Une expo-vente d’art contemporain contre les violences sexuelles

Une expo-vente autour de 25 artistes est organisée ce week-end, à l’initiative de SVS 37. Un moyen d’alerter l’opinion publique et de combattre les violences sexuelles.

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C’est un lieu de prestige que va investir l’association SVS 37 (Stop aux violences sexuelles) pour sa deuxième édition de Rep’Art. Cette expo-vente d’art contemporain aura en effet lieu à l’Hôtel Goüin. De quoi voir encore plus grand, suite au succès de leur précédente édition, en 2017.

Cette année, 25 artistes seront présents, de Zazü à Cidalia Alves, en passant par Catherine Barthélémy, Paul Jacquette ou encore Olivia Rolde. Les dons récoltés pendant Rep’Art et cette vente de tableaux permettront à SVS 37 de continuer sa mission et développer des projets. Trois jours seront donc consacrés à l’art, certes, mais surtout à la lutte contre les violences sexuelles.

C’est aussi pour cela qu’un cycle de conférences et de débats est programmé dans la journée du samedi 24 novembre avec avocate, journaliste, députée ou encore gynécologue et psychiatre en tant qu’intervenants. Elles et ils aborderont les thèmes des violences sexuelles sur mineurs, les réseaux pédocriminels, le silence des victimes et « les pathologies gynécologiques chroniques conséquences des violences sexuelles ».
Car comme le rappelait Catherine Raynaud, la présidente de SVS 37 dans notre numéro 274 : « Le corps finit toujours par parler. Ce qui fait mal aux adultes et aux enfants fait du mal dans le temps. »

> Du 23 au 25 novembre, à l’Hôtel Goüin de Tours. De 10 h à 20 h le vendredi et samedi ; et de 10 h à 15 h le dimanche.
> Nouveauté cette année : remise du premier Prix Jeunes talents de Touraine, le dimanche à 15 h.
> Infos sur facebook.com/SVS37

Violences sexuelles : « Le corps finit toujours par parler »

Cette semaine, l’association SVS 37 organise une expo-vente d’art contemporain pour dire stop aux violences sexuelles et qui aidera les victimes, tout en sensibilisant l’opinion publique. Catherine Raynaud, sa présidente, nous en dit plus.

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Pouvez-vous présenter l’association SVS 37 ?
SVS 37, c’est la plate-forme départementale en Indre-et- Loire de l’association nationale Stop aux Violences Sexuelles. SVS 37 a été créée il y a trois ans, car il fallait une entité en Touraine. Nous avons donc constitué une vie associative, avec une réunion par mois, ainsi que des conférences : nous avons par exemple accueilli Sophie Chauveau, auteure de La Boutique des pervers. En septembre, un centre de formation SVS a ouvert à Tours-Nord. Son axe de travail est la formation des professionnels, que ce soit du monde médical ou scolaire. Parce qu’un médecin n’aura eu à ses débuts que deux heures de cours sur les violences sexuelles. Malgré leurs qualités, ils ne sauront pas forcément gérer quelqu’un qui a un problème et n’oseront pas poser la question de la violence sexuelle. C’est pour cela que SVS a d’ailleurs été lancé par une gynécologue. L’asso veut montrer que ce qui fait mal aux adultes et aux enfants, fait du mal dans le temps (*). Le corps finit toujours par parler.

Vous parliez aussi du monde scolaire. Comment se traduit votre rôle dans ce domaine ?
C’est de l’information. Nous avons mis en place des protocoles pour les tout-petits et les plus grands. L’association réalise des séances inspirées de méthodes utilisées au Canada, un pays très en avance sur cette thématique.

Comment est née cette idée d’expo-vente Rep’Art ?
Rep’Art signifie « réparation par l’art ». L’idée a été lancée il y a deux ans. C’était difficile à mettre en place au début, puis tout s’est enchaîné. L’expo-vente regroupera 27 artistes contemporains qui proposeront trois ou quatre œuvres chacun. Eux-mêmes fixent leurs prix et 60 % du fruit de la vente reviendront à notre association ! Mais il y aura aussi six conférences. Deux sénatrices, Muguette Dini et Michelle Meunier, seront présentes : elles ont travaillé sur le projet de loi sur la protection de l’enfance.

Pouvez-vous nous en dire plus ?
Elles parleront de l’importance de l’allongement de la durée de prescription. Ce projet de loi concerne les jeunes qui ont été agressées avant leurs 18 ans. Aujourd’hui, elles ont vingt ans pour porter plainte. Or, quand une agression survient, il se passe très souvent une amnésie post-traumatique, dû au choc important. La victime vit « normalement » et, un jour à 30, 40 ou même 80 ans, l’amnésie peut se lever ! Nous nous battons pour l’imprescriptibilité totale.

Votre expo-vente intervient pile pendant la Journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes… 23172894_164205384175216_678108134434941778_n
Oui tout à fait. Mais je dois préciser que SVS s’occupe surtout la ligne médicale. D’autres associations tourangelles sont dans le social et le font très bien. SVS pense aux conséquences très graves au niveau de la santé. Nous avons notamment mis en place un atelier thérapeutique d’escrime qui aide dix anciennes victimes. C’est une chose que nous souhaiterions pérenniser. En ce sens, les bénéfices récoltés durant Rep’Art pourront nous aider.

Sur sa plaquette informative, SVS 37 dit : « La violence engendre la violence ». Le premier pas pour briser ce tabou, c’est quoi ? Laisser la parole s’ouvrir ?
Un enfant abusé dans son enfance ne le sait pas : c’est une problème de référence. Si son père – une figure paternelle – le viole, il ne sait pas que c’est mal, sauf s’il est informé. Tout le monde doit savoir que certaines choses ne sont pas admissibles. Le premier pas, c’est la formation, la formation et la formation : il faut former les soignants sur les signes importants, comme remarquer un enfant qui se lave les mains 20 fois par jour, ou qui reste des heures sous la douche à se nettoyer par exemple.

C’est ainsi qu’on pourra aussi sensibiliser au mieux l’opinion publique ?
Oui. Une femme sur quatre, un enfant sur cinq et un homme sur six ont été ou sont victimes de violences sexuelles. On doit s’adresser à eux, savoir leur parler.

Vous êtes la présidente de SVS 37 : comment percevez-vous l’ampleur du problème au niveau local ?
Dans le département, les violences sont en hausse. Les chiffres ont augmenté. C’est peut-être lié au fait que la parole s’ouvre aussi.

Cette augmentation des chiffres vous démoralise ?
Non, car je me dis que les gens parlent. Je vois aussi le travail de l’association, il y a aujourd’hui 40 plate-formes SVS en France. Je pense aussi aux sages-femmes. Elles sont au cœur du problème et voient tout ça. Quand une femme est enceinte, c’est à ce moment qu’on peut travailler et l’aider.

(*) L’association SVS indique que la violence sexuelle engendre des dégâts psychiques, psychiatriques et somatiques : le corps « parle » via d’authentiques maladies dermatologiques, pneumologiques, cardiologiques, cancers et maladies auto-immunes…

Propos recueillis par Aurélien Germain

REP’ART : EXPO-VENTE

> L’exposition-vente Rep’Art, organisée par SVS 37, aura lieu les 25 et 26 novembre, de 10 h à 20 h, à la Maison des adolescents au 66 bd Béranger, à Tours. Vernissage le vendredi 24 novembre, à partir de 18 h, même lieu. > Catherine Barthélémy, marraine de l’événement, sera entourée de peintres, sculpteurs, céramistes, photographes : Michel Audiard, Zazü, Lyd Violleau, Philippe Lucchese, Nathalie Chossec, Jane Caro, Laurence Dréano, Véronique Heim, etc.
> Les visiteurs pourront acheter les oeuvres exposées. Les fonds obtenus serviront à financer les actions 2018 de SVS 37, comme l’atelier thérapeutique et la formation des bénévoles qui s’engagent dans les actions en milieu scolaire.
> Conférences à l’hôtel Océania L’Univers, le 25 novembre, de 10 h à 17 h.
> Informations sur stopauxviolencessexuelles.com ou, au niveau local, sur facebook.com/SVS37

Dix associations à aider avant Noël

Elles ont besoin d’un coup de main en temps, en bénévoles ou en dons pour le mois de décembre, pour Noël ou après. Tmv a voulu mettre en valeur dix associations de Tours et des alentours qui œuvrent dans l’ombre, mais aident au bien-être de tous.

SVS 37

Depuis mai 2015, SVS 37 s’engage pour dire non aux violences sexuelles. Informer, prévenir, aider celles dont « le corps parle et veut se faire entendre », rappelle sa présidente, la juriste Catherine Raynaud. L’asso bénéficie d’un atelier thérapeutique à Monts, mais elle va également ouvrir un centre de formation pour les professionnels, d’ici début 2017, à Tours-Nord. SVS 37 a donc besoin de bénévoles, notamment un kinésithérapeute. Au mois de mars prochain, une exposition et vente d’oeuvres sera organisée à La Riche. Les artistes intéressé(e)s (et qui ont donc aussi envie d’aider) peuvent dès à présent se manifester !
> svs.pf.37@gmail.com

Catherine Raynaud, présidence de SVS37 (Photo NR)
Catherine Raynaud, présidence de SVS37 (Photo NR)

 

ASSOCIATION DU RESTAURANT SCOLAIRE DE SAVONNIÈRES

Ils sont parents. Mais aussi et surtout bénévoles. Le restaurant scolaire de Savonnières est géré par une association réunissant quatorze personnes. Leur but ? « Contribuer à la baisse des prix des repas de nos enfants », indique Géraldine Collin. Chaque année, ils organisent donc divers événements pour récolter des fonds qui les aideront dans leur mission.
Les 10 et 11 décembre, ils mettent notamment en place un marché de Noël, avec plus de cinquante exposants. Place des Charmilles et dans la salle Mame, au cœur du village Savonnières, on pourra aussi s’offrir des ballades en calèche, voir le Père Noël, assister à un spectacle de magie ou jeter un œil à l’expo de voitures anciennes… avant le fameux feu d’artifice, le samedi soir, dès 18 h 30.
> Les 10 et 11 décembre, de 10 h à 20 h.

SOS AMITIÉ TOURAINE

Un mal, des mots. C’est le mot d’ordre. SOS Amitié Touraine, c’est chaque année 10 000 appels. D’une durée de 10 minutes à une heure. Bref, il y a du monde en ligne. Mais malheureusement, «on manque d’écoutants », introduit Antoine Hanicotte, président de l’asso. Tous les jours, pourtant, ils aident par téléphone ou sur internet des dizaines de personnes « en détresse psychologique». «On écoute beaucoup de gens en pleine dépression, ainsi que des personnes handicapées physique ou mental qui sont seuls. » SOS Amitié Touraine a donc besoin de bras. Ou du moins, d’oreilles ! « La bonne volonté ne sut pas. Il faut être bienveillant mais aussi gérer l’émotion », souligne Antoine Hanicotte. D’autant que désormais, depuis l’apparition du chat internet, l’équipe discute parfois avec des jeunes de 12 à 25 ans. « C’est effrayant. Ils ont des soucis avec leurs parents, le travail qu’on leur demande, ou encore leur identité sexuelle. »
Chez SOS Amitié Touraine, la trentaine d’écoutant(e)s sont bénévoles et souvent jeunes retraités. Mais il y a aussi des jeunes (en cursus de psycho, par exemple), des infirmières et deux commerçant(e)s qui « ont trouvé un peu de temps ». Outre la nécessité de bénévoles, l’association a aussi besoin de dons. « La spécificité, c’est que les dons sont défiscalisés à 66 % », argue le président. «Nous souhaitons capter des fonds, car les donateurs institutionnels “réduisent la voilure”. Et nous allons avoir des problèmes, alors nous cherchons un peu de mécénat. »
En attendant, le téléphone de SOS Amitié continuera de sonner. Et dans tous les cas, le soir de Noël et du Nouvel an, les écoutants répondront. Encore et toujours.
> Les volontaires peuvent écrire à SOS Amitié Touraine, BP11604, 37016 Tours Cedex 1 ou sos@sos-amitie-touraine.fr Contact : 02 47 54 54 54.

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MAISON DES DROITS DE L’ENFANT DE TOURAINE (MDET)

Depuis plus de 15 ans, cette association permet aux enfants de faire valoir leurs droits. Au-delà de ça, elle les sensibilise en leur faisant davantage connaître leurs droits, au travers d’actions collectives éducatives et de prévention. À l’approche des fêtes, la Maison des droits de l’enfant de Touraine est « activement en recherche de nouveaux bénévoles et votre aide nous serait précieuse», indique Ligaya Morland, secrétaire générale de la MDET.
« Nous recherchons deux types de bénévoles pour nos interventions : des juristes (avocats, juges, etc.), et des professionnels de l’enfance (éducateurs spécialisés, infirmières scolaires, psys… » Que vous soyez étudiant(e) ou retraité(e) ou autre, l’important est d’avoir un peu de temps à accorder à la MDET.
> Contact : 02 47 05 09 00 ou mdetouraine. fr Adresse : 75 rue du Colombier, à Tours.

NOËL POUR TOUS

Oui, on sait, « Noël Pour Tous » n’est pas une association, mais une opération qui aura lieu le 24 décembre. Mais celle-ci est organisée par le diocèse et les paroisses de Tours Centre, ainsi que La Barque, la Banque Alimentaire, la Croix-Rouge, le Secours Catholique et Habitat & Humanisme. Autant dire beaucoup d’assos pour un événement qui devrait faire chaud au cœur à beaucoup. « Tout le monde peut participer, les personnes à la rue, mais aussi les personnes en hébergement d’urgence, les migrants, les personnes isolées et tous ceux qui se sentent invités », mentionne Noël Pour Tous.
Mais cette veillée de Noël, entre buffet partagé, musique et jeux, ne sera réussie qu’avec l’aide de bénévoles. Les associations mentionnées recherchent donc des personnes pouvant mettre en place les barnums et le matériel, aider à l’animation des enfants, apporter de quoi manger et faire la fête, préparer 40 litres de soupe de légumes la veille ou le matin même, ainsi que mettre en place le bu¢et et servir les plats.
Les chanteurs/ses et musicien(ne)s qui auraient aussi envie d’aider peuvent aussi montrer le bout de leur nez (ou de leur guitare, c’est pareil).
> Le 24 décembre, de 18 h à 23 h, place Châteauneuf et cour de la salle Ockeghem. Contact : Brigitte Bécard, au 06 84 22 37 09 ou brigittebecard@free.fr

LIENS PARTAGÉS

Cette année, pour ses veillées au jardin, elle a été jusqu’à obtenir le 1er Prix Coup de pouce, organisé par Val Touraine Habitat. En 2015, elle avait aussi été nominée par les trophées Touraine Propre pour ses boîtes à livres. L’association Liens Partagés, de La Riche, porte bien son nom. Créée en 2014, par Jacques Dyonet (fondateur de l’Amap La Riche en bio), elle sert de lien fédérateur entre les habitants.
Derrière tout ça, il y a le social, le vivre-ensemble. La preuve avec cette zone de gratuité, organisée par l’asso le samedi 17 décembre. Il su¿t d’apporter un objet propre et en bon état qui ne vous sert plus et vous pouvez emporter un autre qui vous plaît ou vous sera utile.
> Le 17 décembre, 10 h à 18 h, salle Ronsard à La Riche. Contact : lienspartages.wordpress.com

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ENTR’AIDE OUVRIÈRE

L’accueil, c’est le maître-mot à Entr’Aide Ouvrière (EAO). Cette association départementale, intransigeante sur « la justice sociale et la dignité de l’homme », accueille les personnes en situation précaire et tente de recréer du lien social. Et surtout, les aide. Alors même si la structure compte de nombreux salariés, les bénévoles sont tout aussi importants. Ces derniers peuvent participer à la Maraude, au Centre de formation dans la lutte contre l’illettrisme ou encore aux diverses actions organisées par l’association. Début novembre, Entr’Aide Ouvrière s’était aussi distinguée en recherchant une cinquantaine de « familles solidaires » d’Indre-et- Loire, pour accueillir des réfugiés. Les intéressé(e)s doivent tout de même disposer d’une chambre, étant donné que la cohabitation dure plusieurs mois. Ils seront accompagnés, tout du long, par l’association.
> EAO-CAD au 46 rue Gustave Eiffel, à Tours-Nord. Contact : 02 47 31 87 00 ou benevoles@entraideouvrière.org. Concernant les familles solidaires : 02 47 05 48 48 ou familles.solidaires@entraideouvriere.org

ÉMERGENCE

« Donner un peu de son temps aux personnes à la rue », c’est tout ce qu’aimerait l’association tourangelle Émergence, comme le rappelle sa directrice Nathalie Bertrand. Émergence s’occupe des personnes sans domicile fixe et les besoins sont grands, surtout depuis l’ouverture du plan hivernal. L’asso a ouvert 35 places d’hébergement. Elle recherche donc aussi des bénévoles « pour aider à servir le repas le soir ». Il suffit d’être disponible de 18 h 45 à 20 h 30. Rendez-vous au 12 rue Louis- Mirault.
> Pour aider : Brice au 06 82 87 89 85.

ASSOCIATION DES BAMOUN DE TOURS

Pas forcément connue du grand public, l’ASBAT (Association des Bamoun de Tours, du nom d’un peuple d’Afrique centrale) existe pourtant depuis 2008. Prônant la solidarité entre toutes les diasporas du monde entier, elle a pour but « le développement en milieu Bamoun, tant sur le plan social, sanitaire et scolaire », rappelle sa présidente Viviane Beauce.
Il y a quelques jours, l’ASBAT a organisé la 2e édition de l’arbre de Noël pour les enfants de l’association. Mais elle a aussi mis en place des goûters dans des maisons de retraite, des hôpitaux et permis l’envoi de dons vers le Cameroun.
> Contact : 06 63 96 17 34.

 

(Photo ASBAT)
(Photo ASBAT)

BLOUSES NOTES

En juillet dernier, les Blouses Notes avaient le blues. Baisse des subventions, avenir en péril… Mais leur « appel à l’aide a été entendu, notamment par les collectivités, la mairie et le conseil régional », souffle Arnaud Tery, président de l’asso. Depuis 20 ans, les musiciens des Blouses Notes apportent du bonheur (et de la musique) aux enfants malades et hospitalisés à Clocheville.
Mais, même si l’asso « a un peu plus le sourire, il est toujours compliqué de boucler le budget chaque année ». Il y a donc toujours besoin de financement ou de mécénat. Fin novembre, les Blouses Notes ont rempli le Petit Faucheux. Leur soirée a fait un carton¬: « On a diffusé le film que l’on a fait avec une réalisatrice tourangelle, afin de suivre les musiciens des Blouses Notes dans les chambres », rappelle Arnaud Tery. Un film qui devrait d’ailleurs être di¢usé dans d’autres lieux. Histoire de découvrir à quel point les Blouses Notes filent la pêche aux enfants…
> Contact : blouses.notes@gmail.com ou au 06 66 87 90 11. Sinon, direction le 4, bis rue de la Bretonnerie à Tours !

>> Bien évidemment, Tours regorge d’associations et cette liste n’est pas exhaustive. Pour découvrir les centaines d’associations qui font vivre la ville, un petit clic sur tours.fr et asso.tours.fr vous permettra d’en découvrir d’autres et d’aider si vous le souhaitez.