baogers », c’est-à- dire des burgers avec un pain bao, un petit pain brioché d’origine chinoise… mais toujours dans le domaine de la street food, qu’on se le dise.

Néons, baogers et steak « smashé »

Une fois la commande aux bornes prise, on zieute l’intérieur du resto. La déco est originale. Il y a du néon à tout va, des tons et des couleurs qui rappellent l’esprit tokyoïte. Le staff, lui, est vraiment adorable et très avenant. À la carte, il y a un choix de dix baogers : le Ebi, avec sa galette de crevettes et sauce spicy, le Cheetos Mozza avec galette de mozzarella ou encore le Cheese tout simple, le tout avec frites crinkles ou frites patate douce.

 

On a choisi le Yonko, avec double steak « smashé », salade, oignons caramélisés et mayonnaise. Le pain se tient bien et ce fameux steak « smashé » ramène le bon point (c’est grillé comme il faut), ça a du goût. On reste évidemment dans de la fast food, mais c’est sympathique. Et à peine le repas terminé, on voit bien que la file d’attente – avec de nombreux jeunes – s’allonge déjà. Visiblement, Gomu a déjà beaucoup d’adeptes.

Aurélien Germain


> L’addition : burgers de 10,90 € (le Ham Baoger) à 13,90 € (un Crrrips avec la sauce truffe). Les principaux coûtent 12,90 €. Starters à 5,90 €. Frites à 3 €. Bubble tea à 5,90 €.
> Au 28, place du Grand Marché, à Tours. Ouvert tous les jours, du dimanche au mercredi de 11 h 30 à 23 h 30 et du jeudi au samedi de 11 h 30 à 2 h du matin. Sur place ou à emporter. Livraison possible.
> Contact Sur gomuburger.com ou @gomu.fr sur Instagram

 

On a testé la street food coréenne de Joie Joie

Implanté place du Grand-Marché, Joie Joie propose un nouveau concept shop de ramen instantané et de kits repas. On a goûté à cette bien bonne « street food coréenne ».

Des machines à ramen flambant neuves trônent dans la petite salle de Joie Joie, nouvel arrivant de spécialités coréennes dans le centre-ville, place du Grand-Marché. Et ce n’est pas pour nous déplaire, non non ! Surtout avec le froid dehors ce jour-là, on a bien eu envie d’avoir un peu de buée plein les lunettes et un plat bien consistant dans l’estomac.

Derrière sa devanture rouge, se cache un espace épuré pour commander, préparer, manger et se poser en écoutant de la musique du pays du matin clair en toute détente, malgré le léger manque de lumière extérieure. De quoi ravir la team des dingos de K-Pop et de dramas, mais aussi les petits curieux qui veulent tenter l’aventure pour explorer une nouvelle culture le temps d’un repas.

Surtout avec des plats stars de la street-food qu’on peut retrouver dans la bouillonnante Séoul à la tombée de la nuit. Des tteokbokki, des gâteaux de riz dans une sauce pimentée ; des japchae, des nouilles froides aux légumes ; des mandus, de délicieux raviolis farcis. Trois menus et un conseil : préparez vos papilles car certaines options sont très épicées.

On peut préparer son ramen soi-même

Coup de cœur pour la soupe de ramen, mais aussi le petit kimbap triangle. Des boules de riz farcies avec du kimchi – du chou fermenté épicé – sauté (veggie friendly bien sûr) ou avec un bon bœuf bulgogi comme on les aime. Un service rapide et efficace, ni plus ni moins.

On peut aussi choisir de préparer soi-même ses ramen avec des produits achetés sur place, différents « toppings » (des accompagnements) sont proposés pour pimper ses nouilles comme dans les convenience-stores asiatiques : œuf, pousses de soja, fromage… Pas déçus du voyage, le repas ne pouvait pas se terminer sans une note sucrée : un mochi glacé, fleur de cerisier pour nous.

Si vous avez aimé votre repas, le coin épicerie vous permet d’acheter le nécessaire pour reproduire les plats chez vous.  Alors 빨리빨리 (à prononcer ppali ppali, « vite »), on profite de cette expérience à la coréenne !

Charlotte Gide / Photo : Flore Mabilleau


> L’addition : pour les trois menus, comptez entre 8,50 € et 10,90 €, avec plat et boisson. Grands bao à l’unité à 6,50 €. Desserts : de 2 € pour un mochi à 5 € pour un bao sucré.
> Joie Joie, au 26, place du Grand- Marché. Ouvert de 11 h à 21 h, du lundi au mercredi et jusqu’à 22 h du jeudi au samedi. Repas sur place ou à emporter/ épicerie.
> Contact : joiejoie.fr ou instagram.com/joiejoiefrance et facebook.com/joiejoieshop. Tél. 06 06 94 17 64.

 

Street food indienne : on a testé le Taj

Du côté de la rue du Commerce, s’est implanté le Taj, lancé par Thomas Dessassis. Il montre ici son amour pour la nourriture indienne.

Et une nouvelle enseigne, une ! Le 9 mars dernier, le Taj ouvrait ses portes rue du Commerce, à Tours. Au menu ? De la cuisine indienne à la sauce street food, un créneau pas forcément très exploité à Tours. Derrière le concept et ce restaurant, on retrouve une tête plus que connue dans les contrées tourangelles, celle de Thomas Dessassis.

Lui et sa famille sont adossés au nom Newlita, à Jean-Jaurès par exemple. Mais aussi au premier Starbucks de Tours, aux ex-Quick, à Burger King… Et Thomas Dessassis, c’est aussi et enfin le fondateur de Poke & Bowl, également rue du Commerce. Bref, autant dire que le jeune entrepreneur sait ce qu’il fait et comment ça fonctionne !

Carte courte et street food indienne revisitée

Pour cette nouvelle aventure, le Tourangeau – qui a découvert Calcutta à l’époque – s’est associé à Kamal Debnath. L’équipe est rodée, ça se voit, et au service, c’est du tout bon, avec sourire à foison

. Dans l’assiette, Taj a fait le pari d’une carte courte : menu avec trois salades ou des « rolls » en entrée, trois plats au choix pour la suite et la possibilité de composer son plat indien soi-même. Quand les cartes ne sont pas à rallonge, c’est souvent gage de qualité. On aime !

Après une rapide installation en terrasse, on commence par se délecter d’un naan (au fromage bien sûr, eh oh !) qui ravit nos papilles. Impossible de passer à côté de cette galette de pain typique.

Pour le reste, on a choisi de goûter le poulet tandoori. Les émincés reposent dans un bol et sa sauce ; c’est très légèrement épicé, mais tout doux en bouche. La viande, marinée, est tendre et fondante. Avec tout ça, une bonne grosse portion de riz sauté à l’indienne, avec de petits légumes. Les saveurs, prononcées, s’en dégagent. C’est vraiment parfumé ! Et pour le prix (12,50 € le plat), c’est plus qu’honnête, puisque l’ensemble est copieux et suffit à bien caler l’estomac.

À noter enfin qu’il est possible à Taj de manger en terrasse extérieure ou à l’intérieur, mais aussi de prendre à emporter ou de se faire livrer. Une bonne découverte !

Chronique : Aurélien Germain


> L’addition : Pour le plat, la boisson et un naan fromage, le total est de 17,10 €. Pour le reste, comptez entre 3 et 7 € pour les taj rolls (suivant le nombre), 7,50 € pour une salade ou des falafels. À la carte, les plats complets sont entre 6,50 € pour le taj kebab, 10,90 € pour le biryani et 12,50 € le poulet tandoori ou l’assiette à composer soi-même.

> C’est où ? Au 9 bis, rue du Commerce. Ouvert tous les jours, midi et soir, sauf le dimanche uniquement le soir. Sur place, à emporter et en livraison. > Contact Tél. 02 47 60 91 48 ou sur les réseaux sociaux : instagram. com/tajtours_restau et TAJ Tours sur Facebook.

Pokawa : manger son « poké » hawaïen rue de Bordeaux

Les restaurants servant des « pokés », ce plat typique de la street food hawaïenne, poussent comme des champignons à Tours. Petit tour rue de Bordeaux pour tester Pokawa.

La vague hawaïenne des poke bowls continue de déferler sur Tours ! Pour rappel à celles et ceux qui ne suivent pas au fond de la classe, le « poké », c’est ce fameux plat traditionnel hawaïen (le mot signifie « couper » ou « morceau »), sain et nourrissant ; de la street food healthy avec un bol de riz et la dose de bonnes choses et de nutriments.

Notre ville n’a pas échappé à cette mode, on compte déjà un bon nombre d’enseignes de ce type. Pokawa, lui, s’est installé rue de Bordeaux en mai dernier. Une franchise créée par deux Parisiens, Maxime Buhler et Samuel Carré, en 2017, suite à un voyage au Pérou et qui compte désormais plus de 40 établissements partout en France.

C’est donc parti pour un petit tour à deux pas de la gare. L’intérieur est mignon comme tout. Tout boisé et, au-dessus des tables, de grandes feuilles de palmier. Ambiance cocooning et zen garantie. Pour commander, c’est aux bornes automatiques que ça se passe et uniquement aux bornes. Original, même si certain(e)s pourront se sentir déstabilisés. On navigue dans le menu interactif, on choisit à emporter ou sur place, on opte pour les « poké » signatures ou à composer soi-même.

Pour nous, ce sera un bowl avec riz vinaigré, poulet teriyaki, mangue, avocat, graines de sésame, radis, concombre et edamame. Autant dire que même sur une portion dite « small » (pas si small que ça), il y a de quoi se remplir le ventre. Les quantités sont généreuses (pour 9,90 €, ça nous convient), les produits bons (un poulet bien tendre), et le plat est joli et coloré. Et, surtout, c’est sain.

Les formules permettent également de choisir sa boisson. Certaines classiques et d’autres moins. On a ainsi dégotté une « Poka Beer » fruitée et florale, ou encore une eau pétillante… au CBD ! Quant à la petite sucette en forme de coeur glissée avec notre commande, ça nous a donné envie d’y retourner dire un petit « aloha ».
Aurélien Germain


> Pokawa, au 3 rue de Bordeaux à Tours. Possibilité de manger sur place ou à emporter. Commandes également possibles sur le site internet ou via Ubereats et Deliveroo. Ouvert du lundi au dimanche, de 11 h 30 à 19 h. Contact : pokawa.com ou @pokawaworld sur Instagram

> L’addition : Notre poké signature affichait 9,90 €. Comptez entre 9,90 et 12,90 € pour un poké et de 12,90 € à 14,90 € pour une formule. 

Pitaya : place à la street food thaï

Tout nouveau, tout chaud (et tout beau) : le Pitaya a ouvert à Tours, un plaisir pour les fanas de street food thaï.

Pitaya

Visiblement, Pitaya était attendu des Tourangeaux ! Le jour de l’ouverture, c’était file d’attente à tout va et terrasse remplie à ras bord. À tmv aussi, on voulait tester la bête. Pitaya par-ci, Pitaya par-là : il faut dire que l’enseigne, lauréate des « Révélations franchise 2016 », fait causer, rend dingue les investisseurs et se multiplie à vitesse grand V (cette jeune franchise bordelaise a fait une quinzaine de bébés à Tours, Paris, La Rochelle…).

Installé stratégiquement rue du Commerce, le restaurant a un style, une identité, une « belle gueule » : l’intérieur est sobre, dans un mélange de tables en bois et de tons noir, gris et or. De jolies lampes suspendues complètent la déco. Ici, c’est bienvenue en Thaïlande. Quoi de plus normal, puisque c’est le credo de Pitaya : de la street food thaï, préparée sous les yeux des clients, au wok, avec des produits frais. Dans l’assiette – enfin, plutôt dans le pot en bambou, pardon – c’est une agréable surprise. Déjà parce que, fidèle au style thaïlandais, Pitaya mélange les notes sucrées, salées, les couleurs et… les épices (on vous prévient de suite : quand ça pique, ça pique VRAIMENT !).
Ensuite, car les portions ont de quoi caler votre petit bidou. On a jeté notre dévolu sur le beef thaï, où les légumes sautés au wok croquent sous la dent, avec un émincé de boeuf préparé tout comme il faut. Le Nua Kao, lui, nous a permis de tester les crevettes et les oignons frits accompagnés d’un riz thaï un poil collé mais très bien assaisonné. Bref, un voyage gustatif sympathique et exotique. On va même se risquer à tenter le thaï et vous dire : Koh hai cha-roen ar-harn !
A. G.

> 102 rue du Commerce. Du lundi au jeudi (12 h – 15 h ; 19 h – 23 h) ; les vendredis et samedis 12 h – 23 h et le dimanche de 17 h – 23 h.
> Sur place ou à emporter. Contact : 02 47 64 49 66 ou facebook.com/PitayaResto.Tours

> Formule plat/boisson entre 10 et 15 €.

Street Food : un air british dans le vieux Tours

Street Food se la joue british ! Ce nouvel établissement à deux pas de la Place Plum’ a fait le pari du fish and chips… mais pas que !

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Il y a comme un petit air british rue de la Rôtisserie, non ? Street Food, c’est le nom du petit nouveau qui, suite à l’arrêt des Enfants Terribles, a posé ses valises dans le vieux Tours au mois de mars. Un sympathique établissement qui annonce tout de suite la couleur : ici, c’est welcome to Great Britain.

La devanture au top, calquée sur le plan du métro londonien, met dans le bain. À l’intérieur, la déco est moderne. Des burgers sont tagués au mur et il y a une énorme graffiti. Du street art pour de la street food. Outre de gros burgers maison, l’enseigne propose THE spécialité, le fish & chips. « Mais attention, avec du bon poisson comme du cabillaud ou du lieu noir. Cuisiné comme le vrai : pas de panure, mais un vrai beignet ! », prévient Isabelle. Elle a les yeux bleus (désolé), mais n’empêche que ce petit bout de femme mettrait au tapis une canette de RedBull® humaine. Loin du flegme britannique, l’adorable Isa – on se permet ce petit surnom – est plutôt du genre survitaminée. De sa cuisine ouverte, elle carbure, elle rigole, elle met à l’aise, ne lâche jamais son sourire, propose une bière « au verre ou à la cowboy ».

Et dans l’assiette, alors ? On a jeté notre dévolu sur le Taleggio burger (oui, pas très british au final, fouettez-nous avec les oreilles du Prince Charles). Composé d’un pavé de boeuf haché consistant, d’un confit d’oignons parsemé de roquette et de basilic, avec la touche finale : le fameux Taleggio, un fromage italien crémeux et fondant et des frites dorées, accompagnées d’excellentes sauces maison. On finira le ventre plein et avec un « big smile », d’autant que le Street Food a aussi bon goût en matière de musique. Manger sur du Rolling Stones ou du Led Zep’, what else ?

> 22 rue de la Rôtisserie. Sur place ou à emporter. Ouvert du mardi au jeudi (18 h 30 – 0 h), du mercredi au vendredi (11 h 30 – 14 h), vendredi et samedi (le soir jusqu’à 2 h !) et le samedi midi.
> Plats à 8,50 €. Boissons à partir de 2 €. Facebook.com/Streetfoodtours ou 02 47 47 17 78.

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