Les commerces pourront ouvrir tous les dimanches de janvier

La Préfecture vient de l’autoriser ce vendredi 8 janvier : ouverture dominicale pour les commerces d’Indre-et-Loire acceptée.

Les commerces sont autorisés à rester ouverts les dimanches du mois de janvier (Photo archives NR – Hugues Le Guellec)

Un ouf de soulagement pour les commerçants ? Ce vendredi 8 janvier, la Préfecture d’Indre-et-Loire a annoncé que les magasins pourraient ouvrir les dimanches 10, 17, 24 et 31 janvier.

La décision a été prise pour leur permettre de relancer leur activité, après des derniers mois mouvementés et très difficiles. Elle a été prise en concertation avec la Chambre de commerce et d’industrie (CCI), les syndicats, la Chambre des métiers et les communes et communautés de communes.

Les soldes doivent normalement avoir lieu du 20 janvier au 16 février.

On a testé pour vous les bons plans soldes

#EPJTMV La rédaction de TMV a testé quelques bons plans pour le début des soldes. Est-il toujours possible de s’habiller sans se ruiner lorsqu’on est jeunes et fauchés ? Nous avons tenté de relever le défi de s’habiller pour moins de vingt euros.

Mercredi 8 janvier, en ce premier jour des soldes, nous allons essayer de nous vêtir de la tête aux pieds pour vingt euros ou moins. Impossible diront certains ? Mission acceptée. Direction rue nationale, les boutiques sont pour la plupart au-dessus de notre budget. Après un bref passage dans la Galerie Nationale, nous rebroussons chemin car les prix nous donnent le tournis.

Mistigriff : le temple des petits prix 

Des chaussettes à petits prix sont en vente dans le magasin Mistigriff. Crédit photo : Noémie Furling.

Un client nous conseille d’aller au magasin Mistigriff, au 90 rue des halles. L’enseigne propose des articles dégriffés à des prix variés. Une fois la porte passée, nous sommes agréablement surpris par l’accessibilité des prix. Au rez-de-chaussée, vous pouvez trouver de belles chaussures à moins de quinze euros, des jupes de toutes les couleurs à six euros, des jeans aux alentours de dix euros. Des bacs sont disposés au premier et au deuxième étages, ils proposent des chaussettes et des sous-vêtements à des prix très raisonnables. Sur un présentoir, vous pouvez acheter des bijoux fantaisie à partir d’un euro.

Une fois sortis du magasin, direction rue de Bordeaux. Le magasin Caravelle propose des jeans à prix cassés. Comptez environ 8 euros. En face, le magasin C’est deux euros est ouvert, bingo ! À l’intérieur, comme son nom l’indique, une pièce suffit pour se faire plaisir. Les choix sont tout de même minces : chaussettes, sous-vêtements et parapluie.

Une friperie branchée et bon marché 

À la friperie Kilo Shop il faut peser ses articles pour connaître le prix. Crédit photo : Noémie Furling.

Dernier stop au magasin Kilo Shop place Jean Jaurès pour ne pas rentrer bredouille. L’intérieur est branché et vintage. Le concept est simple : le client pèse ses articles sur une balance disposée au milieu du magasin, puis il paie en fonction du poids indiqué. Un système de couleur sert à distinguer les prix : le rouge équivaut à vingt euros le kilogramme, le vert à trente euros le kilogramme, le bleu à quarante euros et l’orange à soixante. De quoi rendre heureux chaque client ! Mission réussie.

Notre sentence est irrévocable : il est possible de se vêtir pour moins de vingt euros mais cela au prix de quelques sacrifices. Le temps perdu à crapahuter entre les boutiques ainsi que la qualité discutable des produits peut être un frein pour les acheteurs.

Émilie Chesné et Paul Boyer, étudiants à l’École Publique de Journalisme de Tours (EPJT).

 

 

 

 

 

Black Friday, un week-end fou en perspective

Le Black Friday s’annonce comme l’événement commercial incontournable de cette fin d’année. Certaines enseignes ont d’ores et déjà lancé l’offensive.

Black Friday Fnac
Philippe et Christine, Montlouisiens, ont repéré à midi un ordinateur. Le soir, ils passent à la caisse et font une économie de 120 euros. Photo : Laura Bannier.

Les promotions monstres du vendredi 25 novembre, alias le « Black Friday » (vendredi noir, en anglais), donnent le coup d’envoi des achats de Noël aux États-Unis. Encore inconnue en France il y a quelques années, cette tradition traverse l’Atlantique notamment grâce à internet.

Pour sa cinquième participation, la Fnac fait une petite entorse à la tradition américaine en proposant quatre jours de Black Friday, de vendredi à dimanche.

C’est là qu’on retrouve Christine, en pleine séance de repérage. « C’est la deuxième année que je viens. Je regarde ce que je pourrais offrir à ma fille aînée, peut-être un ordinateur », explique-t-elle, en errant dans les rayons bondés du magasin culturel. On la retrouve dix minutes plus tard à la caisse, un ordinateur sous le bras. Comme elle, ils sont nombreux à acheter sur un coup de tête à la vue des réductions alléchantes. Un homme qui s’était renseigné quelques jours auparavant pour une télévision à 1 300 euros est finalement ressorti avec un écran d’une valeur de 3 000 euros.

Pas tous convaincus

Comme l’écrit le magazine professionnel LSA, « le Black Friday s’ancre petit à petit dans les habitudes des consommateurs français ». Pour autant, ils ne sont pas tous convaincus. Gabrielle, étudiante en psychologie à la fac des Tanneurs, vit le Black Friday pour la première fois. Elle attendait d’avoir un achat important à faire, en l’occurrence un ordinateur pour ses études. Mais comme beaucoup, cette accro des réductions hésite. « Une réduction de – 10 %, ce n’est pas encore assez avantageux », confie-t-elle. Elle remarque aussi que le phénomène s’est exporté du high-tech pour toucher les vêtements. « Avant, on en entendait peu parler. Aujourd’hui, c’est partout. Presque tous les magasins de vêtements rue Nationale et rue de Bordeaux s’y sont mis », remarque-t-elle.

Et puis il y a ceux qui avaient prévu le coup. Cédric a fait du repérage sur Internet. Il a acheté une console pour sa fille. Dans ses bras, on ne manque pas de remarquer la pile de livres. « J’en profite aussi, même si ce n’est que 5 % de réduction », lance-t-il. En effet, la loi Lang instaure un prix unique du livre en France. Elle limite la concurrence sur le prix de vente afin de protéger la filière.

Ce vendredi et tout le week-end, Auchan, Carrefour, Monoprix, la Fnac, Micromania ou encore Toys’R’Us affichent des prix réduits. De quoi remplir sa hotte de Noël. Les grandes enseignes françaises l’ont bien compris. Chaque année, elles sont de plus en plus nombreuses à copier les américains.

Mary Sohier et Léna Soudre.

Test : quel "shopper" êtes-vous ?

Et si le moment des soldes révélait votre vraie personnalité de consommateur ?

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Les bruits du net #31

Au menu du jour : gérer ses comptes, tout mini, phobie quand tu nous tient…

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Les bons comptes font les bons amis. Un proverbe pas toujours facile à respecter. Le site Onsedoit.fr peut vous aider. Il vous suffit de créer un compte gratuit pour gérer l’achat d’un cadeau en commun ou encore les comptes de votre colocation en suivant en temps réel qui a payé et qui ne l’a pas encore fait. Côté applications, il y a aussi Les bons comptes entre amis (plus d’infos par ici) ou Debt Controller (plus d’infos par ). Mais cette fois, le service est payant.

 

Tout petit petit. Ici, vous trouverez des infos sur le plus petit baladeur MP3 au monde. Mais il y a également le plus petit appareil-photo au monde :  le Canon EOS de 2 méga pixels (il est en photo juste en-dessous). Tellement petit qu’on se demanderait presque comment on peut prendre une photo. Plus de photo de ce petit bijou, ici.

 MAME-CAM plus petit appareil photo du monde

 

Et vous, vous avez une phobie? La peur du vide, de la foule… Sont des phobies dont vous souffrez peut-être. Mais connaissez-vous la geniophobie (la peur des mentons) ou encore la agalmatorémaphobie (la peur que les statues d’un musée se mettent à parler)… Ces deux-là font partie du top des phobies les plus absurdes réalisé par Grazia. Pour découvrir le n°1, c’est par ici.

 

En bonus : Sans chemise, sans pantalon, lalala…. C’est LA chanson du moment. Après une grande enseigne espagnole qui a proposé aux Lyonnais de venir en petite culotte afin de repartir habillés gratuitement, un lipdub a été organisé dans les métros de New York et Mexico City sur le thème : le métro sans pantalon. Plus de photos, par ici.