C’est un coup dur pour Courteline, l’association socioculturelle gérant les accueils de loisir dans plusieurs secteurs de la Ville de Tours…
En raison du retour à la semaine de quatre jours (le changement aura lieu dès septembre), Courteline doit envisager un plan de sauvegarde de l’emploi et serait contrainte à « lancer une procédure de licenciements collectifs », comme l’a annoncé son directeur Jean Chausson.
Lui et son adjoint, Romain Ménage, ont réuni les salariés vendredi dernier. « Nous souhaitons limiter au maximum les licenciements et organiser du mieux possible les reclassements. »
Entre 27 et 122 licenciements sont prévus par le plan de sauvegarde, a rappelé l’équipe, précisant toutefois qu’il était impossible d’être plus précis « à ce jour ». Concrètement, si tout le monde accepte de réduire son volume horaire, il y en aura 27. Si personne n’accepte, 122 postes seront supprimés.