TOP 4 : Ash VS Evil Dead

Le 25 février sera diffusée la nouvelle saison de la série Ash VS Evil Dead. Voici 4 bonnes raisons de se ruer sur cette réussite comico-gore, suite des films éponymes cultes.

C’EST (TRÈS) DRÔLE

L’iconique héros (ou plutôt antihéros), Ash, est arrogant, de mauvaise foi et hilarant… à l’instar de la série. Avec un humour décomplexé et un second-degré jouissif, Ash VS Evil Dead est aussi transgressif que surprenant.
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C’EST GORE

La saga culte était déjà sanguinolente. La série, elle, est aussi saignante qu’un bon steak. Avec ses délires gores, les saisons balancent la sauce côté hémoglobine. Excessif mais rigolo, l’esprit 80’s est là. Une boucherie.

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C’EST LE RETOUR D’ASH

En 1981, le premier Evil Dead servait de rampe de lancement à Bruce Campbell. L’acteur a désormais 60 balais, mais continue à faire le petit fou dans la série ! Un plaisir de (re)voir l’héros iconique au bras-tronçonneuse (!).
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C’EST OLD-SCHOOL & COOL

Ash VS Evil Dead possède un charme désuet, entre l’esthétique et les effets spéciaux qui fleurent bon les années 80. Surtout, la série ose et n’a vraiment peur de rien. Bref, Ash is so cool !
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Rencontre avec le Buveur de livres…

Le Buveur de Livres hante les bibliothèques, erre dans les librairies et fouine chez les bouquinistes.

C’est en 1997 que le personnage du Buveur de Livres a vu le jour. Une commande de la bibliothèque d’Amboise pour La quinzaine du livre. Laurent Priou, à la tête alors du Barroco Théâtre, à Saint-Pierre-des- Corps, s’est inspiré du Buveur d’encre écrit par Éric Sanvoisin, pour créer cet homme à l’allure étrange. Vêtu d’un imperméable gris et d’un chapeau, il sirote le contenu des livres à l’aide d’une paille. Le livre bu, ses sens sont à l’affût, son visage s’illumine, son dos se redresse : le buveur peut alors conter l’histoire pour le plus grand plaisir des enfants.

Une mise en scène rodée qui fonctionne à merveille : « Ce personnage est tout simple et a une durée de vie illimitée. Ce concept est à mi-chemin entre le conte et le théâtre. Le comédien a plus d’une centaine d’histoires dans ses valises », explique Laurent. Ses coups de coeur ? La grosse faim p’tit bonhomme de Pierre Delye, La cocotte qui tap-tiptope de Coline Promeyrat ou encore Je suis un ours de Frank Tashlin. « Je renouvelle ma sélection jeunesse en septembre, ma rentrée littéraire comme j’aime l’appeler. Je choisis de nouveaux titres que je teste durant l’année. J’essaye de rester fidèle à l’histoire même si j’avoue que je prends quelquefois quelques libertés. En fait, il faut que ce soit des récits courts pour capter l’attention des spectateurs. »L’objectif reste le même : déclencher l’envie de lire chez les enfants. Alors ne vous étonnez pas de croiser ce drôle d’individu au détour d’un rayon, lors de votre prochaine sortie à la bibliothèque.

Anne-Cécile Cadio

Retrouvez le Buveur de Livres le 18 octobre, pour la Quinzaine du Livre, à l’hôtel de ville de Tours.

Plus d’infos : barroco-theatre.com