Bienvenue en Terres du Son

Du 7 au 9 juillet, Terres du Son revient à Monts. Petit guide pratique pour tout savoir (ou presque) du festival !

(Photo Maxime Hillairaud)
(Photo Maxime Hillairaud)

TROIS QUESTIONS (OU PEUT-ÊTRE QUATRE) À CAROLINE, RESPONSABLE DE LA COMMISSION DÉVELOPPEMENT DURABLE.

On a entendu parler d’un projet à vélo pour aller à Terres du Son…
Oui, le dispositif Pédalons jusqu’à Terres du Son a pour but de sensibiliser les gens. Le parcours vélo démarre de la gare de Tours, pour 20 km, jusqu’au domaine de Candé. Les personnes sont accompagnées du point A au point B avec des étapes, notamment à la Gloriette où des concerts et des ateliers sont organisés.

La gabare, la monnaie locale tourangelle, sera de la partie à Terres du Son ?
On soutient cette monnaie locale. Cette année, on a instauré le paiement en gabare dans l’Ecovillage (NDLR : ouvert à tous). On a des accords avec les producteurs et artisans qui seront sur place. Pratiquement tous adhèrent au projet.

Et comment ça se passe sur le camping pour les déchets ? affiche
C’est aujourd’hui la base : on demande aux festivaliers de mettre leurs déchets dans des poubelles et de trier. À leur arrivée, on leur donne un sac jaune et un sac noir. Une plate forme de re-tri sera également sur place, gérée par Tri 37, une entreprise partenaire. Elle se charge de récupérer les déchets déposés par les festivaliers au point de tri dans le camping. Le but est d’étendre ce système à d’autres événements dans la région.

Terres du Son porte un réel intérêt au développement durable. Pourquoi ?
Les fondateurs avaient déjà cette volonté dès la création du festival. On souhaite montrer les valeurs que l’on porte. Des valeurs que nous essayons de partager dans l’équipe de bénévoles. L’objectif pour nous, est de diminuer l’impact sur l’environnement, valoriser la culture, sensibiliser les festivaliers et innover. Et on a encore plein de choses à faire !

TROIS QUESTIONS SUR LES BÉNÉVOLES, À PAULINE,
RESPONSABLE COMMUNICATION.

Comment se déroule le recrutement des bénévoles ?
Une grande partie des bénévoles revient d’une année sur l’autre. Il sont répartis sur une trentaine de commissions. Pour candidater, ça se passe sur le site internet. Le bénévole peut exposer ses envies en effectuant un classement des commissions auxquelles il aimerait participer. Les responsables prennent ensuite contact avec lui. Si tout le monde est toujours d’accord et que le bénévole est disponible, il rentre dans la commission.

Combien de bénévoles compte Terres du Son ?
Cette année, on compte 1 000 bénévoles sur l’ensemble du domaine. La plus petite commission a besoin d’environ 10 bénévoles, la plus grosse, aux bars, a besoin de 70 personnes. Chaque responsable de commission recrute en fonction des besoins.

C’est quoi être bénévole à Terres du Son ?
Quand un bénévole arrive, il est pris en charge, on l’oriente et on lui offre un package : t-shirt, goodies… Pendant le festival, il a accès à un coin détente mais aussi à la restauration. Un camping et un parking sont dédiés à l’ensemble des bénévoles. Il peut aussi profiter de ses soirées : des roulements entre bénévoles sont prévus pour que chacun puisse se restaurer et se reposer.

DES ARTISTES RÉGIONAUX

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FKJ

La programmation de Terres du son est composée à 70 % de groupes régionaux. Sur les scènes de l’Ecovillage, la totalité des artistes vient du coin. Idem sur la scène Propulson’, installée dans l’enceinte du site. Sous le Chapit’Ô, on retrouve le rock-folk du Tourangeau-Nantais Eddy Kaiser. Son concert se déroule le samedi 8 juillet à 15 h 30. On retrouve aussi les Tourangeaux du groupe Maze. Électro et techno au programme le dernier jour du festival, à 1 h 15. Petite fierté pour Terres du son : le jeune musicien électro FKJ est présent le vendredi soir. Il a acquis une notoriété et mixe aujourd’hui sur les scènes du monde entier. Et évidemment, c’est un Tourangeau.

UNE BELLE PROG’

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Petit Biscuit

« Terres du Son a l’envie de faire découvrir une multitude de musiques et d’artistes ». La programmation de cette édition est très riche et éclectique avec des artistes reconnus en France et à l’international. On peut citer quelques grands noms, dont Imany et Petit Biscuit qu’on entend beaucoup à la radio. Mais n’oublions pas Morcheeba, MØME, Gojira, Birdy Nam Nam ou encore Tété.

FLASH BACK

Mais au fait ça vient d’où Terres du son ? Le festival est né en 2005. C’est un groupe d’amis qui s’est lancé dans cette aventure musicale. Au départ, le festival se déroulait au parc des expositions de Tours, pour ensuite se déplacer à La Ville-aux-Dames. Depuis 2008, c’est à Monts, au domaine de Candé, qu’il a lieu. Terres du Son a réussi à faire venir de nombreuses têtes d’affiche, mais n’oublie surtout pas de soutenir les groupes locaux. Le festival a su conquérir, d’années en années, le public, passant de 25 000 festivaliers en 2010 au double en 2015.

1,8 MILLION

C’est le budget de cette 13e édition de Terres du son. Le festival s’autofinance à 80 %.

(Photo Maxime Hillairaud)
(Photo Maxime Hillairaud)

INFOS PRATIQUES

Avant de partir, le festivalier doit détenir toutes les informations nécessaires pour passer un week-end au top. Tmv a décidé de vous faire un petit récap’ des informations pratiques avant de partir à l’aventure !
COMMENT JE VAIS Y ALLER ?
Avant de profiter des concerts, beh, faut pouvoir se rendre au domaine de Candé. Plusieurs dispositifs sont mis en place pour débarquer sereinement. Fil Vert propose une ligne gratuite direction le festival. Si vous préférez le train, pas de souci. Pour seulement 4 petits euros (aller et retour) vous pouvez partir de toutes les gares de la région vers Tours ou Monts (à condition d’avoir votre pass Terres du Son, bien sûr). Question horaires, courez sur le site TER Région Centre. Évidemment, vous pouvez aussi vous y rendre en voiture. Le parking sur place est gratuit. La com’ Terres du Son s’est permise une petite vanne qu’on aime bien : « Attention nouveauté ! Cette année venez vivre l’expérience magique et féerique de Terres du son avec vos dragons ! » Donc oui, si vous avez un dragon domestique vous pouvez venir avec. Relax. « Une équipe de pompiers expérimentée sera là pour encadrer les départs de feu involontaires ».

OÙ EST-CE QUE JE VAIS FAIRE UN GROS DODO ?
(OU PAS) Qui dit festoche, dit camping. Il est gratuit pour tous ceux qui possèdent un pass pour le festival (de 1 à 3 jours). Il est interdit aux mineurs non accompagnés. Une taxe collaborative est mise en place pour cette édition. Il suffit de donner trois bouchons plastiques à l’association Les P’tits Bouchons. Dernier mot : le camping ouvre à 10 h le vendredi et ferme le lundi à 12 h (n’oubliez pas vos tentes dans le champ, on se retrouve toujours bête). Si vous vous voulez éviter la super grosse ambiance du camping du festoche, vous pouvez aussi loger dans des hôtels ou les campings aux alentours.

ET COMMENT JE CONSOMME SUR PLACE ?
Tous les festivals passent à de nouveaux dispositifs de paiement sur leurs sites : ce sont des cartes spéciales festivals. À Terres du Son, on appelle ça la carte K7. Ne perdez plus vos quelques pièces dans la boue, dans les toilettes ou au camping : la carte est un moyen beaucoup plus pratique et rapide. Avec, vous pouvez consommer au bar, à la restauration ou encore au merchandising. Pour l’alimenter c’est plutôt simple. Soit vous décidez de le faire avant d’arriver au domaine de Candé sur le site internet du festival. La carte ne vous sera, par contre, donnée que le Jour J. Vous pouvez aussi recharger la carte K7 sur place aux guichets mis à disposition sur le site.
Essentiel : télécharger l’application Terres du son. Elle vous permettra d’avoir toutes sortes d’informations mais aussi, du coup, de pouvoir recharger (mais aussi voir si vous n’avez pas trop dépensé), directement votre carte depuis votre smartphone. Si vous voyez trop gros pendant le festival, don’t worry, vous pouvez récupérer l’argent non dépensé sur le site de Terres du Son après le festival. Ou alors, vous êtes quelqu’un de trop top et vous laissez l’argent à l’asso. À vous de choisir.

SI J’AI TOUJOURS PAS MES BILLETS ET QUE JE SUIS EN PANIQUE
Il reste des pass pour les trois jours. Mais dépêchez- vous quand même ! Le pass 3 jours est à 68 € en tarif réduit, 72 € plein tarif. Le pass 1 jour (vendredi ou samedi ou dimanche) coûte 29 € en tarif réduit, 33 € plein tarif. Go go go !

> Pour toutes démarches ou informations complémentaires : Terresduson.com

Par Philippine David

Guide pratique : Tout savoir sur la bière (ou pas)

Dans le cadre de notre dossier spécial bière, petit guide pratique des binouzes. Bonne dégustation !

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SAVOIR N°1 : Laver son verre

Déjà, sachez que le verre à bière se rince à l’eau froide. Ainsi, les bulles ne collent pas aux parois. Et les impuretés (votre rouge à lèvres, vos miettes de cacahuètes ou votre bave) s’en iront. L’idéal est aussi de laisser s’égoutter le verre. Les puristes vous le diront : on n’essuie jamais un verre à bière.

SAVOIR N°2 : T’as d’belles formes, tu sais ?

Tout comme pour le vin, on évite de boire sa bière dans un verre à moutarde. Chaque bière a, en général, une forme de verre qui lui convient le mieux (les arômes s’épanouissent mieux). Par exemple, une bière d’abbaye ou trappiste mérite un verre large et évasé. Les flûtes conviennent mieux aux lambics et on préférera un bock pour les lager ou les pils, et un verre cylindrique pour les stouts.

SAVOIR N°3 : Comment conserver sa bière ?

Dans l’idéal, la température de conservation doit être stable, entre 10 et 15°C. On préférera aussi un endroit frais et obscur ; la lumière est le pire ennemi de la bière (comme pour la chambre de votre ado prépubère). C’est d’ailleurs pour cela que les bouteilles brunes sont souvent utilisées par les brasseurs.

SAVOIR N°4 : Et comment on sert à la bouteille ?

Normalement, le verre doit être rincé mais non essuyé (cf. point 1), suivez un peu !). Inclinez-le à 45° puis versez doucement le contenu de la bouteille dans le verre, sans vous arrêter, jusqu’aux deux tiers. Redressez le verre, en élevant la bouteille (il vous faut un beau chapeau de mousse). Ne remplissez pas complètement le verre : car comme le vin, on devrait le faire tourner pour libérer les arômes.
Sauf quand il est 1 h du matin, place Plum’, et que vous avez enquillé votre dixième pinte. On ne vise personne, hum hum…

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SAVOIR N°5 : Les températures de service

Déjà, jamais ô grand jamais, vous ne devez mettre votre bouteille au congélateur. Évitez aussi de la conserver trop longtemps au réfrigérateur (ou alors sortez-la un quart d’heure avant la dégustation). Si vous voulez rafraîchir votre binouze, le mieux est de placer votre bouteille dans un seau à champagne rempli d’eau froide. Côté températures, voilà ce que conseille le Guide Hachette des bières d’Elisabeth Pierre (c’est une bible de 400 pages, le livre de chevet de tonton-Roger-haleine- de-Despé’) :
> Type Pils et Lager : 5 à 6°
> Type Ale blonde, ambrée, légère : 7 à 9°
> Type Ale forte, blonde, fortes : 8 à 10°
> Type Ale forte, foncée : 10 à 12°
> Bières noires liquoreuses, trappistes : 12 à 15°

SAVOIR N°6 : La bière, c’est de l’eau

Le principal composant de la bière est… l’eau ! Et à plus de 90 %, messieurs dames. Fini de culpabiliser, ouf.

SAVOIR N°7 : L’habit fait la bière

Noms bourrés de jeux de mots, appellations en forme de clin d’oeil, dessins rétro ou ultra épurés, les jeunes marques de bières mettent le paquet sur le marketing. « Les étiquettes et les sous-bocks contribuent énormément à faire connaître une bière. Chaque bière a son style, les visuels demandent un vrai travail et tous les brasseurs travaillent avec des designers, explique Christelle Alfaïa de la brasserie L’Aurore. Depuis plusieurs années, on travaille avec un graphiste tourangeau installé à Berlin. A chaque lancement, je fais des recherches pour dégager un esprit visuel cohérent avec le goût de la bière. Par exemple, pour la Golden Ladies, je lui ai demandé une étiquette chic, un peu rétro mais moderne et très parisienne, très féminine, qui puisse être placée dans les grands restaurants. Dans le cas des bières vendues en grande distribution, on misera sur des étiquettes colorées, très identifiables, pour être repérés facilement dans les rayons. »
Les brasseurs tourangeaux et nomades de La P’tite Maiz ont choisi, eux, de faire appel à des artistes différents. Résultat ? Chaque bière possède une identité visuelle très forte.

SAVOIR N°8 : Retour vers le futur

La Brasserie L’Aurore a retrouvé et ressuscité les recettes de bières tourangelles brassées à Saint-Éloi jusque dans les années 1970. Elle les présentera à la Foire de Tours.

SAVOIR N°9 : Et les plus gros consommateurs de bière sont…

D’après le dernier classement effectué par Bonial, le pays le plus consommateur de bière au monde est… la République Tchèque ! Eh oui (bon, il faut dire que là-bas, la bière est moins chère que l’eau minérale…). Avec 148,6 litres bus par personne chaque année, le pays explose l’Autriche, sur la 2e marche du podium (107,8 litres), et l’Allemagne (106,1 litres), 3e. La France est 41e (30 petits litres).
La Belgique, qu’on aurait tendance à penser dans le trio de tête, n’est qu’à la 18e place (74 litres).

SAVOIR N°10 : Inondation de bière !

Toten Hall house sur Tottenham Court Road (1813). (Photo Wikipédia)
Toten Hall house sur Tottenham Court Road (1813). (Photo Wikipédia)

C’était en 1814, à Londres. L’accident survient suite à la rupture d’une énorme cuve de bière, dans une fabrique de Tottenham Court Road. L’effet domino fait que les autres cuves sont détruites et provoquent une sorte de mini tsunami : une vague de bière de 1,5 million de litres se déverse, fait s’écrouler deux maisons et des murs, et tue 7 personnes

« L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération »
Ce serait bête de finir ainsi :

[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=H5bNC9nx0l0[/youtube]

Rentrée 2015 : laissez-vous guider !

Et voilà, c’est reparti pour un tour. Pour ce début de mois de septembre, on a voulu vous aider. Histoire d’aborder la rentrée de façon pratique et d’avoir quelques bons plans sous le coude…

Faire son agenda concerts

Oxmo Puccino revient à Tours, en acoustique.

Vous allez être servis, oh que oui. Outre le Mfest qui débarque ce weekend à Rouziers (lire page 20), Tours ne sera pas avare en concerts. Côté Temps Machine, la saison s’ouvrira avec The Apartments et 49 Swimming pools (25 septembre), avant d’enchaîner avec Laetitia Sheriff (26 septembre), BigFlo & Oli (3 octobre) ou encore Sophie Hunger (5 octobre), St Lô (8 octobre) et la super chouette Philémone (22 octobre).
Le Vinci, lui, enquillera les concerts en octobre : Hubert Félix Thiéfaine le 11, Francis Cabrel les 12 et 13, Brigitte le 14, Juliette Gréco le 15 et l’immense guitariste Joe Bonamossa le 17.
Sans oublier Lilith Duo au Petit Faucheux (22 septembre), le grand Oxmo Puccino à l’Opéra de Tours en trio et en concert acoustique (20 octobre) et un paquet d’autres dont on vous parlera dans tmv…

Vive la course

Boh allez, pas de chichis : dimanche 20 septembre, c’est parti pour les 10 et 20 km de Tours, mais aussi le marathon. Idéal pour prendre la rentrée du bon pied (oh oh, que c’est rigolo ce jeu de mots), parce que : 1) ça fait faire du sport ; 2) ça éliminera les 9 000 calories que vous avez prises par jour pendant les vacances ; 3) c’est bon pour la santé ; 4) tmv vous fait gagner des dossards (lire notre numéro 180, pages 14-15).

De l impro comme un pro...
De l impro comme un pro…

S’essayer à l’impro

La compagnie La Clef continue son bout de chemin. Régulièrement, ces fanas de l’improvisation organisent de super-shows, des catch-impro. Comprenez, une tripotée de foldingues qui montent sur un ring et improvisent des scènes avec les indications données en direct par un public chaud bouillant. Cette année, c’est reparti pour un tour (un de ces catch-impro a d’ailleurs lieu le 9 octobre, à Chambray). Il est possible de découvrir ce monde bizarroïde de l’improvisation, puisque la compagnie vous offre un cours d’essai. À l’heure où nous imprimons, celui du 24 septembre est complet, mais il reste des places pour une séance gratuite le mardi 29 septembre, de 19 h 30 à 21 h 30. La séance est encadrée par un professionnel et vous pourrez vous inscrire aux ateliers annuels à l’issue de ce cours. Pour les intéressé(e)s, les cours sont prévus les lundis, mercredis, jeudis, suivant votre niveau et le tarif à l’année est de 270 € + 10 € d’adhésion à l’asso.
>>Faites donc un tour sur compagnielaclef.fr pour plus d’infos. Compagnie La Clef, 02 47 41 14 71 ou contact@laclef.fr

Arrêter de chouiner sur son célibat (et foncer)

On vous la fait courte : Aperocelib. Gneh, kesskidit ? Oui, Aperocelib, un concept destiné aux célibataires, créé et basé à Tours, qui permet de se retrouver par petits groupes de 6 à 10 personnes autour d’un apéro. Pour cela, il suffit de s’inscrire sur le site aperocelib.com et choisir de participer à la rencontre la plus proche de chez soi grâce à un agenda en ligne. Quelques jours avant le jour-J (et votre dose de stress, bande de coquin(e)s), vous recevrez le lieu de rendez-vous et les prénoms des participant(e)s. Les premiers aperocelib devraient avoir lieu fin septembre. Il suffit de fouiner sur le site ou liker la page sur Facebook.

Un bon supporter, tu seras…

« Allô ? Je suis au match, là, tu me vois ? »

Et une bonne supportrice aussi, bien entendu. Parce qu’une rentrée sans sport, c’est comme une raclette sans fromage, allez par exemple au stade pour crier tout votre amour (ou crier tout court) au TFC. Rien qu’en septembre, il y a de quoi faire. Les Tourangeaux affronteront Bourg-en-Bresse à domicile, le 11 et l’USCL le 22. Notre petit doigt nous dit qu’il faudra aussi encourager les excellents du TVB et les Remparts, parce qu’il va y avoir du sacré spectacle !

S’inscrire pour voter

Bon, on sait. Dit comme ça, c’est pas très sexy. Mais pour pouvoir voter aux régionales des 6 et 13 décembre prochains, vous devez être inscrits sur les listes électorales. Et les demandes sont possibles jusqu’au 30 septembre.

Une rentrée sportive

Les inscriptions aux activités sportives municipales ont ouvert fin août. C’est le moment de faire son choix entre natation, fitness, musculation, zumba ou encore parcours santé : c’est la nouveauté de la rentrée. Une formule pour les seniors et personnes suivies en cancérologie. Toutes les infos sur tours.fr

Protéger son vélo

Chaque année, près de 800 vols de vélo sont signalés au commissariat de Tours. Avec une grosse partie entre avril et octobre. Il vous reste donc encore deux mois pour investir dans un super-cadenas- de-la-mort-qui-tue. Histoire d’éviter d’arriver en retard au travail/lycée/collège/fac, tout en sueur parce que « désolé m’sieur, on m’a volé mon vélo ».

Tout, tout, tout, vous saurez tout sur mon appli…

Rester « Tours-connecté »

Que vous soyez d’ici ou que vous ne vous soyez arrivés à Tours que depuis quelques jours (rassurez-vous, on vous aime aussi), il est toujours pratique d’avoir quelques applis sur son smartphone.
> Tours Monuments Tracker : cette appli gratuite (IOS et Android) permet de découvrir les monuments de la ville. Une fois téléchargée, elle vous avertit automatiquement dès que vous passez à proximité d’un site qui vaut le coup d’oeil. À la clé, infos sur l’Histoire, les architectes, l’époque ou encore des anecdotes et l’itinéraire pour s’y rendre.
> Pirates de Loire : gratuite aussi (IOS et Android), elle permet de découvrir le patrimoine historique et naturel de la Touraine, grâce à une… chasse au trésor. Au programme, des énigmes proposées sur plus de 80 sites du département. À chaque bonne réponse, une clé ; au bout d’un certain nombre de clés, un cadeau. Yaaaaargh ! (c’est le cri d’un pirate, hein)
> Tours in my pocket : les habitués de Twitter le connaissent sous le nom intime de Timp. Téléchargeable gratuitement sur tout support, elle recense tous les flux d’information concernant la ville, de tmv à 37 Degrés, en passant par La Nouvelle République et TV Tours. Et permet aussi d’écouter les radios du coin, comme Radio Béton ou encore France Bleu Touraine.
> Géovélo Touraine : l’appli pour cyclistes. Quarante-quatre boucles et circuits à découvrir en deuxroues, ainsi que le calcul et le guidage d’itinéraire sur Tours et en Touraine. En selle, Marcel !
> Tmv Tours : oui, instant auto-flatterie. Dispo sous IOS et Android, elle est gratuite et permet d’accéder à un agenda culturel, nos bons plans resto ou encore l’actu de la ville et des critiques ciné. N’hésitez pas, non plus, à liker notre page Facebook et suivre notre compte Twitter @tmvmag. Et restez connectés sur notre site tmvtours.fr (waouw, on a changé d’adresse mais ça ne change rien pour vous). Si avec ça, vous n’êtes pas prêts à aborder la rentrée…

Râler contre la politique (oui, mais avec des arguments)

« Quoi, Serge Babary a dit ça ? Oui, mais Jean-Patrick Gille a répondu ça ! Pfeuh, n’importe quoi ! » En cas de joute verbale sur la politique à Tours avec vos ami(e) s, il vous reste une arme ultime : la vidéo du conseil municipal. Celui-ci est retransmis en direct sur le site tours.fr et peut être visionné de nouveau en différé, avec compte-rendu à l’appui. Après, à vous de voir si vous avez envie de vous farcir cinq heures de conseil municipal sur votre ordinateur. Chacun ses occupations après tout…

Parents co-accompagnateurs

Ceci n est pas un plan pour perdre ses enfants…

Sympa, l’idée. Hopways est un réseau de parents co-accompagnateurs des enfants aux activités. En gros, vous mutualisez les trajets. Exemple ? Vous devez emmener votre chère petite tête blonde, Philastère (bah quoi, on l’appelle comme on veut notre gamin !), au judo à 17 h le samedi. Vous vous rendez compte que les parents de la petite Cunégonde (eux aussi font ce qu’ils veulent, roh) font de même. S’ils sont d’accord pour accompagner les deux, vous vous contactez, vous rencontrez et ensuite co-accompagnez. La ligne de conduite de hopways.com tient en quatre points : gain de temps, écologie, économie, convivialité. La première mise en relation est gratuite. Il faut ensuite compter 10 € pour cinq mises en relations et 60 € pour l’année.
Des trajets sont déjà disponibles à Tours et ses environs.

Par ici le bon numéro

Vous cherchez une infrastructure de la ville de Tours ? Le numéro de Touraine Logement ? L’adresse du square Sourdillon ? Au lieu d’écumer le Net à chaque fois, le site de la Ville répertorie tout sur une cartographie hyper précise. C’est par ici ! 

Se remuer sur Imag’in

Pour se faire une bonne rentrée musicale, Pépiang Toufdy et l’association Prod’Cité reviennent avec leur festival Imag’in. Deux jours de concert, de danse, de battles de hip-hop ou encore de projections. Avec, notam-ment, des pointures comme Chill Bump, Tobassi et Kad Krizz. Autant dire que ça va bouger au Sanitas et que tmv en reparlera dans son prochain numéro à paraître le 9 septembre. Festival Imag’in, place Saint-Paul, les 11 et 12 septembre. Gratuit.

Préparer sa saison au CCNT

Perso’, on trouve cela super chouette. Le public est invité au Centre chorégraphique national de Tours les 17, 18 et 19 septembre à 19 h. C’est là que le CCNT dévoilera le programme de cette nouvelle saison. L’occasion, aussi, de découvrir Density 21.5, solo de Carolyn Carlson, qu’elle vient de transmettre à Isida Micani, l’une de ses interprètes. En plus de ça, toute l’équipe du CCNT sera là pour boire un coup avec vous et discuter à propos de la nouvelle programmation. Plus d’infos sur ccntours.com

Tenter le bus

… Pour aller à Paris. Ceux qui trouvent le train trop cher ou ont peur du covoiturage (si, si, ça existe !), il est désormais possible de faire Tours- Paris en autocar. Suite à la loi Macron, la ligne Isilines, par exemple, permet de relier la capitale pour des tarifs relativement bas : comptez 10 à 15 €. Le bus vous emmène directement à Paris, Porte de Bagnolet – précision importante puisque le lieu se situe à l’extrême-Est de la ville – en un peu plus de 3 h. Sans les bouchons. D’autres destinations au départ de Tours sont possibles : Niort, Lyon, Angers, Toulouse ou encore Rennes. Informations sur isilines.fr

On peut aussi préciser que le spécialiste du voyage, GoEuro, vient de publier une carte interactive de tout le réseau de bus des différentes compagnies en France. Idéal pour faire son choix (bah oui, il faut bien comparer ! ). Pour y jeter un coup d’oeil, c’est par ICI 

Riche en assos !

La date est proche, alors autant vous en parler maintenant. Ce 5 septembre, c’est le Forum des associations à La Riche. Parce que déjà, il n’y a pas que le centre de Tours dans la vie, et qu’en plus, c’est l’occasion de faire son choix parmi un paquet d’asso’ qui seront présentes. Bref, c’est le moment de s’inscrire, d’autant que cette année, le Forum se fera dans un gymnase. Autant dire qu’on attend du monde… En plus, si vous remplissez votre gros bidon à la buvette, les bénéfices sont reversés au Fonds de participation des habitants.
>>Samedi 5 septembre, de 10 h à 18 h, au gymnase Jean-Marie- Bialy, à La Riche.

Romain Stampers sera là le 13 septembre. Un homme qui ne regarde personne de haut.

Rencontrer les acteurs du sport tourangeau

Ne mentez pas : avouez, vous avez passé vos vacances vautrés dans un hamac à boire des mojitos et manger des chips. Hop, remettez-vous à niveau : dimanche 13 septembre, ce sont les Sport’ ouvertes (hé hé, ils essaient de nous battre niveau jeu de mots honteux). Une question : quel sport choisir cette année ? La Ville met en place un touuuut graaaand stand, avec possibilité de rencontrer les 143 associations sportives tourangelles, poser des questions aux dirigeants ou athlètes et surtout essayer les disciplines ! Idéal pour savoir que, avec vos 10 kg tout mouillé, vous allez peut-être vous prendre une sacrée dérouillée au karaté ou que vous serez peut-être le futur Mauresmo. Ou pas.
Sans compter qu’un tas d’animations égayeront votre petit dimanche tristounet : 100 m2 de tatamis avec démonstrations, show nautique avec Romain Stampers, double champion du monde, de la moto volante (la drogue, c’est mal), des baptêmes de jet ski, ou encore promenades en poney. Entre midi, vous pourrez même vous mesurer aux joueurs du TVB (envoyez-nous des vidéos, on ne rigolera pas, promis). Et pour tonton Marcel qui viendra en touriste avec sa banane et les chaussettes/sandales, il y aura même une buvette et des grillades. Ouf, sauvé !
>>Dimanche 13 septembre, de 11 h à 19 h, au pôle nautique du Cher. Entrée libre. Parking des foires gratuit, avec navette gratuite toutes les 20 minutes pour aller jusqu’au site.