Making-of, J-1 : « Hâte de le voir en papier, demain »

#EPJTMV. Demain, votre TMV aura une saveur particulière. Toute la semaine, les étudiants de l’École publique de journalisme de Tours (EPJT) ont pris les manettes de votre magazine gratuit. Florilège des réactions des 24 rédacteurs à la veille de la sortie de TMV spécial.

EPJTMVÉpisode final.
Romane : C’était à la fois épuisant et excitant de courir à droite, à gauche pour faire des photos. Et quelle fierté de voir son travail publié !
Anne : Merci à Benoît et Aurélien pour cette semaine particulière. J’ai adoré travailler pour TMV, j’aurais voulu que ça dure plus longtemps
Eva : La semaine est passée à toute allure, avec quelques rush et montées d’adrénaline le dernier jour. On en oubliait presque qu’on était dans une salle de cours tellement on était plongés dans l’ambiance d’une vraie rédaction !
Julien : Content d’avoir pu mettre mes papilles au service de TMV ! Je reste à votre disposition si d’autres restaurants sont à tester…
Kévin : Très bonne expérience : c’est la première fois qu’on se retrouve tous en condition de rédaction et, ma foi, on s’en est bien sorti tous ensemble non ? En espérant que les gens, attirés par nos bouilles en couverture, fassent péter le record de TMV lus et qu’il y ait besoin d’un réassort
Clément : Cette semaine à TMV, c’était un peu comme un tour en montagne russe. Sur le coup t’es tellement pris dans le truc que tu t’amuses sans trop penser à autre chose. C’est lorsque tu en sors que tu te dis que c’était vraiment génial et que t’en referais bien un tour…
Brice : On s’est retrouvés pour la première fois dans notre promo sur un projet commun, et c’était cool. Et même si Eva m’embêtait tout le temps pendant que je travaillais, on a accouché d’un beau numéro
Thomas : Ce qui a réellement été bénéfique avec cette semaine TMV c’est qu’on a pu voir l’apport du travail en groupe. On a vu que le boulot de journaliste n’était pas individuel, et ce genre de chose est rarement mis en valeur dans notre formation de tous les jours
Clémence : C’était assez délicat et stressant de prendre les commandes d’un journal déjà bien installé. Mais le résultat en valait la peine ! J’espère que vous apprécierez ce numéro spécial autant que nous avons pris du plaisir à le rédiger !
Fabien : La coupure avec les cours était la bienvenue : quand on fait beaucoup de théorie, passer à la pratique est toujours enrichissant. De plus, le rôle de secrétaire de rédaction, tel une courroie de transmission, est responsabilisant. Même sans le nom publié, on se sent utile.
Solène : C’était court mais intense ! J’espère que les gens liront le TMV avec autant de plaisir que l’on a pris à l’écrire.
Sébastien : Le web pour l’EPJTMV c’était une chouette expérience. On était assez libre et on avait plein d’idées en tête. Je pense qu’on a été l’équipe qui a le plus travaillé. En toute modestie. J’espère qu’on a offert aux Tourangeaux un contenu web intéressant pendant cette semaine #EPJTMV
Lola : Même si j’étais au pôle rédaction sur les pages Agenda et Cinéma, j’ai pu donner un coup de main au pôle web. C’était super de voir les deux tableaux, et stimulant quand on regardait le nombre de visiteurs uniques sur le site grimper chaque jour !
Rodolphe : La collaboration EPJT-TMV ? Une réussite à tout point de vue ! Et si vous appréciez ce numéro un peu particulier, promis, les journalistes en herbe de l’EPJT reprendront (un jour) les commandes du magazine.
Marine S : Une semaine c’était bien trop court mais nous nous souviendrons longtemps de cette expérience très enrichissante
Esteban : La relecture des textes est un exercice « de l’ombre » très intéressant. C’est une sorte de défi : relever les erreurs, rentrer dans le calibrage, affûter les phrases. Ce travail bonifie celui des rédacteurs.
Dah : Anticiper l’actu n’est pas une chose forcément évidente. Alors oui, au début on a un peu « ramé » mais les choses se sont décantées. Et au final, on en a fait plus que ce qu’on aurait imaginé !
Shanel : Gérer une rédaction de 24 journalistes, c’est une sacrée aventure. On a eu des doutes, des surprises, des frayeurs. Mais quand on tient enfin notre numéro dans les mains, on se dit que ça valait vraiment le coup. Merci à Benoît, Aurélien et Matthieu pour cette belle semaine.
Marine B : Une semaine pleine de rebondissements : passer de 32 à 40 pages, mettre (un peu) la pression aux rédacteurs, gérer les problèmes informatiques et, enfin, s’occuper du bouclage dans les locaux de l’hebdo. Mais, tout cela importe peu finalement, le numéro #EPJTMV en valait la peine !
Julie : Dur, dur de suivre plusieurs rédacteurs en même temps. Il fallait jongler entre les rendez-vous de chacun. Mais c’était aussi très enrichissant de pouvoir être sur plusieurs sujets à la fois
Jessica : Passer d’une classe à une rédaction, c’était le top. C’était l’effervescence, les idées qui fusent et beaucoup de rire. Côté culture, j’ai été gâtée, l’exposition en avant-première, comme les vrais.
Manon : La semaine TMV était très intéressante et enrichissante. Cela nous a permis de traiter des sujets que l’on n’aurait pas obligatoirement traité dans un autre cadre. Le tout dans une ambiance légère et agréable. Une réussite.
Tony : Une expérience enrichissante. Car de la recherche des sujets au bouclage, nous avons pu nous confronter aux contraintes de la réalisation d’un hebdomadaire.
Marie : Quelle satisfaction, pour des étudiants en journalisme, de voir sortir ce numéro #EPJTMV, l’aboutissement d’un travail de groupe, le petit bébé transmédia d’une promo riche et variée ! Merci à vous qui nous lisez.
Et pour voir le résultat tant attendu, c’est ici en PDF et dès demain, mercredi 10 décembre, dans vos mains !

Making-of, J-5 : « Ta blague, c’est dans les carambars ou c’est de la drogue ? »

#EPJTMV. Le mercredi 10 décembre prochain, votre TMV aura une saveur particulière. Toute la semaine, les étudiants de l’École publique de journalisme de Tours (EPJT) prennent les manettes de votre magazine gratuit.

EPJTMV
Épisode 4.
L’état d’ébullition d’une rédaction quand l’heure fatidique arrive est compliquée à décrire : stress, excitation, fatigue et soulagement. Les derniers papiers finissent dans les boîtes mails pendant que les photos arrivent au compte-goutte. Une fois les recherches, les coups de fil et l’écriture passés, la décontraction guette. Du moins pour les rédacteurs, puisque nos deux courageuses secrétaires de rédactions bûcheront lundi toute la journée.
En témoigne la razzia sur les paquets de Carambar, fraises Tagada et autres oursons en guimauve. Une bien belle habitude prise par Aurélien, superviseur estampillé TMV. Mais ne vous en faites pas, nous pourrons nous regarder dans un miroir. Notre déontologie est intacte. Il faut plus que du sucre pour nous soudoyer. Non mais.
Les papiers multicolores s’amoncellent près du poste de Julien, dont le malheur est de se retrouver trop près des paquets de bonbecs. À cause de ces Carambar, ou grâce, ça dépend du point de vue, certains boute-en-train s’essaient aux blagues. Qu’elles soient bancales ou réussies, on ne peut réprimer un rire. Puis quelques-uns improvisent un one-man show en balançant façon punchline leur blague préférée. Si celle de Kévin est mignonne, Clément fait dans le sale et potache. Une vanne que Patrick Sébastien ne renierait pas.
On peut vous annoncer en exclusivité la Une de mercredi : nous. Autant marquer le coup non ? Souriants, beaux et dynamiques, les photographies ne mentent jamais. À la manière d’un entraineur de foot, on pourra avancer « que le groupe vit bien ». Un cliché de plus.
Mais comme toute photo de groupe, c’était un joyeux boxon. Se figer et sourire occasionne toujours une gêne qui entraîne ce rire nerveux difficilement contrôlable.
Sinon Tony se balade avec une bouteille d’eau vide pendant une heure. La remplir ou la jeter ? Un homme de compromis, un vrai.
Fabien Burgaud
Si vous les aviez manqués :
J-8, la rédaction s’anime ;
J-7, chacun à son poste ;
J-6 : « Et encore, j’ai même pas mis son nom de famille ! »

Making-of, J-6 : « Et encore, j’ai même pas mis son nom de famille ! »

#EPJTMV. Le mercredi 10 décembre prochain, votre TMV aura une saveur particulière. Toute la semaine, les étudiants de l’École publique de journalisme de Tours (EPJT) prennent les manettes de votre magazine gratuit.

EPJTMV
Épisode 3.
La craie a souffert. Sur le tableau, plus très noir désormais, la couleur se rapproche du gris. Le TMV spécial EJPT prend forme. Sont apposées sur les quarante pages vierges et numérotées les catégories « papilles », « escapades », « la semaine dans le monde », etc. Éclectisme, on vous dit.
Gribouillage, effacement, réécriture : on trouvera presque esthétiques les idées qui s’évaporent et resurgissent. D’un coup de main ou sur un coup de tête, on barre, on réécrit, bref on se rend compte qu’il est compliqué de caler publicités et papiers. Au moins avec un Rubik’s Cube, on est fixé : le casse-tête est annoncé, pas de surprises…
Sinon, les relectures de papiers commencent. Précieux travail à la chaine où chaque maillon est important. Les secrétaires de rédaction entrent enfin en piste. Pas qu’ils soient des clowns, mais travailler en décalé sur plusieurs thèmes différents, cela relève du funambulisme.
On s’étonne de patronymes inhabituels, on se félicite du nombre de pages lues de la veille, on goûte le cake à la banane de Rodolphe, la rédaction grouille. Bonne humeur communicative et sérieux dans le travail, que demande le peuple ?
« Demain 11h ? Je peux pas. 11h30 à la rigueur… ». Les deux photographes ont un agenda de ministre. Appelées à droite, à gauche, nos photo reporters suivent les rédacteurs dans leurs tribulations. Travail de l’ombre qui mérite son éclairage.
Si le rendu papier compte, le contenu web importe tout autant. On nous bassine assez sur la crise de la presse pour ne pas entamer la révolution numérique. Notre team web produit ses propres papiers et assure avec brio la communication. Et affiche un nombre d’heures de présence inégalé puisque leurs doigts pianotent frénétiquement de l’ouverture de la salle le matin à sa fermeture en soirée. Rien que ça. Même sur le net, TMV est là.
Sinon Tony compte faire une « Élise Lucet » en interpellant les élus à la sortie du congrès des maires d’Indre-et-Loire. Journalisme coup de poing.
Fabien Burgaud
Si vous les aviez manqués : J-8, la rédaction s’anime ; J-7, chacun à son poste

Making-of : J-7, "Allez, ça va le faire…"

#EPJTMV. Le mercredi 10 décembre prochain, votre TMV aura une saveur particulière. Toute la semaine, les étudiants de l’École publique de journalisme de Tours (EPJT) prennent les manettes de votre magazine gratuit.

Coulisses du numéro spécial #EPJTMV
Episode 2.
Le brouhaha d’hier laisse place à l’accalmie. Chacun arrive à son rythme, la flexibilité du travail de journaliste est un confort. Attention à ne pas en abuser.
En plein milieu de la salle, on rigole des photos d’un shooting dans un magasin de cosmétiques. Jamais moqueur. Mais que voulez-vous, un sujet « Je suis un garçon, voici mes secrets beauté » prête toujours à sourire. Les clichés ont la vie dure.
« Mes doigts puent la clémentine maintenant ! », s’inquiète Marine, qui demandait même de l’aide pour l’éplucher. Elle aura beau proposer ses cookies à toute la rédaction, cette phrase restera.
Même si le niveau sonore est volontairement faible, depuis les extrémités de la salle, on arrive à reconnaître l’agréable « Down by the river ». Fidèle au poste (informatique), le service web reprend en douceur après un (copieux) repas.
Contrairement aux autres rédacteurs, tous partis. À leur décharge, les rendez-vous prennent du temps. N’allez pas croire que l’on allait vous servir un magazine « réchauffé » : le terrain, il n’y a que ça de vrai.
On s’étonne de l’absence prolongée de certains rédacteurs. La feuille de présence, sur le coin du bureau, se remplit lentement, au rythme des allées et venues de chacun. Sinon, Tony s’éternise au téléphone. La chance tourne.
Fabien Burgaud
Si vous l’aviez raté : épisode 1, la rédaction s’anime

Making-of du numéro spécial : J-8

#EPJTMV. On s’active pour vous concocter un numéro spécial. En coulisses, ça fourmille ! J-8 avant la parution

J-8, la rédaction s’anime.  Le mercredi 10 décembre prochain, votre TMV aura une saveur particulière. Toute la semaine, les étudiants de l’École publique de journalisme de Tours (EPJT) prennent les manettes de votre magazine gratuit.
makingof1
Episode 1
« C’est quoi ton sujet déjà ? ». La perte de mémoire guette. Ce serait dommage, à une semaine de la sortie de ce TMV spécial EPJT. Un rapide coup d’œil au chemin de fer et les « ah oui ! » fusent. On parle calibrage, photos et angles. Seul sur son ordinateur, Tony s’obstine à trouver un sujet « actu ». Mais ses appels restent sans réponses. Certains rient, d’autres s’inquiètent. Soit on trouve ça « large », soit on s’affole. Comme quoi, la notion de temps varie selon les personnalités.
Les yeux rivés sur les écrans, avec des écouteurs pour les plus solitaires, les jeunes journalistes ne perdent pas de temps. Ils sont aiguillés par Aurélien et Benoît, rédacteurs pour TMV, bien heureux de voir s’activer sous leurs yeux une vraie rédaction. Eux qui n’écrivent habituellement qu’à deux.
Malgré un virulent « ta gueule » qui réveille un instant la salle, les dialogues animés reprennent de plus belle. Le brouhaha est presque rassurant : émulation, créativité, interaction, bref on aurait presque affaire à une rédaction, une vraie. Dans une semaine, ce sera le rush. Comme sur une voiture, le contact est enclenché, le moteur ronronne. Vivement l’allure de croisière.
Fabien Burgaud