La Dreamhack : OK, mais c’est quoi ?

Parce qu’il n’est pas forcément facile d’y voir clair ou de tout comprendre quand on est néophyte, tmv vous explique en quelques mots ce qu’est vraiment la DreamHack, ce rendez-vous incontournable qui se tiendra à Tours cette semaine.

(Photo Julien Pruvost)

C’EST QUOI ?

La DreamHack, c’est un rendez- vous pour tout fan de jeux vidéo qui soit. En fait, il s’agit d’un immense événement e-sport. Le e-sport ? Oui, le « sport électronique » : en gros, vous remplacez le ballon de foot par un jeu prévu à cet effet, comme Fortnite ou Counter Strike.
C’est une pratique où des joueurs s’affrontent sur un support électronique, essentiellement le jeu vidéo. À la DreamHack, donc, on peut assister à une sorte de compétition géante, des tournois où des cyber-athlètes se tirent la bourre sur des jeux de plate-forme, de combats, d’aventures, etc. Les Jeux Olympiques du gaming, quoi !

LE WOODSTOCK DU NUMÉRIQUE

À la DreamHack, les organisateurs aiment à rappeler qu’il s’agit d’un endroit où « la passion et le fun que procurent l’eSport jouent un rôle central ». Ce qui fait qu’au fil du temps, cet événement est devenu plus qu’un simple rendez- vous.
Fondée en 1994 dans la cafet’ d’une école suédoise, la DreamHack détient aujourd’hui le record Guinness Book du plus grand festival numérique au monde. À l’international, il y a déjà plusieurs dates prévues, comme à Montréal, Valence, Dallas ou encore Rotterdam. La France compte une étape de cette tournée qu’on appelle DreamHack World Tour : c’est de nouveau à Tours.

DEUX ZONES

À la Dreamhack de Tours, deux zones seront séparées. La « LAN Party » accueillera plus de 1 500 participants pour le plein de compétitions. Dans le Grand Hall, la « DH Open », c’est l’endroit où jouera le gratin des meilleurs joueurs professionnels. Ainsi que la « Dream Expo », où se situeront stands, tests de jeux vidéo en avant-première, partenaires, finales, etc.

JOUEURS… ET VISITEURS !

Le public lambda a tendance à croire que l’événement est réservé aux joueurs pros. Loin de là. Les visiteurs peuvent assister à certaines parties en live, défier la gameuse Kayane (!), tester des jeux vidéo en avant-première, jouer à certains titres lors de sessions, découvrir des stands de constructeurs et éditeurs vidéo, et – nouveauté cette année – participer à un concours de cosplay qualitatif pour la Coupe de France.
Les pass 1 jour (15 €) ou 3 jours (39€) sont disponibles sur dreamhack.com/tours

C’EST NOUVEAU CETTE ANNÉE !

SILVERGEEK : IL N’Y A PAS D’ÂGE
Pour la première fois, la DreamHack accueille le tournoi Silvergeek dédié aux seniors, en partenariat avec la Fondation Macif. Des personnes âgées (parfois de plus de 90 ans) s’affronteront dans le Grand Hall comme leurs petits derniers, pas sur League of Legends quand même, mais sur Wii Sports Bowling.
Comme quoi, il n’y a pas d’âge.

COSPLAY : HAUT EN COULEURS
En parallèle du concours Cosplay Caisse d’Épargne-Loire Centre, qualificatif pour la coupe de France de Cosplay, organisé par Sohei, l’association de la région Centre Cos’Castle sera aussi présente sur le stand, samedi et dimanche pour des animations hautes en couleurs. Le cosplay consiste à incarner des personnages issus de la culture populaire comme les dessins animés, les séries, les films, les bandes dessinées et les jeux vidéo.

> DreamHack : du 17 au 19 mai, au Parc expo de Tours. 
> Retrouvez le programme en détail, les invités et les horaires dans notre numéro spécial, n°334

La DreamHack revient à Tours ce week-end

La DreamHack revient à Tours, mais cette fois au Parc Expo, du 19 au 21 mai. Retrouvez notre dossier spécial 4 pages dans tmv avec, en prime, le programme officiel !

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La DreamHack est un immense festival numérique, le paradis du eSport : et elle revient à Tours du 19 au 21 mai, cette fois au Parc expo pour accueillir des milliers de joueurs et de visiteurs.

Dans son nouveau numéro, tmv vous propose exceptionnellement un dossier de 4 pages sur la DreamHack avec les invités et influenceurs présents, un mot du président, ainsi que les jeux en compétition, des chiffres, le campus et surtout, le programme officiel jour par jour.

Le numéro est distribué partout en ville, ainsi que le week-end de la DreamHack, mais aussi disponible en version PDF à télécharger gratuitement ICI ! 

Bon jeu et bonne DreamHack à toutes et à tous !

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Dis maman, comment on fait les jeux vidéo ?

Cette semaine, la DreamHack vient investir notre ville pour faire s’affronter les meilleurs joueurs vidéo pour un prix de 100 000 dollars. À l’occasion de ce « Woodstock numérique », tmv a enquêté sur le processus de création d’un jeu vidéo, à Tours.

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Quand on sait que mon expérience en la matière se limite à Tetris et Mario Kart, me faire écrire sur ce sujet peut paraître insensé. Mais j’ai accepté de relever le défi de comprendre — et de vous faire comprendre — comment on crée un jeu vidéo, sans blesser aucun ordinateur durant ce reportage. Alors quand on a une histoire en tête et l’envie de la faire vivre sous forme de jeu, par où commencer ? Que ce soit en professionnel ou pour le fun, que faut-il pour fabriquer un jeu vidéo ? « Beaucoup de pizzas et de vidéos de chats », révèle d’emblée Fabien Vidal, qui chapeaute la Ludum Dare, une compétition au cours de laquelle on tente le challenge de créer un jeu vidéo en 48 heures.

Il faut surtout un ordinateur équipé d’un logiciel d’aide à la création et plusieurs passionnés, car ce ne sont généralement pas les mêmes qui s’occupent de réaliser le scénario, l’univers visuel, les sons et le code. Puis on se met au travail. On commence par écrire le scénario et définir des règles et comportements de jeu. Étape suivante : on imagine le décor, les personnages, les objets avec lesquels ces derniers vont interagir et on commence à coder, c’està- dire créer des lignes de phrases qui vont dire au jeu comment se comporter. Prenons l’exemple de Mario Bros : quand on saute sous une pièce d’or, on la récupère et elle disparaît de l’écran.
Pour le matérialiser, il faut écrire des lignes de codes qui vont décrire ces étapes une à une. On va, en parallèle, créer une librairie avec les différents sons et objets, ainsi que les dialogues, que l’on intégrera aussi dans le jeu grâce au code — encore lui. Une autre étape est essentielle : tester le jeu pour repérer les bugs et les corriger. C’est cette partie qui prend la plupart du temps d’un concepteur. Une ligne de code est une phrase informatique avec un langage très précis, dans lequel chaque caractère est essentiel. Et les fautes qui s’y cachent sont vicieuses. Pour ceux qui manquent de patience, c’est là qu’on pense sérieusement à jeter l’ordinateur par la fenêtre.

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Ces étapes du processus de création passionnent les concepteurs : « On est obligé de ré-imaginer le monde quand on crée un jeu vidéo, c’est fascinant », explique Fabien Vidal. Mais pour rendre la partie intéressante pour le joueur, il faut respecter un équilibre et un rythme qui peuvent être fragiles, rappelle Cécile Thévenin de My Serious Game, une entreprise tourangelle qui crée des jeux pédagogiques à but formatif pour les entreprises. Au fil des différents niveaux, le joueur doit améliorer ses compétences et la difficulté, elle, doit augmenter de manière à éviter l’ennui (si on n’avance pas) et la frustration (si le jeu n’est pas assez gratifiant).
En dehors de ces quelques règles, le champ créatif est aussi large qu’il existe de types de jeux : à Mame, fin avril, la Ludum Dare a réuni des équipes qui produisaient des jeux de société et des jeux vidéo de toutes sortes, la plupart pour le plaisir car le monde pro reste difficile à intégrer.
J’y ai croisé aussi quelques lonesome cowboys. Arthur, qui crée des installations artistiques, travaillait à un jeu assez poétique et délicat dans lequel on avance grâce à des commandes vocales. Quant à Germain, il élaborait un jeu du genre Où est Charlie qu’il aimerait publier dans les stores de smartphones. Une des équipes préparait un jeu de type Murder Party. Au code, Yohann et Cyril ; au graphisme, Antoine et Amandine ; au son, Étienne et Axel. Pour Antoine, qui a déjà travaillé sur un « gros projet » auparavant en tant qu’architecte, ce week-end est l’occasion de « revenir dans la thématique du jeu, tout en appréhendant mieux le processus de création dans son ensemble ». Quant aux bruitages, la partie d’Étienne, c’est « comme au cinéma, il s’agit de mettre l’image en relief avec le son ».

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Autour d’une autre table, Henri, Guillaume, Jérémy et Edwin créaient The Love Game, un jeu un peu fou à base de vaisseau spatial dégradé et de petits animaux agressifs qui se reproduisent un peu trop vite. Pour eux, le principal intérêt de la Ludum Dare est son côté dynamisant : « Participer à cette compétition, c’est stimuler des orientations, des goûts différents, des affinités… En plus on joue à un niveau international, en mode Viking, avec des combats de nerds. Y a de la bouffe partout, c’est dégueulasse, mais tout le monde bosse à fond, c’est super motivant », résume Guillaume.
Il est vrai que pour interroger tous ces concepteurs j’ai risqué gros : ils étaient tous équipés de Nerf (des pistolets à bâtonnets de mousse) et ça volait dans tous les sens. Mais à part ça, ils étaient sévères avec eux-mêmes : si le café coulait à flots, les trente pizzas de la veille avaient disparu et il régnait une chouette ambiance.

Si vous pensiez que cet article n’était pas pour vous, j’espère que vous n’avez pas été trop expéditif — vous êtes sûrement concerné(e), peut-être sans le savoir. Car les jeux vidéo ne se jouent pas que sur console. « Tous les supports électroniques ont été détournés pour accueillir des jeux », rappelle Fabien Vidal. On parle ici des ordinateurs, bien sûr, mais aussi des téléphones, par exemple. Et ça ne date pas d’hier. Rappelez-vous du Serpent et plus récemment, de Candy Crush, qui vous parle peut-être plus que Zelda ou Assassin’s Creed. Car ces deux types de jeux n’attirent pas la même audience.
Selon une enquête IFOP réalisée en 2015 pour le Centre National du Cinéma et de l’image animée, 73,3 % des Français sont joueurs. Et si les hommes et les jeunes sont majoritaires, il faut noter que désormais 56,1 % des femmes et 35,6 % des 50-65 ans jouent. Sans parler des entreprises et des écoles de formation qui utilisent aujourd’hui le jeu comme support de travail. Comme l’indique Cécile Thévenin : « Le monde du jeu vidéo ne connaît pas la crise. »

Par Chloé Château

> Dreamhack de Tours, du 6 au 8 mai, au centre Vinci. Infos sur dreamhack.fr

Jeu vidéo : une passion à fond les manettes

Ce week-end aura lieu à Tours la 2e édition de la Dreamhack, un tournoi e-sport où s’affrontent des milliers de joueurs venus de toute l’Europe. Créé en 1994 par des Suédois, ce circuit international (dont Tours est la seule date française) est une référence mondiale. Tmv en a profité pour rencontrer 4 joueurs tourangeaux.

FLORENT BEAUFILS (alias Morrison, 24 ans)

Image3Florent Beaufils, plus connu sous le pseudo Morrison, est passionné de jeux de cartes et de réflexion depuis qu’il est gamin. Pokémon, Yu-Gi-Oh!, Magic : il n’a échappé à aucune de ces aventures. Depuis deux ans, il s’intéresse sérieusement au jeu vidéo de cartes Hearthstone et c’est tout naturellement que le Tourangeau jouera dans cette catégorie pour la Dreamhack. Néanmoins, Morisson ne fait pas (encore) partie des pros. Après des débuts d’études un peu chaotiques, le jeune homme s’est finalement tourné vers le périscolaire. « Ce n’était pas facile de trouver du travail sans qualification. Mais j’aime encadrer et divertir les gens. »
Pour autant, il n’assure pas un plein temps. « C’est un choix, qui me permet de continuer à améliorer mon niveau de jeu. » Il s’entraîne environ 4 h par jour et à l’approche de tournoi, cela grimpe vite à 8 h voire 12 h. Réaliste, il explique qu’il ne gagne pas sa vie pour l’instant avec le jeu, car son niveau « est correct mais encore insuffisant ».
Pour monter en compétences et en visibilité, il a rejoint une grande structure, CWOL. Staff, défraiement : tout est mis en place pour se professionnaliser. Morrison prévoit aussi d’investir dans du matériel (caméra HD, ordinateur, fond vert, micro…) pour assurer des heures de streaming et développer son audience. « Si un jour j’ai l’opportunité de vivre du jeu vidéo, je la saisirais. C’est un rêve de gosse. »

LA TEAM CONNECTESPORT

Image1C’est bien connu, l’union fait la force. Comme de nombreux joueurs et passionnés de jeux vidéos, l’équipe de Connectesport a compris que pour avancer, se développer, se professionnaliser, il faut se regrouper. Une large partie de cette team est tourangelle, mais considérant les moyens technologiques actuels, des joueurs d’autres villes ont rejoint les rangs. Entraînement en ligne, conseils grâce au logiciel teamspeak, tout est facilité.
Pour la Dreamhack, John, 24 ans, et Dylan 21 ans joueront respectivement à Starcraft et Hearthstone. Pas besoin de constituer des équipes pour ces jeux qui se font en un contre un. Le premier nécessite beaucoup de dextérité et John en sait quelque chose : « J’ai dû freiner mon rythme, mon petit doigt gauche ne supporte plus la cadence », montre-t-il (petit doigt déformé à l’appui) et qui n’a rien d’une blague. Ces structures de e-sport ont un staff impressionnant : community manager, rédacteurs web, ingénieur son… l’équipe recherche même un monteur vidéo et un développeur web.
Pour l’instant, Connectesport fonctionne de manière bénévole, même si personne ne compte ses heures. Leur but ? Se faire une place sur le marché du e-sport et en vivre à terme, aussi bien en valorisant les joueurs qu’en proposant un site internet et des événements autour du gaming. Leur stratégie semble fonctionner : Orange les a démarché pour leur proposer un partenariat.

YSOLINE (alias Yziia, 18 ans)

Image4Le monde du jeu vidéo, Ysoline est tombée dedans quand elle était petite. Grâce à son grand frère. Normal, puisque « déjà tout petit, il jouait aussi avec mon père ! Moi j’étais obligée de finir comme eux », raconte-t-elle. Une passion pour elle, « parce que ça sort de la réalité et divertit. Certains ont la musique ou le cheval, moi j’ai le jeu vidéo comme échappatoire ». Désormais, elle fait partie des orKs. Un nom étrange qui regroupe en fait une « association multigaming ». Un regroupement de fans, ou plutôt « une communauté, une famille », comme le décrit Ysoline. De quoi oublier ses débuts sur console, lorsqu’elle s’en prenait « plein la poire. Des joueurs me disaient : mais pourquoi tu fais pas le ménage, plutôt ? Il n’y a pas trop de filles dans le gaming. Elles n’osent pas trop… »
Un de ses jeux fétiches ? Rainbow Six Siege, « très stratégique ». Quand elle joue, elle est diffusée sur la web TV twitch.tv/yziia. À la manière d’un YouTube, cette plate-forme diffuse ses parties, mais en direct. Elle peut alors parler à des gens du monde entier, casque vissé aux oreilles. Une passion qui lui prend une douzaine d’heures par semaine. « Mais attention, je sors hein ! », rigole Yziia. « On ne reste pas tout le temps enfermés, contrairement à ce qu’on croit… »
Maintenant, elle attend la Dreamhack avec impatience. Comme l’an dernier. De toute façon, elle a déjà son pass VIP depuis bien longtemps…

FABIEN PAGNARD (alias Cafeine, 35 ans) Image2

On est méchant à tmv. C’est qu’on l’a réveillé, Fabien, avec nos questions. Mais forcément, en parlant jeu et jeu vidéo, il a accepté d’y répondre avec plaisir, « avec sa voix de Barry White sorti du lit », comme il dit. Connu sous le pseudo de Cafeine, Fabien joue une à deux heures par jour, « mais gère aussi les pages Facebook, Twitter, a un rôle de community manager pour Hearthstone ». Un jeu qu’il adore, découvert il y a 2 ans (mais mister Cafeine a débuté avec les Magic en 1996 !) et qui compte 50 millions de connectés. « Vous n’imaginez même pas le nombre de gens qui jouent à Hearthstone, c’est dingue. Même des quadras, sur leur pause de midi au boulot. Il faut dire que les règles s’apprennent en 10 minutes… », rappelle Fabien, technicien Telecom dans la vraie vie et connu pour son rôle d’arbitre dans le monde du jeu.
Bref, Hearthstone, c’est son bébé. Et il s’y tient, comme beaucoup d’autres gamers. « C’est difficile d’aller voir ailleurs. Un joueur de volley ne va pas faire un marathon », métaphorise-til. « Moi, par exemple, je suis incapable de jouer à Counterstrike [un jeu de tir, NDLR]. » Lui aussi sera à la Dreamhack cette année. En précisant bien « que c’est une vraie compétition, un vrai tournoi. Le public ‘’lambda’’ ne doit pas s’imaginer venir pour voir des Pikachu. Là, il y a 2 000 mecs qui sont là pour gagner. Ce n’est pas un festival de jeux vidéos ! »

Portraits par Julia Mariton & Aurélien Germain

PRATIQUE
>DreamHack, du 14 au 16 mai, au Vinci.
facebook.com/DreamHackFrance ou dreamhack.fr

>Pass 1 jour : 15 € / pass 3 jours : 35 €.

> Pour aller plus loin :
Faites un tour sur facebook.com/groups/GamersOfTours (toute l’actu du jeu vidéo sur Tours)

Merci à All Geek Studio de Tours pour ses infos et ses contacts !

>> N’oubliez pas que tmv vous fait gagner des PASS POUR LA DREAMHACK JUSTE ICI !! <<

Dreamhack 2016 : gagnez votre pass !

Tmv et Orange vous font gagner des pass pour la Dreamhack de Tours !

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A l’occasion de la Dreamhack, qui posera ses valises (et ses manettes) à Tours, tmv et Orange – fournisseur de la fibre sur l’événement – vous font gagner des entrées pour cet événement unique.

Du 14 au 16 mai, cette méga-compétition réunissant des tonnes de joueurs de jeu vidéo, venus de partout, s’installera au Vinci de Tours.
> Nous mettons en jeu un pass 3 jours et 10 pass 1 journée.

Pour jouer, rien de plus simple : vous n’avez qu’à envoyer un petit mail à redac@tmvtours.fr avec nom, prénom et numéro de téléphone. Les gagnant(e)s seront tiré(e)s au sort jeudi 12 au soir et seront contactés par mail.
Ils n’auront qu’à récupérer leur bien à la boutique Orange (rue Nationale), dès le vendredi 13.

Bonne chance !

Next week : l’actu à suivre du 11 au 17 mai

Toute l’actu à ne pas manquer à Tours, aux alentours et partout en France, c’est maintenant !

MERCREDI

PANAMA PAPERS. C’est le 11 mai au matin que Frédéric Oudéa, directeur général de la Société générale, devrait être entendu par la commission des Finances du Sénat, suite aux révélations sur les liens entre la banque et le cabinet panaméen Mossack Fonseca.

CINÉMA. Ouverture du Festival de Cannes ce mercredi 11 mai ! Jusqu’au 22, la Croisette vivra au rythme du ciné, des stars, des paillettes, du champagne et de la coc… non, pardon. Reste que les intermittents menacent déjà de perturber le festival. La CGT spectacle, par la voix d’Eric Aubin (membre du bureau), a annoncé dans les colonnes du Figaro que « rien n’était exclu » et que « la menace autour » du festival de Cannes était « une réalité ».

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VENDREDI

FOOT. La fin du championnat approche ! Le Tours FC affrontera le 13 mai l’ASNL. Les joueurs de Nancy ont beau avoir validé leur montée en Ligue 1, ils auront tout de même les crocs. Attention à ne pas se faire manger tout crû.

SAMEDI

JEUX VIDÉO. À partir du 14 mai, Tours accueillera pour la seconde fois la DreamHack. Les meilleurs joueurs du monde squatteront le Vinci jusqu’au 16 mai pour THE compétition mondiale de jeux vidéo en réseau. Il y aura aussi des concours, des nouveautés de jeux, des nuits blanches à jouer, une ambiance unique, des milliers de gens. La DreamHack de Tours sera séparée en trois zones : la Lan Party, la DH Open et la Dream Expo. Bref, le plus grand festival numérique au monde qui vient dans notre bonne vieille ville, c’est la classe.
> Pass 1 jour : 15 € ; pass 3 jours : 35 € (ou 45 € en VIP). Infos sur dreamhack.fr
> à retrouver dans notre numéro du 11 mai : un dossier spécial sur les gamers tourangeaux !

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LUNDI

TÉLÉVISION. À partir du 16 mai, et jusqu’au 22, France 3 retransmettra les championnats européens de natation, en direct de Londres. Ce qui veut dire – ô malheur que c’est moche la vie – que Plus Belle la vie ne sera plus diffusé à son horaire normal. Bon, que les fans de la place du Mistral se rassurent : le programme sera simplement décalé en prime-time.

MARDI

POLITIQUE. En février dernier, Martine Aubry, maire de Lille, signait une tribune assassine sur François Hollande. Mais no soucy, comme disent les jeunes : un nouveau meeting Hé oh la gauche sera organisé à Lille le 17 mai afin de soutenir le président. Un rassemblement initié par Patrick Kanner et Stéphane Le Foll.